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Environnement

La nature en hiver : ses moyens pour affronter le froid

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La nature en hiver !

Faune

Dans l’hémisphère nord c’est la période de l’année qui commence le 21 ou 22 décembre au solstice d’hiver et qui se termine le 20 ou 21 mars à l’équinoxe de printemps.

L’hiver c’est la saison la plus froide de l’année, avec des périodes de gel régulières ainsi que peu de nourriture disponible.

Pour passer l’hiver les êtres vivants (végétaux et animaux) ont recours à diverses solutions, on peut distinguer deux stratégies principales :

  • rester sur place et résister au froid
  • migrer vers des lieux plus chauds

Les végétaux

Quelque soit la méthode utilisée pour passer l’hiver, l’idée principale est de réduire son activité et de rentrer ainsi dans un cycle semis léthargique après s’être protégé.

laurier– Les feuillus en perdant leurs feuilles, évitent de perdre d’énorme quantité d’eau par évaporation, et comme les buissons, ils prennent soin de mettre à l’abri dans une enveloppe d’écailles leurs bourgeons dès l’automne.
– D’autres comme les myrtilliers ou les lauriers, ne perdant pas leurs feuilles, résistent grâce à leur pauvreté en eau, et à une teneur en sel minéraux élevées qui les protègent du gel; dame nature ne faisant pas les choses à moitié, ces plantes ont en général des feuilles de couleurs sombres qui captent mieux la chaleur émise par les rayons du soleil (photo ci-contre, un laurier à feuillage persistant).
– Pour les plantes à rosette, la tactique adoptée consiste à réduire le plus possible sa végétation pour ne plus garder que quelques pousses et bourgeons hors du sol, et d’emmagasiner le plus d’énergie possible dans les racines.
bulbe– Concernant les plantes à bulbes, tubercule ou rhizome, plus rien n’apparaît au sol, la plante s’est « repliée » dans le sol avec une surcharge d’énergie dans son bourgeon souterrain (grâce à la couche de terre, elle est protégée du froid).
– Reste toutes les autres plantes qui ne peuvent résister à l’hiver et meurent. Mais pour perpétuer leur espèce, elles libèrent des graines qui le printemps venu, pourrons germer et donner naissance à leur descendance.

Par ailleurs, tous les végétaux restent sur place. Ils n’ont pas le choix, ils doivent s’adapter ou mourir. Un botaniste scandinave C. Raunkiaer, est à l’origine d’une classification réunissant les différentes stratégies utilisées par les plantes pour passer l’hiver; celle-ci repose (pour simplifier) sur la hauteur à laquelle se trouve les bourgeons.

On trouve ainsi cinq familles :

La science c’est bien, mais dans la pratique que se passe t’il ?

Les animaux

Contrairement aux plantes les animaux peuvent se déplacer, ce qui va permettre à certains d’entre eux d’aller passer l’hiver dans des contrées plus chaudes (les chanceux).
On peut dénombrer deux grandes stratégies, pour passer l’hiver, dans le monde animal :

  • rester sur place et résister au froid
  • aller vers des lieux plus chaud

Rester sur place et résister au froid :

Deux attitudes pour tenir tête au froid : l’hibernation ou l’adaptation

L’hibernation

Elle ne se produit que chez les animaux homéothermes3 tels que certains mammifères et oiseaux. Durant cette période la température interne de ces animaux va descendre (tout en restant légèrement positive de 5 à 10 degrés) et s’aligner sur la température du lieu dans lequel ils se trouvent (terrier, grotte, tas de feuilles …..). Dans cet état, il n’y a plus aucune activité nerveuse, musculaire et alimentaire. La respiration et la consommation d’oxygène sont également ralenties. Cette phase dite de torpeur, est régulièrement entrecoupée de bref éveil pour piocher dans les réserves et se dégourdir un peu les membres.

