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Environnement

Saturisme – Santé – Environnement et chasse / pêche (2e partie)

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Les zones humides,
principales concernées

Plusieurs raisons sont à l'origine d'une plus grande contamination des zones humides :
hutte de chasse en zone humide
– la pratique ancienne et régulière de la chasse, concentrée dans certaines zones humides;
– le fait que les chasseurs d’oiseaux d’eau tirent en moyenne 2 ou 3 oiseaux avant d’en prélever un, et 1/3 de cartouches de plus qu’un chasseur courant, à cause des risques de pertes et de prises difficiles à récupérer dans les marais;
– la concentration des tirs sur les zones de nourrissage;
– la pratique de la pêche
– la nécessité pour une partie des oiseaux d’eau de prélever du gravier (les plombs sont confondus avec les petits cailloux) pour broyer les graines;
– la pratique de nombreuses espèces d’oiseaux d’eau de fouiller la vase à la recherche de nourriture
– etc

Quelques exemple en France

Lac de GRAND – LIEU  (avant 1980 / mise en réserve) :
– selon les saisons de 4 000 à 6 300 ha, voire plus en inondation,
– déclaré site RAMSAR en 1995,
marais– réserve naturelle sur 6300 ha depuis 1980
– plombs : 3 à 4 t/an
– plus de 37% des fuligules milouins tués sur la réserve naturelle de Grand lieu ont des plombs de chasse dans le gésier. Quant aux colverts dont environ 2000 couples nichent, ils sont plus de 13 % à avoir un ou plusieurs plombs dans le gésier, avec probable sous-estimation.
ESTUAIRE DE LA SEINE
Environ 10 t/oiseaux et plombsan de plomb

CAMARGUE
Jusqu’ à 2 millions de plomb par hectare et par an en 1970. De nombreux canards meurent de saturnisme 40 % des colverts, 62 % des canards pilet, 60% de milouins au moins sont touchés par le saturnisme (Ramade – Tamisier & Dehorter, 1999) Station biologique de la Tour du Valat.

Remarque :
– les plombs de chasse sont souvent pris pour des graviers (le grit) et stockés dans le gésier.
Les canards plongeurs sont 2 à 3 fois plus touchés que les autres (ainsi chez le Morillon, la fréquence d’ingestion est 2,13 fois plus élevée que pour la moyenne des canards de surface, avec une concentration osseuse 2,8 fois plus élevée).

ball trap et cartouches de plombLe cas du ball trap
et autres centres de tir

Les problèmes liés au ball trap viennent d’une pratique intense,
parfois régulière, concentrée en des lieux donnés,
les plombs étant rarement récupérés.

Ainsi on retrouve un risque d’ingestion et d’intoxication pour les anatidés comparable à celui créé par la chasse et la pêche surtout à proximité de zones humide et/ou acides.
Depuis plus de 10 ans des enquêtes sur le plomb de Ball-trap et sur ses incidences environnementales ont eu lieu aux USA (1994), au Danemark (1982), en Irlande (1987), en Finlande (1993) et aux Pays-Bas (1989).

Des décisions ont également été prises :

• aux USA, au début des années 90, malgré les pressions du lobbie des armes, une douzaine de centres de ball-trap, dont 6 en zone humide, ont été rapidement fermés ou contraints d’utiliser des munitions non-toxiques;
• au Danemark interdiction de tir sur cibles au-dessus des masses d’eau peu profondes dès 1981, avec fermeture de plusieurs ball-trap permanents;
• les Pays-Bas, la Suède et la Norvège visent depuis les années 80, avec leurs associations de tir sportif à éliminer graduellement le plomb pour le tir sur cibles.

Les sites sont souvent pollués bien au delà de toutes les normes et directives relatives au sol et/ou aux déchets, même si les effets directs sur les sols et sur la nappe phréatique sont ordinairement minimes. La décomposition des grains de plomb et le transfert du plomb dans les végétaux peuvent se produire sur les sites de ball-trap et champs de tir à la cible ou en aval avec les végétaux ensilés pour le bétail.

