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Mobilité électrique : où en est la France ?

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prolongateur d'autonomie Tender pour voiture électrique

prolongateur d'autonomie Tender pour voiture électrique

Alors que les dirigeants de 195 pays cherchaient lors de la COP21 des solutions afin de limiter à 2 degrés la hausse de la température moyenne de notre planète d’ici à la fin de ce siècle, il n’est pas inutile de rappeler qu’aujourd’hui quelque 800 millions de voitures circulent sur les routes du monde et qu’elles seront plus de 2 milliards en 2050. D’où l’importance de développer la mobilité électrique et d’encourager les automobilistes à se détourner des combustibles fossiles.
En France, le gouvernement a multiplié les mesures en la matière : prime pour le remplacement d’un véhicule diesel polluant, crédit d’impôt pour l’installation de points de recharge par les particuliers, création d’un réseau d’infrastructures de recharge sur l’espace public, renforcement de l’obligation d’achat des flottes publiques… Autant de dispositifs qui permettent à la France d’être actuellement exemplaire sur le marché européen de l’électrique. Elle est ainsi le pays européen où le taux de pénétration des modèles hybrides est le plus élevé et le deuxième (derrière la Norvège) affichant le niveau de ventes de véhicules électriques le plus important. Grâce aux très généreux dispositifs en vigueur (un bonus « écologique » de 6 300 euros et un Superbonus de 3 700 euros supplémentaires), 20 000 voitures électriques devraient être commercialisées dans l’Hexagone cette année, ce qui représente 1 % de part de marché.
Bientôt une voiture électrique low cost ?
Le gouvernement semble décidé à poursuivre dans cette voie, la ministre de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie ayant récemment annoncé son souhait de voir émerger une voiture électrique low cost. Pour Ségolène Royal, il est indispensable de rendre l’électrique accessible aux classes moyennes des pays en développement, d’où l’idée de lancer dès 2016 cet appel à projets destiné à concevoir, développer et commercialiser une voiture électrique dont le prix de vente serait compris entre 5 000 et 7 000 euros.
A l’heure actuelle, le coût d’acquisition des véhicules électriques est un des principaux facteurs limitant la progression de la mobilité électrique. La microcitadine indienne Mahindra e20 est commercialisée à 15 000 dollars (hors aides), tandis qu’en France le prix d’achat de la citadine Renault ZOE reste plus élevé, à 15 600 euros (bonus déduit), hors location des batteries (à partir de 49 euros/mois). Le prix de la voiture électrique que Mme Royal appelle de ses vœux serait donc de nature à changer la donne car, comme le rappelle Gaëtan Toulemonde, analyste à la Deutsche Bank, « le vrai low cost, c’est lorsque les prix baissent d’environ 50 % par rapport à une voiture de même gamme ».
En France, les bornes de recharges publiques bourgeonnent
L’autre point faible des voitures électriques est sans doute la difficulté liée à leur recharge et la faiblesse des réseaux de distribution d’énergie. Sur ce plan, la France peut également être relativement fière. D’après le dernier recensement effectué par l’Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere), le pays compte à ce jour 10 161 bornes de recharge publiques pour véhicules électriques et hybrides. Certes, le réseau demeure trop concentré dans quelques départements, notamment Paris et sa petite couronne, le Rhône et la Gironde, mais des initiatives originales voient le jour et laissent penser que le maillage du territoire va se poursuivre.
Le réseau Corri-Door en est le meilleur exemple. Porté et coordonné par EDF, sa filiale Sodetre, les constructeurs automobiles Renault, Nissan, BMW et Volkswagen ainsi que ParisTech, le consortium privé Corri-Door déploie un réseau de 200 bornes rapides interopérables sur les grands axes autoroutiers et en périphérie des grandes villes françaises. Le dispositif permettra de récupérer plus de 80 % d’autonomie en moins de 30 minutes grâce aux bornes de recharge placées tous les 80 km. Cela rendra enfin possible les déplacements inter-urbains.
600 km d’autonomie ?
De leur côté, les constructeurs automobiles innovent et font tout leur possible pour mettre en valeur le principe de la mobilité. Si PSA réfléchit à une nouvelle stratégie fondée sur le nouveau profil du consommateur automobile, Nissan pourrait proposer dès 2016 une voiture électrique équipée d’un prolongateur d’autonomie. Le nouveau véhicule serait capable de parcourir plus de 600 kilomètres grâce à un petit moteur thermique servant à recharger la batterie, de quoi couper court aux critiques concernant les limites d’autonomie de l’électrique.
Une chose est sûre : les projets de la mobilité électrique continueront de se multiplier. Les Etats, les industriels et les consommateurs y voient de plus en plus en moyen pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre et une chance pour sortir du pétrole. Nous devons nous préparer à une éclosion de projets et d’innovations sans précédents dans ce domaine, du moins faut-il l’espérer.
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Huiles essentielles : découvrez le ravintsara et ses bienfaits

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De plus en plus de français vantent les vertus des huiles essentielles pour un usage quotidien. En diffusion, inhalation, massages ou parfois même en ingestion, certaines essences, comme la lavande ou l’eucalyptus, sont plébiscitées. A Albi, une boutique aide même des patients atteints de Covid-19 à retrouver l’odorat grâce à l’aromathérapie ! Huile essentielle phare des connaisseurs, le ravintsara reste relativement méconnu du grand public. Zoom sur cette plante complète et familiale. 