Les vieux murs (photo de droite) sont des lieux de résidence très apprécié, pour passer la mauvaise saison, par les insectes, lézards, escargots, et autres petits animaux qui trouvent un abri entre les pierres.

La posture en boule prise par les hibernants, limite leur perte de chaleur. A gauche, un hérisson.

Le but de l’hibernation est de réduire les dépenses énergétiques (à cause du manque de nourriture) par une activité nulle et de se protéger du froid dans un abri spécialement préparé en adoptant une position en boule.

Parmi les animaux qui hibernent, les plus connus sont le hérisson, le loir, le hamster, la marmotte, la taupe, la chauve-souris.

L’ours, le blaireau et le putois n’hibernent pas tout à fait, la différence vient du fait que leur température chute peu, de 5 à 7 degrés et que malgré leur position en boule et leur somnolence, ils sont capables pendant cette période de réagir et de se déplacer, même hors de leur tanière lorsque le temps le permet. L’ours est même capable pendant cette période de mettre bas, et d’alimenter ses petits.

Les reptiles et les batraciens (dit animaux à sang froid) adoptent la même stratégie contre le froid et la privation de nourriture, ils se réfugient sous des tas de feuilles, de pierres, ou même s’enfouissent dans la boue. Néanmoins, ils peuvent encore malgré une température interne généralement inférieure à 10° effectuer de cours déplacements telle la couleuvre. Dans cette catégorie on trouve la vipère, la grenouille, le crapaud, le lézard, la tortue, etc…

L’adaptation

Pour tous les autres animaux qui restent sur place et néanmoins n’hibernent pas, une seule solution, s’adapter.
En plus d’une réserve de graisse ils doivent se protéger à l’aide d’un plumage ou d’une fourrure plus dense, éventuellement se construire un gîte pour se protéger du vent et des intempéries hivernale (comme l’écureuil). D’autres animaux changent de couleur telle l’hermine ou le lièvre variable, cela pour mieux se confondre dans le paysage hivernal.

Pour la nourriture, comme dans le cas de quelques rongeurs, les animaux font des réserves. Ils emmagasinent dans leur gîte des noisettes, des céréales, des glands, etc…..) mais pour la plupart, pas de réserves, il faut trouver la nourriture :

  • les branches et écorces satisfont les herbivores comme les cerfs, les chevreuils …
  • les rongeurs régalent les renards et les rapaces …
  • les moineaux, pivert et autres oiseaux se nourrissent de graines sèches et d’insectes.

Aller vers des lieux plus chaud :

C’est ce qui s’appelle  » migrer « .
Dans ce cas pas de mutation ou de transformation de l’animal. Il y a juste un déplacement volontaire vers des régions plus chaudes et surtout plus riche en disponibilités alimentaire. La plupart des migrations se font en groupe de quelques dizaines, à plusieurs milliers d’individus.
migration des oiesVoici quelques cas de migration remarquable :

  • les morses migrent en se laissant dériver sur des blocs de glaces détachées de la banquise, ainsi sans effort, ils rejoignent leurs territoires d’hiver.
  • les oiseaux eux adoptent souvent des formations de vols en V, faisant un roulement en tête du V pour se reposer.
  • le sterne arctique, un des oiseaux migrateur, détient le record de distance de migration, soit 40000 km en huit mois

D’autres animaux migrateurs : l’hirondelle, le coucou, le manchot Adélie, la baleine, le criquet, la cigogne …
Pas d’animaux terrestres dans cette catégorie, pourquoi ? Tout simplement parce qu’il est beaucoup plus facile de se déplacer à moindre effort dans l’eau comme dans l’air avec les différents courant et que les obstacles se franchissent plus facilement.

 Les insectes

coccinelleChez eux, 3 stratégies :

  • Rester sur place
  • Migrer
  • Se reproduire et mourir

Rester sur place

– Pour les abeilles par exemple, cela veut dire se regrouper dans un abri et former une grappe compacte afin de maintenir une température constante (environ 35°) au centre de celle-ci. Les insectes à la périphérie de la grappe rentrent régulièrement au milieu, afin de se réchauffer, et, ce roulement va se faire quasiment pendant 4 mois, durant lesquels, elles consommeront le miel de la ruche, et pour des raisons d’hygiène, elles retiendront leurs excréments jusqu’à la prochaine sortie.

