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Santé et additifs alimentaires (1ere partie)

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La plupart des aliments produits industriellement seraient insipides, d’un aspect peu encourageant, de faible valeur nutritive et/ou d’une conservation limitée sans ajout d’additifs alimentaires.

Qu’est ce
qu’un additif alimentaire

De longue date, l’homme a cherché à modifier le goût, l’apparence et la conservation de ses aliments. Sans certains additifs comme le sel, le vinaigre ou le salpêtre (nitrate de potassium), nul doute que notre évolution n’aurait pas été identique.

Aujourd’hui, les additifs que l’on trouve dans notre alimentation sont dérivés de la houille ou du pétrole, ou extraits de tissus animaux et végétaux :

  • Les additifs naturels
    Issus du monde minéral, végétal ou animal, ils ne sont pas sans risques pour la santé.

  • Les additifs synthétiques
    Créer pour se substituer aux substances naturelles plus onéreuses, ils peuvent être dangereux, notamment si leur fabrication exige des solvants qui ne sont pas entièrement éliminés.

  • Les additifs artificiels
    Non présent à l’état naturel, ces substances sont créées de toutes pièces.
  • Selon le décret du 18 septembre 1989,  officiellement :

    « On entend par additif alimentaire toute substance habituellement non consommée comme aliment en soi et habituellement non utilisée comme ingrédient caractéristique dans l’alimentation, possédant ou non une valeur nutritive, et dont l’adjonction intentionnelle aux denrées alimentaires, dans un but technologique au stade de leur fabrication, transformation, préparation, traitement, conditionnement, transport ou entreposage, a pour effet, ou peut raisonnablement être estimée avoir pour effet, qu’elle devient elle-même ou que ses dérivés deviennent, directement ou indirectement, un composant des denrées alimentaires. »

    Les différentes familles
    d’additifs alimentaires

    En Europe, les additifs alimentaires sont répartis en 25 familles (colorant, conservateur, exhausteur de goût, etc.).
    Leur dénomination est constituée d’une lettre (indiquant la provenance "E" pour communauté européenne) suivi de 3 chiffres indiquant la catégorie principale (100 pour les colorants, 200 pour les conservateurs, 300 pour les antioxydants, 400 pour les agents de texture (émulsifiants, stabilisants, épaississants, gélifiants), 500 pour les acides, 600 pour les exhausteurs de goût, 900 pour les édulcorants).

    Attention, cette structure, issue des textes officiels, n'est pas rigoureuse. En effet, certains additifs ont plusieurs propriétés, la classification lettre/chiffre doit juste être considérée comme une indication.

    Les principales familles sont les suivantes :

    • les colorants : ils modifient principalement la couleur des denrées,
    • les conservateurs : ils bloquent le développement des micro-organismes pathogènes,
    • les antioxydants ou antioxygènes : ils ralentissent l’oxydation des aliments,

    A la Une




    • les émulsifiants et les gélifiants : ils augmentent la viscosité,
    • les stabilisants : ils prolongent la durée des couleurs, mais aussi de la structure des émulsions d’eau et de corps gras à l’intérieur des denrées, principalement en charcuterie,
    • les arômes artificiels : ils parfument les denrées à la place des arômes naturels,
    • les édulcorants : ils adoucissent l’acidité de certaines préparations par leur pouvoir sucrant,
    • les exhausteurs de goût : ils accroissent la saveur des denrées,
    • les acidulants : ils augmentent l’acidité des préparations,
    • etc.

    La réglementation des additifs alimentaires

    La législation communautaire est basée sur le principe que seuls les additifs alimentaires autorisés peuvent être utilisés. En outre, la plupart des additifs ne peuvent être utilisés qu’en quantités définies selon certaines denrées alimentaires.
    Par contre, si aucune limite n’est prévue pour l’utilisation d’un additif alimentaire, la législation se repose sur l’utilisateur qui l’incorpore aux préparations alimentaires en recommandant qu’il n’en soit fait un usage juste suffisant pour réaliser l’effet technologique désiré. Avant leur autorisation, les additifs alimentaires sont évalués par le comité scientifique de l’alimentation humaine, qui en rend compte à la commission européenne.

    Les additifs alimentaires ne peuvent être autorisés que si :

  • il y a une nécessité technologique à les utiliser,
  • ils n’induisent pas le consommateur en erreur,
  • ils ne présentent aucun risque pour la santé du consommateur.
  • ==> Suite et fin de l’article

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    Pasteur, mystification et vaccination

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    Quand on sait que, d’une part, la vaccination systématique contre la rougeole correspond à l’accroissement exponentiel des cas de maladie de Crohn et que, d’autre part, le BCG ne protège plus contre la tuberculose, on peut se poser des questions sinon sur la validité des vaccins, du moins sur leur opportunité.
    Au delà de ce sujet, un petit retour en arrière sur Pasteur, figure emblématique des vaccins, peut nous aider à mieux comprendre les enjeux politiques, sociologiques, économiques et sanitaires des vaccins. Considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne, Pasteur grâce à ses découvertes, dont le vaccin contre la rage, aurait sauvé des millions de vie. Hélas, la vérité historique est tout autre.