A la Une de l’actualité

2 exemples révélateurs :

• Le Lordship Gun Club (propriété de la Remington Arms Co.), terrain de 30 acres situé à Stratford, dans le Connecticut, sur le détroit de Long Island, fut un des principaux centres de tir au pigeon d’argile de la côte est des Etats-Unis du milieu des années 1920 à 1987. Dans les années 1980, les plombs déposés dans les eaux et sur le littoral du détroit de Long Island par suite des activités du club et l’étroite proximité d’un refuge de la faune, situé juste en face, de l’autre côté du fleuve, suscitèrent des inquiétudes. Des études révélèrent que le club de tir avait déposé au total quelques 1500 tonnes de plombs dans l’environnement depuis le début de ses activités et intoxiquait de ce fait les anatidés de la région. L’état du Connecticut a ordonné au club de cesser de tirer de la grenaille de plomb et de prendre des mesures correctrices, notamment de draguer les sédiments touchés et de les dépolluer. Le club ferma ses portes à la fin de 1986.

• Roscoe et al.(1989) ont fait état de saturnisme chez des Canards pilets (Anas acuta) qui avaient avalé des plombs dans un pré côtier situé dans la zone de retombées d’un club de tir au pigeon d’argile, maintenant disparu, du New Jersey. Les 7,5 cm supérieurs des sédiments touchés contenaient plus de 215 millions de plombs/ha (4000 fois plus qu’autour des huttes de chasse de cette région).

Et pourtant l’Union internationale de tir et le Comité international olympique considérait en 1994 que le tir sur cibles ne contribue pas de façon sensible au problème de l’accumulation de grenailles de plomb dans l’environnement, tandis que l’USEPA et la National Rifle Association préconisent la récupération et le recyclage  du plomb dans les centres de tir.

Alternative au ball trap traditionnel,
le ball trap "laser" (infra-rouge)

• Pas de plomb
• Pas de vapeurs toxiques
• Pas de risque de blessure
• Pas de perte de pigeons d’argile, ni déchets
• Son réglable

Possible de jour comme de nuit, les tirs de ball-trap Laser sport ont été développés en Grande-Bretagne par Powercom (UK) limited, qui fabrique et distribue le système dans le monde entier. Le « pigeon » est réutilisable et flotte. Les fusils tirent un faisceau infrarouge sans danger sur des disques réutilisables. On peut contrôler les effets sonores (détonation et bris simulés).
Alternative idéale pour les loisirs et pour exercer certaines formes d’adresse, sans toutefois correspondre aux sensations du ball-trap classique (pas de recul).
Ball-trap « Laser » (infra-rouge)

Les plombs de pêche

plombs de pêche plastifiésIls tuent de nombreux oiseaux…

Un seul plomb de 5 mm est fatal pour n’importe quel huard, cormoran, héron ou goéland qui l’ingère. Comme la sauvagine, les grands oiseaux cherchent ces plombs sur les fonds, en guise de graviers nécessaires à leur digestion (grit).

Enquête -Grande-Bretagne 1986 :  pour chaque plomb de pêche fendu utilisé, il peut s’en perdre jusqu’à six (Lichvar, 1994).

Espèces ingérant des plombs de pêche (U.S.A et canada)

– Grand Héron
– Grande Aigrette
– Aigrette neigeuse 
– Cygne trompette
– Cygne tuberculé
– Cygne siffleur
– Pélican brun
– Pélican d’Amérique
– Cormoran à aigrettes
– Sterne royale
– Mouette atricille
– Goéland argenté
– Bernache du Canada
– Canard branchu

– Canard colvert
– Canard noir
– Fuligule à tête rouge
– Tortue peinte
– Alligators
– Chélydre serpentine
– Grue du Canada
– Ibis blanc
– Plongeon huard
– Huard à collier
– Grand harle
– Harle huppé
– Macreuse brune
– Pygargue à tête blanche

Combien de ces plombs de pêche retrouve-t-on sur les fonds ?
500 t de plombs de pêche perdus dans les eaux canadiennes par an !