Mais d’où viennent les huiles essentielles de Ravintsara ?

Importé de Chine, le ravintsara est un arbre qui pousse aujourd’hui principalement sur l’île de Madagascar. Bien que faisant partie de la famille des camphriers, vous ne trouverez pas de camphre dans l’huile essentielle de ravintsara ! Attention également à ne pas le confondre avec le ravensare aromatique, lui aussi présent sur les terres malgaches. Ce dernier fait partie de la famille des lauracées et ses indications sont très différentes.

Obtenue par distillation des feuilles fraîches à la vapeur, la teneur en eucalyptol est élevée avec l’huile essentielle de ravintsara. Ceci lui confère donc une odeur agréable, fraîche et légèrement épicée.

Ravintsara indication : dans quelles circonstances utiliser cette huile essentielle ?

Comme pour beaucoup d’huiles essentielles, l’essence de ravintsara possède de nombreux atouts et peut être utilisée pour vous aider dans différents domaines.

L’huile essentielle de ravintsara et les affections respiratoires

Le ravintsara est reconnu pour ses qualités anti-infectieuses, antivirales et tonifiantes. L’huile essentielle de ravintsara est ainsi le plus souvent indiquée pour aider à soulager les affections respiratoires telles que la grippe, la bronchite ou les rhinopharyngites. Considéré comme un antibiotique naturel, le ravintsara possède des propriétés fluidifiantes et expectorantes, particulièrement conseillée dans les toux sèches. Il est également préconisé pour stimuler les défenses immunitaires et renforcer l’organisme contre les maux de l’hiver.

Les autres indications du ravintsara

Également antispasmodique, l’huile essentielle de ravintsara peut aider à soulager certaines douleurs intestinales et favorise la décontraction musculaire. Toutefois, c’est aussi pour ses bienfaits sur le tonus et l’équilibre nerveux que cette plante est souvent conseillée. Soutien contre la fatigue et les moments de déprime, le ravintsara peut aider à l’endormissement grâce à ses vertus anti-stress, et devenir un ami précieux dans l’insomnie et les troubles du sommeil.

Utilisations et précautions d’emploi de l’huile essentielle de ravintsara

Si elles sont réputées pour leur efficacité, certaines huiles essentielles sont à manier avec précaution. Des articles de presse viennent régulièrement mettre en garde contre des effets indésirables, ou même des dangers avec les sprays et les diffuseurs par exemple. Alors, qu’en est-il de l’huile essentielle de ravintsara ?

Ravintsara et grossesse : évidemment déconseillé

L’usage de l’huile essentielle de ravintsara est familial. Cela veut dire qu’il peut être utilisé pour tous à partir de 3 ans. Deux contre-indications de taille sont à noter toutefois : le ravintsara est interdit pour les personnes sous traitement immunosuppresseur, et il est également proscrit pour les femmes enceintes. Après la grossesse, il est aussi conseillé aux femmes allaitantes de demander un avis à leur médecin avant d’utiliser cette huile essentielle.

Comment utiliser les huiles essentielles de ravintsara ?

Selon le but recherché, il est possible d’utiliser les huiles essentielles en diffusion, en inhalation, par voie cutanée ou par voie interne. Certaines essences peuvent être dangereuses lorsqu’elles sont ingérées. Ce n’est pas le cas du ravintsara. Avec cette plante, tous les modes d’utilisation sont possibles sans danger, dès lors que les restrictions évoquées précédemment sont respectées. 

Une ou deux gouttes sous la langue, massage ou diffusion en synergie, inhalation par vapeur ou sur un mouchoir : tout est possible avec l’huile essentielle de ravintsara. N’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un spécialiste en aromathérapie pour déterminer les usages les plus efficaces par rapport à votre problématique.

Devenez imbattable sur toutes les huiles essentielles après le ravintsara

Vous avez découvert l’huile essentielle de ravintsara et ses multiples avantages. Découvrez l’aromathérapie dans son ensemble et déclinez les huiles essentielles en des synergies qui vous ressemblent. Cela pourrait bien changer votre vie.