    Le centenaire de la vérité

    La légende de Pasteur aurait pu tranquillement continuer. Car c’est lui qui a le mieux décrit comment les méchants microbes attaquaient les pauvres humains. Et c’est grâce à ce personnage historique que les autorités sanitaires ont pu faire passer les messages sur l’hygiène indispensable dans les hôpitaux et les maisons. Découverte des microbes, de la fermention, de la vaccination… il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire de Pasteur un héros national. Or, manque de chance pour lui, en 1995, la communauté scientifique a voulu commémorer le centenaire de sa mort. Des biographes convaincus ont fouillé dans les archives. Ainsi le Dr Patrice Debré a publié un livre* à la gloire de Pasteur, dans lequel on découvre, au détour des lignes, des pratiques pour le moins douteuses. Depuis, d’autres auteurs, comme le Dr Eric Ancelet**, ont alors systématiquement recherché la vérité. Le magazine Belle-santé a relayé les sérieux doutes qu’historiens et scientifiques ont récemment émis sur les inventions de Pasteur.

    Un opportuniste proche de l’Impératrice Eugénie

    Réaction anormale à un vaccinPasteur a toujours su s’appuyer sur les travaux de ses contemporains. C’est normal pour un esprit scientifique ouvert. Ce qui l’est moins, c’est qu’il se soit toujours arrangé pour qu’on oublie ses prédécesseurs. En outre, il a utilisé ses relations haut placées — et il ne pouvait guère aller plus haut puisqu’il était dans les meilleurs termes avec l’épouse de Napoléon III — pour présenter « ses » inventions et faire avancer sa carrière. Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités. Parmi ces derniers, Charles Chamberland a découvert le vaccin stable contre le charbon ; Emile Roux a mis au point l’atténuation des vaccins ; et son propre neveu, Adrien Loir a écrit : «dès le premier jour, j’étais devenu sa chose, l’accessoire indispensable dont il userait à sa guise sans trouver ni résistance ni contradiction». Plus grave, en s’opposant systématiquement à des hypothèses scientifiques audacieuses, il ralentit les progrès de la recherche. Le Dr Eric Ancelet écrit : « En 1878, Pasteur nie toujours farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp. Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.» Il aura fallu 30 ans, pour revenir sur une erreur !

    La supercherie de Pouilly-le-Fort

    Parmi les expériences publiques, mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort en 1881 est caractéristique des méthodes employées par le « grand » homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de moutons. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie. Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe.

    vaccinationCertains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur. Personnage parfois oublié, Emile Roux était un proche collaborateur de Pasteur. C’est lui qui a “peaufiné” les vaccins en mettant au point leur atténuation de façon à empêcher le germe d’agir. L’atténuation se fait physiquement (chaleur) ou chimiquement (oxygénation, acides…). Émile Roux sera à l’origine de nombreuses découvertes pasteuriennes. Il en voudra à Pasteur, le quittera pour revenir plus tard vers lui et prendre la Direction de l’Institut Pasteur. Émile Roux a brûlé de nombreuses notes et la majeure partie de sa correspondance. Autant de preuves à détruire ?

    A la Une

    Ne pas se tromper de combat

    Déboulonner la statue de Pasteur ne signifie pas qu’il faille s’attaquer à la médecine en général et à la vaccination en particulier. Les vaccins ont, selon les maladies, une efficacité plus ou moins grande et des effets secondaires différents. Chaque cas est à étudier en fonction du bénéfice risque pour l’individu et pour la société. L’éradication de la variole grâce à la vaccination est un fait historique. Le fait que certains vaccins comme le BCG soient à la fois inopérants et obligatoires en France (mais pas dans les autres pays) pose un autre problème : celui de la décision du législateur ou du politique sur des sujets qui relèvent à la fois de la vie privée de chacun et de l’intérêt commun. C’est en disant la vérité que des murs peuvent tomber : en déboulonnant Staline et Lénine, le mur de Berlin est tombé. En déboulonnant Pasteur, le mur qui sépare la plupart des patients de leur médecin pourra aussi tomber. Car il faut espérer une meilleure compréhension de part et d’autre.

    * Dr. Patrice Debré => Louis Pasteur – Flammarion 1994.
    ** En finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique – Dr Eric Ancelet – Collection Résurgence – Editions Marco Pietteur – 270 pages – 24, 90 €.