– Pour d’autres se cacher sous l’écorce des arbres, dans des tas de bois ou de feuilles suffit pour se protéger du froid dans des états semi léthargiques (la coccinelle, la femelle fécondé du bourdon etc …).

– Cependant, la manière de passer l’hiver sur place, pour une majorité d’insectes (mouche, blatte, cigale, moustique, etc…) est la diapause. Il s’agit d’un arrêt du développement consécutif à la diminution du jour, dans ce cas les insectes se protègent également du froid comme les autres animaux, mais à la différence, que pour reprendre une vie normale, il faut que la durée du jour franchisse un certain seuil (différent selon les espèces)

Migrer

Parmi les rares insectes à migrer pour des raisons climatiques figure un superbe papillon (le monarque) qui effectue-lui aussi, des milliers de kilomètres par hiver, en formant des amas qui peuvent recouvrir un arbre.

Se reproduire et mourir

En effet plusieurs insectes sont incapables de passer l’hiver, aussi pour perpétuer leur espèce ils déposent leurs progénitures à l’abri des rigueurs de l’hiver, afin que le moment venu, ceux-ci puissent se développer, et participer à leur tour au cycle de la vie (pucerons, papillons).

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La cuisine, pièce de vies

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Le secteur de la cuisine est en plein essor. La raison ? Les cuisinistes ont fortement investi le domaine du renouvellement, la raison ? Le marché français est ouvert, seuls 60% des domiciles sont équipés de cuisines intégrées alors qu’ils sont près de 80% en Allemagne.

Cela explique probablement la prolifération dans les magazines d’ilots centraux bétonnés ou en inox dans de magnifiques pièces alliant meubles de cuisine élégants, carrelages rares et réfrigérateurs de classe A++ .

Cependant, ce superbe ilot si avant-garde qu’il soit n’est qu’un élément parmi d’autres de cette pièce dont la vocation principale est la détente et… le travail.

La cuisine, pièce de travail

En regardant les magazines, on a tendance à vite oublier que l’on y fait beaucoup de sport. Se baisser pour attraper les bouteilles, faire des pointes pour prendre les verres, escalader pour attraper l’appareil à raclette, battre le record du 100 mètres pour éteindre le feu sous le lait. Se contorsionner pour attraper les ciseaux alors que le poulet tout juste sorti du four se la joue Steve McQueen et tente la grande évasion sur sa propre graisse…

La cuisine est définitivement l’un des espaces ou l’aménagement est primordial. Avoir ses outils à portée de main là où on les utilisera, posséder un éclairage homogène pour voir ce qui se passe dans le four, dans l’assiette dressée, ou simplement s’assurer que la vaisselle est bien faite.

Si la modularité des caissons a fait ses preuves depuis de nombreuses années, les aménagements de placard cuisine et autres rangements malins restent nos chouchous. Du tiroir d’angle qui permet de profiter d’un maximum d’espace, en passant par les portes qui s’ouvre d’une poussée de coude (utile quand on porte un pack de bouteilles de lait, une salade, douze yaourts et… son téléphone à l’oreille), sans parler des étagères en hauteur qui s’ouvrent comme des escaliers pour nous rapprocher de leur contenu sans avoir à grimper sur un escabeau…

Pour ceux qui ont des cuisines en bois brut, avec des crédences de carreaux illustrés de paysans travaillant dans les champs, et dont l’optimisation des rangements s’arrête au bac à couverts, on pense souvent au remplacement intégral.

Alors on la change ?

Oui, c’est vrai que la crédence paysanne a vieilli, que les meubles en bois brillant assombrissent l’espace riquiqui. Mais faut-il vraiment tout jeter ?