En apnée et en quelques heures dans l’un des parcs provinciaux de l’Ontario (Canada), un plongeur  remonte aisément plus de 800 plombs de pêche (plus d’1/2 kg).

Les mesures d’étiquetage indiquant la toxicité pour les oiseaux aquatiques des plombs de pêche et des turluttes en plomb ne permettraient pas à elles seules de réduire les risques. Les plombs de pêche étant  généralement perdus par accident, l’étiquetage a peu d’effet sur ce risque.

Des substituts au plomb de pêche

Depuis longtemps obligatoires en Grande Bretagne, très peu sont disponibles en France

– surcoût : + 20 F/an (à comparer au bénéfice environnemental et de santé)
– disponibles : étain, antimoine, acier, bronze, tungstène, inox, molybdène, céramique, résine terpénique, polypropylène, tungstène-polymère, bismuth; néanmoins, mis à part le fer, l’acier et l’inox, ces métaux posent un problème pour l’environnement
Les plombs enrobés/plastifiés ne sont que provisoirement protégés. Ils s’érodent et libèrent le plomb toxique (la grenaille étamée, nickelée ou plastifiée s’avère aussi toxique que la grenaille de plomb pur, le revêtement disparaissant sous l’action de meulage dans le gésier).

L’ingestion de plombs de pêche = 1ère cause de mortalité signalée de huards à collier adultes au Canada et aux USA…avant les morts par chocs, maladies, l’emmêlement dans les lignes de pêche et les coups de fusil.

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La cuisine, pièce de vies

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Le secteur de la cuisine est en plein essor. La raison ? Les cuisinistes ont fortement investi le domaine du renouvellement, la raison ? Le marché français est ouvert, seuls 60% des domiciles sont équipés de cuisines intégrées alors qu’ils sont près de 80% en Allemagne.

Cela explique probablement la prolifération dans les magazines d’ilots centraux bétonnés ou en inox dans de magnifiques pièces alliant meubles de cuisine élégants, carrelages rares et réfrigérateurs de classe A++ .

Cependant, ce superbe ilot si avant-garde qu’il soit n’est qu’un élément parmi d’autres de cette pièce dont la vocation principale est la détente et… le travail.

La cuisine, pièce de travail

En regardant les magazines, on a tendance à vite oublier que l’on y fait beaucoup de sport. Se baisser pour attraper les bouteilles, faire des pointes pour prendre les verres, escalader pour attraper l’appareil à raclette, battre le record du 100 mètres pour éteindre le feu sous le lait. Se contorsionner pour attraper les ciseaux alors que le poulet tout juste sorti du four se la joue Steve McQueen et tente la grande évasion sur sa propre graisse…

La cuisine est définitivement l’un des espaces ou l’aménagement est primordial. Avoir ses outils à portée de main là où on les utilisera, posséder un éclairage homogène pour voir ce qui se passe dans le four, dans l’assiette dressée, ou simplement s’assurer que la vaisselle est bien faite.

Si la modularité des caissons a fait ses preuves depuis de nombreuses années, les aménagements de placard cuisine et autres rangements malins restent nos chouchous. Du tiroir d’angle qui permet de profiter d’un maximum d’espace, en passant par les portes qui s’ouvre d’une poussée de coude (utile quand on porte un pack de bouteilles de lait, une salade, douze yaourts et… son téléphone à l’oreille), sans parler des étagères en hauteur qui s’ouvrent comme des escaliers pour nous rapprocher de leur contenu sans avoir à grimper sur un escabeau…

Pour ceux qui ont des cuisines en bois brut, avec des crédences de carreaux illustrés de paysans travaillant dans les champs, et dont l’optimisation des rangements s’arrête au bac à couverts, on pense souvent au remplacement intégral.

Alors on la change ?