    Un peu d’histoire

    14 mai 1796 : Jenner, médecin anglais inocule sur un enfant de 8 ans en bonne santé du pus de variole prélevé sur une fermière malade. L’enfant ne meurt pas. La vaccination est inventée.
    27 décembre 1822 : Naissance de Louis Pasteur
    1847 : Inspiré par les travaux de Jean-Baptise Dumas, Pasteur présente une thèse sur la cristallographie. Il s’agit d’une découverte importante sur les déviations de la lumière.
    cuve de pasteurisation pour la conservation des denrées alimentaires1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
    1857 : Nommé Directeur scientifique à l’Ecole Normale Supérieure, Pasteur entame les recherches sur la fermentation et invente un procédé qu’il appelle “pasteurisation”.
    1864 : Pasteur prouve en public que la génération spontanée n’existe pas. C’est le début de sa célébrité pupulaire.
    1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
    1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue, mais sera reprise plus tard par Pasteur.
    1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie. Par la suite, les biographes de Pasteur oublieront systématiquement les travaux d’Antoine Béchamp sur la fermentation et sur le ver à soie.
    19 octobre 1868 : Pasteur est victime d’une hémiplégie. Il est paralysé du côté gauche.
    1877 : Pasteur, à la suite de l’allemand Koch, travaille sur la maladie du charbon.
    1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
    1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
    1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
    22 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
    Juillet 1885 : Après atténuation du vaccin, Pasteur inocule la rage au petit Joseph Meister puis le vaccine. L’enfant survit. C’est le succès. Ceux qui remettent en cause la méthode de Pasteur sont traités d’obscurantistes.
    1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
    1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie. Le vaccin contre la rage est fabriqué selon une autre méthode jugée moins dangereuse.
    1888 : Pasteur, paralysé, ne peut plus parler
    1895 : Mort de Pasteur. Funérailles nationales.

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    Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (1ere partie)

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    Après les Etats-Unis et le Canada, l’Europe se lance dans une grande campagne de vaccination anti-cancer du col de l’utérus. Tout le monde se réjouit de cette « avancée » médicale.

    Qu’en est-il exactement ? Des millions de jeunes femmes ont déjà été vaccinées avec l’espoir d’une santé meilleure. Mais n’est-t-on pas en train de reproduire les conditions d’un nouveau scandale sanitaire comme celui des vaccins anti-hépatite B ?

    vaccination cancer col de l'utérusCréation d’un besoin

    Gardasil et Cervarix sont les nouveaux vaccins vedettes de l’industrie pharmaceutique. Le matraquage publicitaire, les communiqués des agences sanitaires et les déclarations rassurantes des médecins ont créé un besoin en jouant sur la peur. La peur du cancer. Mais cette vaccination, officiellement recommandée, est-elle pour autant recommandable ? Est-elle efficace ? Ces vaccins sont-ils réellement sûrs ? A-t-on assez de recul pour pouvoir en juger ? Comment se transmet la maladie contre laquelle on vaccine ? Est-elle grave ? Est-elle fréquente ? Les traitements curatifs sont-ils au point ?

    Jessica Vega avant sa vaccination,
    voir son histoire page suivante

    Un label « anti-cancer » abusif

    Tout le monde parle de vaccination « contre le cancer du col de l’utérus » or il s’agit en fait de vaccination contre le papillomavirus humain (HPV), accusé d’être à l’origine du cancer, ce qui reste à prouver. En effet, le papillomavirus humain (HPV), virus dont il existe plus d’une centaine de souches, et qui se transmet préférentiellement par voie sexuelle, n’est jamais, à lui seul, une cause suffisante pour générer le cancer du col de l’utérus. Et ce, même pour la douzaine de souches dites « à haut risque » dont font partie les souches 16 et 18 de HPV incluses dans les deux vaccins. En effet, dans 90 % des infections au HPV, le virus sera éliminé naturellement dans un délai de 8 à 13 mois sans avoir généré le moindre désagrément. Dans les 10 % restants, le virus pourra persister plus longuement et être associé à l’apparition de lésions pré-cancéreuses appelées dysplasies cervicales dont il existe différents grades. Toutefois, seuls 3 % de ces dysplasies (donc 0,3 % maximum du total des infections) dégénéreront en cancer. Ces lésions débutantes peuvent disparaître naturellement et elles peuvent être traitées très efficacement. Le stade de cancer véritable peut donc être évité dans la majorité des cas. Laser et conisation (abrasion mécanique des cellules lésées) ne sont en rien comparables aux lourds traitements classiques des cancers que sont la chimiothérapie et la radiothérapie.

    Une composition inquiétante
    Les deux vaccins sont des vaccins transgéniques : tantôt fabriqués à partir de cellules de levure de bière (Gardasil) tantôt à partir de cellules et de virus d’insecte (Cervarix), il faut savoir que la purification ne peut jamais être parfaite et que donc des résidus de la manipulation génétique (enzymes, ADN hétérogène, ..) peuvent toujours subsister dans la formule finale avec le risque que cela interfère avec notre génome. Le Gardasil contient en outre 225µg d’aluminium par dose ainsi que du polysorbate 80 et du borate de sodium, des substances connues pour leur neurotoxicité, leur cancérogénicité et leurs nombreux autres effets secondaires, notamment sur la circulation et les organes des sens. Le vaccin Cervarix, lui, renferme 500 µg d’aluminium par dose ainsi qu’une fraction bricolée d’endotoxine (lipide A purifié), le tout formant un adjuvant détonnant appelé « AS04 », adjuvant pour lequel on manque énormément de recul quant à son potentiel d’induire des maladies auto-immunes.