Poncer les meubles, chercher des aménagements intérieurs malins, repeindre meubles et carreaux, tout cela donnera une deuxième vie à moindre coût à cette pièce dans laquelle on passe beaucoup de temps.

Quelques idées de rénovations rapides à mettre en œuvre et assez économiques :

  • Remplacer les poignées : découvrez votre nouveau coup de cœur, les styles, les formes, et les matériaux sont extrêmement variés. Faites attention à vous assurer que leur dimension est appropriée.
  • Repeindre le carrelage de la crédence : privilégiez une peinture spécial carrelage, hydrofuge et ignifuge pour résister à la vie quotidienne et durer dans le temps.
  • Accessoiriser la crédence : nombreux sont les éléments de personnalisations, de l’aimant pour tenir les couteaux aux porte pots de fleur, il existe toutes les options possibles pour gagner de l’espace de rangement
  • Repeindre les meubles : changez de couleur, voir offrez des zones d’expressions à la craie pour les petits et les grands grâce aux peintures de type « revêtement ardoise »
  • Relooker les meubles : il existe de nombreux films adhésifs qui attendent de recouvrir vos éléments. La pose est simple, il suffit de les appliquer délicatement, puis de servir d’une palette à maroufler souple pour repousser et faire disparaitre les éventuelles bulles d’air (en cas d’extrême désespoir, un coup d’épingle et de palette fera disparaitre la vilaine bosse.
  • Planter ce que vous mangerez : le soleil berce la cuisine pourquoi pas vos plantations d’herbes aromatiques ? À l’intérieur, ou à l’extérieur, elles donneront un coup d’aération à votre pièce et enrichiront les saveurs de vos plats.
  • Illuminer la pièce : ajoutez des lumières d’appoint basse tension pour agrandir visuellement votre cuisine
  • Remplacer la robinetterie : conservez la pression et réduisez votre consommation d’eau !

 

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L’écologie concerne aussi les PME

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Il n’est plus rare de voir les grandes entreprises lancer des opérations de communication autour de la prise de conscience écologique. Ces entreprises mettent en avant leurs efforts pour moins polluer et communiquent en interne pour pousser les employés à voir un comportement plus responsable écologiquement. On en entend beaucoup parler car ces entreprises ont un fort impact dans les médias, mais qu’en est-il des plus petites entreprises ? Ces PME qui existent un peu partout dans le pays ? Être une PME n’en empêche pas d’avoir un comportement écoresponsable ! On vous donne quelques conseils à mettre en place au sein de petites structures pour rendre votre entreprise plus éco-friendly !

Organiser un système de covoiturage entre employés

Si vos employés viennent en voiture, il est alors possible d’agir sur ce point. Il est en effet inutile de voir chaque matin, chaque personne venir avec sa propre voiture. Si certains habitent dans la même zone géographique, il est alors possible de mettre en place un système de covoiturage. L’imposer est certainement un peu brusque, il est préférable qu’il soit suggéré. Il est aussi important que les employés veuillent participer à ce programme et non qu’ils le voient comme une contrainte. C’est une situation gagnant-gagnant, un geste pour l’écologie mais aussi une économie pour l’employé. C’est une mesure facile à mettre en place qui peut bénéficier à tout le monde.

Choisir des fournisseurs éco-friendly

On le sait, le marché de l’entreprise est une multitude de connexions entre différentes compagnies : fournisseurs, clients… Sur ce marché, le choix des fournisseurs est très important, il permet de faire des marges, mais il peut aussi vous aider à orienter votre politique. En choisissant un fournisseur éco-friendly vous pouvez alors garantir une chaine de production « verte ». Prenons l’exemple de l’entreprise print24 spécialiste dans l’impression de flyers. Elle propose des flyers en papier recyclé ce qui permet aux entreprises qui veulent utiliser ce type de support publicitaire, de le faire de façon écologique.