Oui, c’est vrai que la crédence paysanne a vieilli, que les meubles en bois brillant assombrissent l’espace riquiqui. Mais faut-il vraiment tout jeter ?

Poncer les meubles, chercher des aménagements intérieurs malins, repeindre meubles et carreaux, tout cela donnera une deuxième vie à moindre coût à cette pièce dans laquelle on passe beaucoup de temps.

Quelques idées de rénovations rapides à mettre en œuvre et assez économiques :

  • Remplacer les poignées : découvrez votre nouveau coup de cœur, les styles, les formes, et les matériaux sont extrêmement variés. Faites attention à vous assurer que leur dimension est appropriée.
  • Repeindre le carrelage de la crédence : privilégiez une peinture spécial carrelage, hydrofuge et ignifuge pour résister à la vie quotidienne et durer dans le temps.
  • Accessoiriser la crédence : nombreux sont les éléments de personnalisations, de l’aimant pour tenir les couteaux aux porte pots de fleur, il existe toutes les options possibles pour gagner de l’espace de rangement
  • Repeindre les meubles : changez de couleur, voir offrez des zones d’expressions à la craie pour les petits et les grands grâce aux peintures de type « revêtement ardoise »
  • Relooker les meubles : il existe de nombreux films adhésifs qui attendent de recouvrir vos éléments. La pose est simple, il suffit de les appliquer délicatement, puis de servir d’une palette à maroufler souple pour repousser et faire disparaitre les éventuelles bulles d’air (en cas d’extrême désespoir, un coup d’épingle et de palette fera disparaitre la vilaine bosse.
  • Planter ce que vous mangerez : le soleil berce la cuisine pourquoi pas vos plantations d’herbes aromatiques ? À l’intérieur, ou à l’extérieur, elles donneront un coup d’aération à votre pièce et enrichiront les saveurs de vos plats.
  • Illuminer la pièce : ajoutez des lumières d’appoint basse tension pour agrandir visuellement votre cuisine
  • Remplacer la robinetterie : conservez la pression et réduisez votre consommation d’eau !

 

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L’écologie concerne aussi les PME

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alternative-energy

Il n’est plus rare de voir les grandes entreprises lancer des opérations de communication autour de la prise de conscience écologique. Ces entreprises mettent en avant leurs efforts pour moins polluer et communiquent en interne pour pousser les employés à voir un comportement plus responsable écologiquement. On en entend beaucoup parler car ces entreprises ont un fort impact dans les médias, mais qu’en est-il des plus petites entreprises ? Ces PME qui existent un peu partout dans le pays ? Être une PME n’en empêche pas d’avoir un comportement écoresponsable ! On vous donne quelques conseils à mettre en place au sein de petites structures pour rendre votre entreprise plus éco-friendly !

Organiser un système de covoiturage entre employés

Si vos employés viennent en voiture, il est alors possible d’agir sur ce point. Il est en effet inutile de voir chaque matin, chaque personne venir avec sa propre voiture. Si certains habitent dans la même zone géographique, il est alors possible de mettre en place un système de covoiturage. L’imposer est certainement un peu brusque, il est préférable qu’il soit suggéré. Il est aussi important que les employés veuillent participer à ce programme et non qu’ils le voient comme une contrainte. C’est une situation gagnant-gagnant, un geste pour l’écologie mais aussi une économie pour l’employé. C’est une mesure facile à mettre en place qui peut bénéficier à tout le monde.

Choisir des fournisseurs éco-friendly

On le sait, le marché de l’entreprise est une multitude de connexions entre différentes compagnies : fournisseurs, clients… Sur ce marché, le choix des fournisseurs est très important, il permet de faire des marges, mais il peut aussi vous aider à orienter votre politique. En choisissant un fournisseur éco-friendly vous pouvez alors garantir une chaine de production « verte ». Prenons l’exemple de l’entreprise print24 spécialiste dans l’impression de flyers. Elle propose des flyers en papier recyclé ce qui permet aux entreprises qui veulent utiliser ce type de support publicitaire, de le faire de façon écologique.