    vaccin anti-cancer col de l'utérusLa prévention est plus efficace

    L’intérêt des traitements locaux pour les lésions détectées à temps rappelle l’importance d’un dépistage régulier par frottis pour les jeunes femmes dès qu’elles deviennent sexuellement actives. C’est d’ailleurs cette absence de dépistage organisé qui explique pourquoi 80 % des cas mondiaux de cancer du col surviennent dans les pays du Sud. Même si, en France, ce taux de dépistage plafonne à moins de 60 %, celui-ci a permis une réduction très importante de la mortalité par ce type de cancer qui ne représente que 2 % de la mortalité totale féminine par cancer. De plus sa fréquence n’a cessé de diminuer ces vingt dernières années sans qu’aucun vaccin ne soit entré en jeu. Autre piste de prévention, les femmes doivent prendre en compte leurs propres facteurs de risque (tabagisme, alimentation déséquilibrée, stress, exposition à différents polluants, prise de la pilule contraceptive, immunodépression, relations multiples non protégées, etc.) pour essayer, dans la mesure du possible, de corriger leur terrain et de renforcer leur immunité.

    A la Une

    Des bénéfices incertains

    Le fabricant du Cervarix (dirigé contre les HPV 16 et 18) prétend pouvoir lutter contre 80 % des cas de cancers du col grâce à une protection croisée avec d’autres souches non contenues dans son vaccin. Le fabricant du Gardasil (dirigé contre les HPV 6,11, 16 et 18) prétend que ce vaccin éviterait 70 % des cas et qu’il peut, en outre, aussi protéger des verrues génitales (qui sont une pathologie bénigne). Les deux laboratoires préconisent la vaccination précoce avant les premiers rapports sexuels pour une plus grande efficacité. Mais ils oublient de donner des informations capitales : la fréquence des sérotypes de HPV varie fortement d’une région du monde à l’autre.

    Selon une étude récente parue dans Jama (revue médicale de référence), les HPV 16 et 18 ne seraient impliqués que dans 2,3 % de toutes les contaminations par HPV dans un pays industrialisé comme les Etats-Unis ! Qui peut dire alors que la vaccination n’induira pas, par compensation, une fréquence accrue d’autres souches, non contenues dans ces vaccins, et qui deviendraient alors plus résistantes ? Le Pr. Claude Berraud, ancien vice- président de la commission transparence de l’Afssaps et membre du conseil scientifique de la Mutualité française, a récemment exprimé son scepticisme dans Le Monde : « Dans le cas où ce vaccin serait efficace, le pourcentage de la population qui en bénéficierait sera faible. Les modèles statistiques et épidémiologiques les plus optimistes estiment que la vaccination de toute la population adolescente conduirait, en 2060, à une réduction de 10 % de la mortalité par ce cancer, soit en France 100 femmes par an. En dernier lieu, le coût de cette efficacité clinique serait très élevé ».

    Et ensuite ?

    Rappelons que le cancer du col atteint son pic de fréquence chez la femme d’âge mûr. Comment prétendre, sur la base d’essais cliniques d’une durée de cinq ans, que de tels vaccins éviteront le moindre cas de cancer, 20 ans plus tard ? En admettant que le vaccin soit efficace, personne ne peut dire (pas même les laboratoires) quelle sera la durée réelle de protection par cette vaccination. Or, quand on sait que 3 femmes sur 4 rencontrent de tels virus au cours de leur vie, comment savoir si les jeunes femmes vaccinées ne finiront pas par être infectées elles aussi ? Faudra-t-il entrer dans le cercle vicieux des rappels ?

    ==> Suite et fin de l’article

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    Vaccination contre le cancer du col de l’utérus (2e partie)

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    ==> Vers le début de l’article

    Des conséquences graves

    risque de conséquences vaccination col de l'utérus Présentés comme sûrs par les fabricants et les autorités, ces vaccins sont pourtant depuis plusieurs mois dans la tourmente. Aux USA où le vaccin Cervarix n’a pas reçu le feu vert de la FDA (Food & Drug Administration), le Gardasil est déjà associé à 25 décès et plus de 8000 effets graves. Or, quand on sait que les effets secondaires connus de vaccins rapportés représentent seulement 1% de la réalité de l’aveu même du CDC et de la FDA, il y a vraiment de quoi s’alarmer. Il faut aussi savoir que cette vaccination n’a pas été évaluée, lors des essais cliniques, sur des jeunes femmes de moins de 16 ans alors qu’elle est pourtant préconisée dès 11 ou 12 ans selon les pays. Voici quelques uns des effets graves possibles (ils ne surviennent pas toujours juste après l’injection ni forcément après la première dose) : décès dont certains par thrombose, arrêts cardiaques, paralysies pouvant être irréversibles, bronchospasme, syncope, faiblesse généralisée, troubles cutanés, arthrite, migraines invalidantes, inflammation du pelvis avec violentes douleurs abdominales, modifications du cycle menstruel avec disparition ou amoindrissement du flux périodique, troubles de la vue, épilepsie parfois irréversible, fausses couches sans compter le risque de maladie auto-immune pouvant survenir jusqu’à quatre ans après le vaccin (et même peut-être plus car le délai d’apparition de maladie auto-immune est parfois plus long).