Former ses employés au tri des déchets

Une entreprise, même si elle de petite taille, peut produire énormément de déchets. Les déchets peuvent être de toutes sortes et il est important de les trier, c’est d’ailleurs obligatoire depuis le 1er janvier, même si pour l’instant c’est encore peu mis en place. Si les locaux dans lesquels votre entreprise n’en sont pas équipées, faites installer des poubelles de différentes couleurs permettant un tri efficace des déchets : carton, plastique, verre, déchets ménagers… En formant vos employés, vous garantissez à votre entreprise une gestion écologique sur la question. C’est un point important sur lequel de nombreuses compagnies sont aujourd’hui en retard. À vous de ne pas en faire partie !

Il est donc simple et peu coûteux de mettre en place des petites mesures qui rendront votre entreprise plus verte. N’hésitez pas à communiquer sur ce point, faites savoir que vous respectez l’environnement, cela pourra vous faire gagner en clientèle.

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Comment imprimer de façon écologique ?

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Même si notre société a tendance à évoluer vers le « tout numérique » pour conserver ses dossiers sur son smartphone ou son ordinateur, il nous arrive encore d’imprimer des documents à de nombreuses occasions. Mais à force d’imprimer ses mails, ses photos de vacances ou encore ses billets de train, c’est l’environnement qui en prend un coup. C’est pour cette raison que certaines imprimeries comme celle-ci se tournent de plus en plus vers une production écologique. Mais comment se mettre à l’impression verte à la maison ? Voici quelques gestes qui peuvent faire toute la différence.

Faire des économies de papier

Si vous souhaitez imprimer des documents de manière écologique, la première chose à modifier est le papier que vous utilisez. Il existe plusieurs solutions afin d’éviter le gaspillage et ainsi respecter l’environnement. Réduisez les pertes en diminuant la marge et en utilisant une police d’écriture qui consommera moins d’encre lors de l’impression. Vous pouvez également imprimer sur une feuille recto-verso. Vous utiliserez ainsi moins de papier et votre stock durera plus longtemps. L’autre alternative passe également par le papier écologique. Optez pour des feuilles au label FSC (Forest Stewardship Council) pour votre imprimante. Grâce à cette certification, vous êtes sûr d’utiliser un papier qui provient d’une forêt gérée de manière durable et responsable.

Prendre soin des cartouches d’encre

Concernant les cartouches d’encre, il existe également quelques astuces pour limiter leurs impacts sur l’environnement. Tout d’abord, pensez à prendre des cartouches d’encre de marques se préoccupant de l’environnement. C’est par exemple le cas des cartouches Lexmark dont la marque recherche à réduire son impact sur l’environnement. Veillez également à utiliser vos consommables jusqu’au bout pour épuiser toute l’encre disponible. Une fois vides, vous pouvez recharger ou recycler vos cartouches. Comme l’encre utilisée dans les cartouches est très toxique et donc dangereuse pour l’environnement, rien ne vous empêche d’opter pour une encre végétale. Cette dernière a l’avantage de réduire la consommation de papier tout en gardant une impression de bonne qualité.

Se servir d’imprimantes plus écolos

Pour une impression plus verte, vous pouvez utiliser le mode « brouillon » de votre imprimante qui va permettre de réduire la consommation d’encre. Pensez également à économiser vos cartouches d’encre couleur en imprimant le plus possible en noir et blanc. De nos jours, il est possible de trouver des modèles d’imprimantes de plus en plus soucieuses de l’environnement. L’imprimante la plus connue dans ce domaine est la Prixma MP640 de Canon qui a reçu le label Energy Star. Elle imprime en recto verso automatiquement et consomme peu d’énergie. Un autre style d’imprimante verte : les modèles sans encre qui ont également tendance à se développer. Toutes les idées sont bonnes pour imprimer de manière écologique.

Envie de découvrir davantage d’innovations écologiques ? Alors venez jeter un œil à notre rubrique objet-écolo.

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