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Sommeil : nos conseils pour s’endormir facilement et rapidement

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Identifier la cause de ses problèmes de sommeil n’est pas toujours chose aisée. En effet, les raisons d’un mauvais sommeil sont diverses et peuvent être d’origine psychologique, physiologique ou environnementale. Parmi elles, le stress, une alimentation déséquilibrée, des excès de caféine ou d’alcool, l’utilisation d’écrans au coucher, ou encore un environnement peu propice au sommeil (bruit, chaleur, luminosité, mauvaise literie) etc. Mettre le doigt sur les sources de vos troubles du sommeil vous permettra de trouver des solutions adaptées. 

 

Prendre conscience de son rythme circadien 

 

Nous possédons tous une horloge interne de sommeil, appelée rythme circadien, qui influence notre sensation de fatigue. C’est un rythme qui est défini par l’alternance entre la veille, qui correspond à la période de la journée où l’on est éveillé, et le sommeil. Le décalage horaire ou encore un endormissement et un réveil à des heures différentes perturbent fréquemment les rythmes habituels de sommeil et de veille.

Il convient de se coucher tous les soirs à peu près à la même heure pour permettre à son rythme circadien de programmer cette heure de manière interne. Pratiquer une activité physique pendant la journée est également conseillé pour améliorer la qualité de votre sommeil. Toutefois, un entraînement trop intensif, notamment en fin de journée, peut provoquer des problèmes à l’endormissement.

 

Améliorer sa literie 

 

Vous dormez sur un matelas qui commence à vieillir ou utilisez un oreiller devenu difforme avec le temps ? Une literie usée peut engendrer des troubles du sommeil non négligeables, en plus de problèmes de santé, notamment des maux de dos.

Il est peut-être temps d’opter pour une literie de meilleure qualité ! De plus en plus de marques développent des technologies avancées qui promettent une expérience de sommeil optimale. Ainsi, les matelas Emma offrent une adaptabilité maximale, grâce à une technologie de mousse qui propose plusieurs zones de confort et qui convient donc à toutes les morphologies.

 

Contrer le stress

 

Si c’est le stress qui vous empêche d’avoir un sommeil digne de ce nom, alors il va vous falloir trouver les méthodes qui vous permettront de le gérer au mieux. Il existe une foule de techniques à essayer, telles que l’aromathérapie, la méditation, l’ASMR, la lecture, l’écriture, s’endormir avec de la musique… S’accorder entre 30 minutes et 1 heure de relaxation avant de se coucher peut avoir de formidables résultats. Votre corps et votre esprit s’en trouveront détendus avant même que votre tête ne touche l’oreiller.

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Assurance habitation : nos conseils pour bien faire votre choix

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L’assurance habitation est primordiale afin de protéger votre logement et vos biens en cas de sinistre, mais aussi les membres de votre foyer. Véritable garantie pour faire face aux aléas de la vie, elle permet de se prémunir contre les préjudices. Découvrez nos conseils afin de choisir l’assurance habitation la plus adaptée à votre situation, qui vous assurera une sérénité garantie.

Assurance habitation : une obligation ?

Vous êtes locataire ? Vous avez l’obligation de souscrire à une assurance habitation auprès d’un assureur comme Groupama par exemple. Vous êtes copropriétaire occupant ou non occupant de votre logement et vous le louez ? Il est obligatoire dans ce cas, d’assurer à minima sa responsabilité civile pour pouvoir être couvert des éventuels dommages causés aux autres. Ne pas être assuré, c’est prendre le risque de devoir assumer seul l’entière responsabilité financière des sinistres causés par soi-même ou par le logement lui-même.

Evaluez rigoureusement vos besoins 

Afin d’opter pour une assurance habitation adaptée, il convient de prendre en compte plusieurs critères : la composition de votre foyer, vos besoins spécifiques, votre situation (propriétaire ou locataire)… Pour qu’elle vous protège au mieux, une assurance habitation doit pouvoir compenser la dégradation, le vol ou la destruction de vos biens en cas de sinistre.

Estimez la valeur de vos biens de façon précise

Pour qu’ils soient couverts à leur juste valeur, il est important d’évaluer avec justesse la valeur de vos biens mobiliers. Cela concerne l’ensemble des objets personnels qui se trouvent dans votre logement : meubles, électroménager, équipements technologiques ou encore vêtements ou sacs à main… A noter qu’il vaut mieux surestimer et être bien couvert, plutôt que de minimiser afin d’obtenir une prime moins chère. Petit conseil supplémentaire : conservez les justificatifs d’achat et des photos de vos biens en cas de sinistre.

Comptabilisez les pièces de votre logement

Certains contrats considèrent comme pièce une surface de plus de 7m2 quand d’autres exigent plus de 9m2. Cuisine, salle de bains, toilettes, entrée et terrasse ne sont pas comptabilisées, à la différence des combles transformés en mezzanine ou en pièces à vivre. En outre, selon les contrats, une pièce de plus de 30 ou 40 m2 peut être considérée comme constituant 2 pièces.

Forts de ces conseils, il ne vous reste plus qu’à demander et à comparer des devis d’assurances habitation de différents acteurs de référence du marché comme Groupama, par exemple. 

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