    Des témoignages dramatiques

    paralysie Guillain-Barré suite vaccination col de l'utérusConfrontées le plus souvent au déni du corps médical qui les a vaccinées, les jeunes femmes n’ont plus qu’internet ou quelques rares médias à qui elles peuvent se confier. Les témoignages sur les « blogs » ou les « forums » sur le sujet sont très nombreux, dans toutes les langues. Il suffit de taper les mots clés « gardasil », « cervarix », « effets indésirables vaccination », etc. Ainsi, les proches de la jeune Jeanie Tetlock, une américaine de 14 ans, ont créé un blog suite à la maladie neurodégénérative qui a débuté chez elle un mois après la vaccination. Jessica Vega (cf. photo page précédente avant la vaccination), une autre américaine de 14 ans, vaccinée à l’école il y a un an, a développé une paralysie de type Guillain-Barré une semaine après la deuxième dose et n’a vu son état s’améliorer qu’au bout d’un mois de rééducation fonctionnelle (photos ci-contre et ci-dessus).

    Une communauté médicale très divisée

    Les médecins sont loin d’être unanimes sur le sujet : certains pointent l’inutilité de cette vaccination, d’autres en dénoncent les dangers. Ainsi dès la fin de l’année 2007, plus de 3300 médecins espagnols ont demandé un moratoire sur la vaccination contre le cancer du col de l’utérus en raison notamment du manque de recul évident. Un moratoire a aussi été demandé au Québec. En Italie c’est la société de pédiatrie qui a initié une pétition. Puis toute une série de médecins spécialistes ou non se mettent à dénoncer individuellement cette vaccination. Sur le site de la mutualité française, le Dr Guérin du Masgenêt explique qu’il ne faut pas se précipiter sans réfléchir sur cette vaccination. Le Dr Martin Winckler aussi exprime son scepticisme sur son site. Pour la gynécologue Françoise-Alice Wolf « nous ne sommes pas là pour engraisser les laboratoires et médicaliser des filles de 14 ans affolées ainsi que leurs mères, sans recul sur le long terme ! En 25 ans de consultations : 2 décès par cancer du col chez des femmes (6 ans sans frottis)…quelle épidémie ! » Mais il faut bien dire qu’il existe une double pression sur les médecins. D’une part, ce n’est pas si simple pour eux de s’exprimer publiquement sur le sujet vu le poids des laboratoires. Et, d’autre part, la pression « en interne » dans le milieu médical marginalise les médecins minoritaires qui se montrent circonspects ; Annick, médecin, a pu le constater sur son lieu de travail : « Mes collègues sont horrifiés de me voir aussi réticente à vacciner à tour de bras » et d’ajouter qu’« il est absolument nécessaire que les médecins aient un accès facile et efficace à une information de qualité non sponsorisée par les labos ».

    A la Une

    Comme pour l’hépatite B

    En matière de vaccination, les laboratoires exagèrent souvent les bénéfices de leurs produits et en minimisent les risques. Officiellement recommandés et remboursés, les vaccins contre le cancer du col de l’utérus (400 € les 3 doses, en 2008 N.D.L.R) deviennent accessibles à la plupart des familles. De nombreuses personnes pensent que, si un produit est cher en matière de santé, c’est qu’il est forcément valable ou que, s’il est remboursé, il ne faut pas s’en priver ! C’est faux et les similitudes avec le vaccin contre l’hépatite B, présenté lui aussi à l’époque comme indispensable, sont là pour le rappeler. En attendant, les fabricants, eux, espèrent déjà que cette vaccination sera étendue aux hommes…

    Et pour aller encore plus loin,
    nous vous proposons…

    – Publié par le magazine Belle-santé, un extrait du complément de ce dossier, sous la forme d’une contribution du Professeur Michel Georget
    – Un blog de réflexion sur les vaccins et ce qui sous-tend la vaccination
    – Le site de la mutualité française qui rappelle la prudence à avoir face à la vaccination de masse HPV et le rôle clé du frottis, seul acte médical indispensable
    – Le site du chroniqueur médical Martin Winckler qui donne des explications détaillées sur cette vaccination
    – Un bon site d’actualité où on peut lire l’avis conjoint d’un médecin français et d’un pharmacien belge au sujet de cette vaccination
    – Un site de réflexion de référence sur l’actualité de l’industrie pharmaceutique et ses produits, dont les parties sur le Gardasil et Cervarix
    – A télécharger, une bonne synthèse, sorte de petit résumé des grandes implications de vaccins transgéniques comme ceux-là
    – Le site de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV), par exemple, à cette page fort instructive sur les composants des vaccins
    – Dans son numéro de décembre 2008/janvier 2009 (n°111), le magazine Belle-Santé continue cette enquête et enfonce le clou de la vaccination contre le cancer du col de l’utérus avec, notamment, des précisions apportées par le Professeur Michel Georget (spécialiste des vaccins), ainsi que l’avis du Professeur Claude Béraud.A noter que sur son site internet, Belle-Sante propose de larges extraits des articles qui y sont publiés.