Former ses employés au tri des déchets

Une entreprise, même si elle de petite taille, peut produire énormément de déchets. Les déchets peuvent être de toutes sortes et il est important de les trier, c’est d’ailleurs obligatoire depuis le 1er janvier, même si pour l’instant c’est encore peu mis en place. Si les locaux dans lesquels votre entreprise n’en sont pas équipées, faites installer des poubelles de différentes couleurs permettant un tri efficace des déchets : carton, plastique, verre, déchets ménagers… En formant vos employés, vous garantissez à votre entreprise une gestion écologique sur la question. C’est un point important sur lequel de nombreuses compagnies sont aujourd’hui en retard. À vous de ne pas en faire partie !

Il est donc simple et peu coûteux de mettre en place des petites mesures qui rendront votre entreprise plus verte. N’hésitez pas à communiquer sur ce point, faites savoir que vous respectez l’environnement, cela pourra vous faire gagner en clientèle.

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Comment imprimer de façon écologique ?

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Même si notre société a tendance à évoluer vers le « tout numérique » pour conserver ses dossiers sur son smartphone ou son ordinateur, il nous arrive encore d’imprimer des documents à de nombreuses occasions. Mais à force d’imprimer ses mails, ses photos de vacances ou encore ses billets de train, c’est l’environnement qui en prend un coup. C’est pour cette raison que certaines imprimeries comme celle-ci se tournent de plus en plus vers une production écologique. Mais comment se mettre à l’impression verte à la maison ? Voici quelques gestes qui peuvent faire toute la différence.

Faire des économies de papier

Si vous souhaitez imprimer des documents de manière écologique, la première chose à modifier est le papier que vous utilisez. Il existe plusieurs solutions afin d’éviter le gaspillage et ainsi respecter l’environnement. Réduisez les pertes en diminuant la marge et en utilisant une police d’écriture qui consommera moins d’encre lors de l’impression. Vous pouvez également imprimer sur une feuille recto-verso. Vous utiliserez ainsi moins de papier et votre stock durera plus longtemps. L’autre alternative passe également par le papier écologique. Optez pour des feuilles au label FSC (Forest Stewardship Council) pour votre imprimante. Grâce à cette certification, vous êtes sûr d’utiliser un papier qui provient d’une forêt gérée de manière durable et responsable.

Prendre soin des cartouches d’encre

Concernant les cartouches d’encre, il existe également quelques astuces pour limiter leurs impacts sur l’environnement. Tout d’abord, pensez à prendre des cartouches d’encre de marques se préoccupant de l’environnement. C’est par exemple le cas des cartouches Lexmark dont la marque recherche à réduire son impact sur l’environnement. Veillez également à utiliser vos consommables jusqu’au bout pour épuiser toute l’encre disponible. Une fois vides, vous pouvez recharger ou recycler vos cartouches. Comme l’encre utilisée dans les cartouches est très toxique et donc dangereuse pour l’environnement, rien ne vous empêche d’opter pour une encre végétale. Cette dernière a l’avantage de réduire la consommation de papier tout en gardant une impression de bonne qualité.

Se servir d’imprimantes plus écolos

Pour une impression plus verte, vous pouvez utiliser le mode « brouillon » de votre imprimante qui va permettre de réduire la consommation d’encre. Pensez également à économiser vos cartouches d’encre couleur en imprimant le plus possible en noir et blanc. De nos jours, il est possible de trouver des modèles d’imprimantes de plus en plus soucieuses de l’environnement. L’imprimante la plus connue dans ce domaine est la Prixma MP640 de Canon qui a reçu le label Energy Star. Elle imprime en recto verso automatiquement et consomme peu d’énergie. Un autre style d’imprimante verte : les modèles sans encre qui ont également tendance à se développer. Toutes les idées sont bonnes pour imprimer de manière écologique.

Envie de découvrir davantage d’innovations écologiques ? Alors venez jeter un œil à notre rubrique objet-écolo.

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