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    Santé et additifs alimentaires (1ere partie)

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    La plupart des aliments produits industriellement seraient insipides, d’un aspect peu encourageant, de faible valeur nutritive et/ou d’une conservation limitée sans ajout d’additifs alimentaires.

    Qu’est ce
    qu’un additif alimentaire

    De longue date, l’homme a cherché à modifier le goût, l’apparence et la conservation de ses aliments. Sans certains additifs comme le sel, le vinaigre ou le salpêtre (nitrate de potassium), nul doute que notre évolution n’aurait pas été identique.

    Aujourd’hui, les additifs que l’on trouve dans notre alimentation sont dérivés de la houille ou du pétrole, ou extraits de tissus animaux et végétaux :

  • Les additifs naturels
    Issus du monde minéral, végétal ou animal, ils ne sont pas sans risques pour la santé.

  • Les additifs synthétiques
    Créer pour se substituer aux substances naturelles plus onéreuses, ils peuvent être dangereux, notamment si leur fabrication exige des solvants qui ne sont pas entièrement éliminés.

  • Les additifs artificiels
    Non présent à l’état naturel, ces substances sont créées de toutes pièces.
  • Selon le décret du 18 septembre 1989,  officiellement :

    « On entend par additif alimentaire toute substance habituellement non consommée comme aliment en soi et habituellement non utilisée comme ingrédient caractéristique dans l’alimentation, possédant ou non une valeur nutritive, et dont l’adjonction intentionnelle aux denrées alimentaires, dans un but technologique au stade de leur fabrication, transformation, préparation, traitement, conditionnement, transport ou entreposage, a pour effet, ou peut raisonnablement être estimée avoir pour effet, qu’elle devient elle-même ou que ses dérivés deviennent, directement ou indirectement, un composant des denrées alimentaires. »

    Les différentes familles
    d’additifs alimentaires

    En Europe, les additifs alimentaires sont répartis en 25 familles (colorant, conservateur, exhausteur de goût, etc.).
    Leur dénomination est constituée d’une lettre (indiquant la provenance "E" pour communauté européenne) suivi de 3 chiffres indiquant la catégorie principale (100 pour les colorants, 200 pour les conservateurs, 300 pour les antioxydants, 400 pour les agents de texture (émulsifiants, stabilisants, épaississants, gélifiants), 500 pour les acides, 600 pour les exhausteurs de goût, 900 pour les édulcorants).

    Attention, cette structure, issue des textes officiels, n'est pas rigoureuse. En effet, certains additifs ont plusieurs propriétés, la classification lettre/chiffre doit juste être considérée comme une indication.

    Les principales familles sont les suivantes :

    • les colorants : ils modifient principalement la couleur des denrées,
    • les conservateurs : ils bloquent le développement des micro-organismes pathogènes,
    • les antioxydants ou antioxygènes : ils ralentissent l’oxydation des aliments,

    A la Une




    • les émulsifiants et les gélifiants : ils augmentent la viscosité,
    • les stabilisants : ils prolongent la durée des couleurs, mais aussi de la structure des émulsions d’eau et de corps gras à l’intérieur des denrées, principalement en charcuterie,
    • les arômes artificiels : ils parfument les denrées à la place des arômes naturels,
    • les édulcorants : ils adoucissent l’acidité de certaines préparations par leur pouvoir sucrant,
    • les exhausteurs de goût : ils accroissent la saveur des denrées,
    • les acidulants : ils augmentent l’acidité des préparations,
    • etc.

    La réglementation des additifs alimentaires

    La législation communautaire est basée sur le principe que seuls les additifs alimentaires autorisés peuvent être utilisés. En outre, la plupart des additifs ne peuvent être utilisés qu’en quantités définies selon certaines denrées alimentaires.
    Par contre, si aucune limite n’est prévue pour l’utilisation d’un additif alimentaire, la législation se repose sur l’utilisateur qui l’incorpore aux préparations alimentaires en recommandant qu’il n’en soit fait un usage juste suffisant pour réaliser l’effet technologique désiré. Avant leur autorisation, les additifs alimentaires sont évalués par le comité scientifique de l’alimentation humaine, qui en rend compte à la commission européenne.

    Les additifs alimentaires ne peuvent être autorisés que si :

  • il y a une nécessité technologique à les utiliser,
  • ils n’induisent pas le consommateur en erreur,
  • ils ne présentent aucun risque pour la santé du consommateur.
  • ==> Suite et fin de l’article

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    Huiles essentielles : découvrez le ravintsara et ses bienfaits

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    De plus en plus de français vantent les vertus des huiles essentielles pour un usage quotidien. En diffusion, inhalation, massages ou parfois même en ingestion, certaines essences, comme la lavande ou l’eucalyptus, sont plébiscitées. A Albi, une boutique aide même des patients atteints de Covid-19 à retrouver l’odorat grâce à l’aromathérapie ! Huile essentielle phare des connaisseurs, le ravintsara reste relativement méconnu du grand public. Zoom sur cette plante complète et familiale. 

    Mais d’où viennent les huiles essentielles de Ravintsara ?

    Importé de Chine, le ravintsara est un arbre qui pousse aujourd’hui principalement sur l’île de Madagascar. Bien que faisant partie de la famille des camphriers, vous ne trouverez pas de camphre dans l’huile essentielle de ravintsara ! Attention également à ne pas le confondre avec le ravensare aromatique, lui aussi présent sur les terres malgaches. Ce dernier fait partie de la famille des lauracées et ses indications sont très différentes.

    Obtenue par distillation des feuilles fraîches à la vapeur, la teneur en eucalyptol est élevée avec l’huile essentielle de ravintsara. Ceci lui confère donc une odeur agréable, fraîche et légèrement épicée.

    Ravintsara indication : dans quelles circonstances utiliser cette huile essentielle ?

    Comme pour beaucoup d’huiles essentielles, l’essence de ravintsara possède de nombreux atouts et peut être utilisée pour vous aider dans différents domaines.

    L’huile essentielle de ravintsara et les affections respiratoires

    Le ravintsara est reconnu pour ses qualités anti-infectieuses, antivirales et tonifiantes. L’huile essentielle de ravintsara est ainsi le plus souvent indiquée pour aider à soulager les affections respiratoires telles que la grippe, la bronchite ou les rhinopharyngites. Considéré comme un antibiotique naturel, le ravintsara possède des propriétés fluidifiantes et expectorantes, particulièrement conseillée dans les toux sèches. Il est également préconisé pour stimuler les défenses immunitaires et renforcer l’organisme contre les maux de l’hiver.

    Les autres indications du ravintsara

    Également antispasmodique, l’huile essentielle de ravintsara peut aider à soulager certaines douleurs intestinales et favorise la décontraction musculaire. Toutefois, c’est aussi pour ses bienfaits sur le tonus et l’équilibre nerveux que cette plante est souvent conseillée. Soutien contre la fatigue et les moments de déprime, le ravintsara peut aider à l’endormissement grâce à ses vertus anti-stress, et devenir un ami précieux dans l’insomnie et les troubles du sommeil.

    Utilisations et précautions d’emploi de l’huile essentielle de ravintsara

    Si elles sont réputées pour leur efficacité, certaines huiles essentielles sont à manier avec précaution. Des articles de presse viennent régulièrement mettre en garde contre des effets indésirables, ou même des dangers avec les sprays et les diffuseurs par exemple. Alors, qu’en est-il de l’huile essentielle de ravintsara ?

    Ravintsara et grossesse : évidemment déconseillé

    L’usage de l’huile essentielle de ravintsara est familial. Cela veut dire qu’il peut être utilisé pour tous à partir de 3 ans. Deux contre-indications de taille sont à noter toutefois : le ravintsara est interdit pour les personnes sous traitement immunosuppresseur, et il est également proscrit pour les femmes enceintes. Après la grossesse, il est aussi conseillé aux femmes allaitantes de demander un avis à leur médecin avant d’utiliser cette huile essentielle.

    Comment utiliser les huiles essentielles de ravintsara ?

    Selon le but recherché, il est possible d’utiliser les huiles essentielles en diffusion, en inhalation, par voie cutanée ou par voie interne. Certaines essences peuvent être dangereuses lorsqu’elles sont ingérées. Ce n’est pas le cas du ravintsara. Avec cette plante, tous les modes d’utilisation sont possibles sans danger, dès lors que les restrictions évoquées précédemment sont respectées. 

    Une ou deux gouttes sous la langue, massage ou diffusion en synergie, inhalation par vapeur ou sur un mouchoir : tout est possible avec l’huile essentielle de ravintsara. N’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un spécialiste en aromathérapie pour déterminer les usages les plus efficaces par rapport à votre problématique.

    Devenez imbattable sur toutes les huiles essentielles après le ravintsara

    Vous avez découvert l’huile essentielle de ravintsara et ses multiples avantages. Découvrez l’aromathérapie dans son ensemble et déclinez les huiles essentielles en des synergies qui vous ressemblent. Cela pourrait bien changer votre vie.

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    Sommeil : nos conseils pour s’endormir facilement et rapidement

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    Identifier la cause de ses problèmes de sommeil n’est pas toujours chose aisée. En effet, les raisons d’un mauvais sommeil sont diverses et peuvent être d’origine psychologique, physiologique ou environnementale. Parmi elles, le stress, une alimentation déséquilibrée, des excès de caféine ou d’alcool, l’utilisation d’écrans au coucher, ou encore un environnement peu propice au sommeil (bruit, chaleur, luminosité, mauvaise literie) etc. Mettre le doigt sur les sources de vos troubles du sommeil vous permettra de trouver des solutions adaptées. 

     

    Prendre conscience de son rythme circadien 

     

    Nous possédons tous une horloge interne de sommeil, appelée rythme circadien, qui influence notre sensation de fatigue. C’est un rythme qui est défini par l’alternance entre la veille, qui correspond à la période de la journée où l’on est éveillé, et le sommeil. Le décalage horaire ou encore un endormissement et un réveil à des heures différentes perturbent fréquemment les rythmes habituels de sommeil et de veille.

    Il convient de se coucher tous les soirs à peu près à la même heure pour permettre à son rythme circadien de programmer cette heure de manière interne. Pratiquer une activité physique pendant la journée est également conseillé pour améliorer la qualité de votre sommeil. Toutefois, un entraînement trop intensif, notamment en fin de journée, peut provoquer des problèmes à l’endormissement.

     

    Améliorer sa literie 

     

    Vous dormez sur un matelas qui commence à vieillir ou utilisez un oreiller devenu difforme avec le temps ? Une literie usée peut engendrer des troubles du sommeil non négligeables, en plus de problèmes de santé, notamment des maux de dos.

    Il est peut-être temps d’opter pour une literie de meilleure qualité ! De plus en plus de marques développent des technologies avancées qui promettent une expérience de sommeil optimale. Ainsi, les matelas Emma offrent une adaptabilité maximale, grâce à une technologie de mousse qui propose plusieurs zones de confort et qui convient donc à toutes les morphologies.

     

    Contrer le stress

     

    Si c’est le stress qui vous empêche d’avoir un sommeil digne de ce nom, alors il va vous falloir trouver les méthodes qui vous permettront de le gérer au mieux. Il existe une foule de techniques à essayer, telles que l’aromathérapie, la méditation, l’ASMR, la lecture, l’écriture, s’endormir avec de la musique… S’accorder entre 30 minutes et 1 heure de relaxation avant de se coucher peut avoir de formidables résultats. Votre corps et votre esprit s’en trouveront détendus avant même que votre tête ne touche l’oreiller.

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    Assurance habitation : nos conseils pour bien faire votre choix

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    L’assurance habitation est primordiale afin de protéger votre logement et vos biens en cas de sinistre, mais aussi les membres de votre foyer. Véritable garantie pour faire face aux aléas de la vie, elle permet de se prémunir contre les préjudices. Découvrez nos conseils afin de choisir l’assurance habitation la plus adaptée à votre situation, qui vous assurera une sérénité garantie.

    Assurance habitation : une obligation ?

    Vous êtes locataire ? Vous avez l’obligation de souscrire à une assurance habitation auprès d’un assureur comme Groupama par exemple. Vous êtes copropriétaire occupant ou non occupant de votre logement et vous le louez ? Il est obligatoire dans ce cas, d’assurer à minima sa responsabilité civile pour pouvoir être couvert des éventuels dommages causés aux autres. Ne pas être assuré, c’est prendre le risque de devoir assumer seul l’entière responsabilité financière des sinistres causés par soi-même ou par le logement lui-même.

    Evaluez rigoureusement vos besoins 

    Afin d’opter pour une assurance habitation adaptée, il convient de prendre en compte plusieurs critères : la composition de votre foyer, vos besoins spécifiques, votre situation (propriétaire ou locataire)… Pour qu’elle vous protège au mieux, une assurance habitation doit pouvoir compenser la dégradation, le vol ou la destruction de vos biens en cas de sinistre.

    Estimez la valeur de vos biens de façon précise

    Pour qu’ils soient couverts à leur juste valeur, il est important d’évaluer avec justesse la valeur de vos biens mobiliers. Cela concerne l’ensemble des objets personnels qui se trouvent dans votre logement : meubles, électroménager, équipements technologiques ou encore vêtements ou sacs à main… A noter qu’il vaut mieux surestimer et être bien couvert, plutôt que de minimiser afin d’obtenir une prime moins chère. Petit conseil supplémentaire : conservez les justificatifs d’achat et des photos de vos biens en cas de sinistre.

    Comptabilisez les pièces de votre logement

    Certains contrats considèrent comme pièce une surface de plus de 7m2 quand d’autres exigent plus de 9m2. Cuisine, salle de bains, toilettes, entrée et terrasse ne sont pas comptabilisées, à la différence des combles transformés en mezzanine ou en pièces à vivre. En outre, selon les contrats, une pièce de plus de 30 ou 40 m2 peut être considérée comme constituant 2 pièces.

    Forts de ces conseils, il ne vous reste plus qu’à demander et à comparer des devis d’assurances habitation de différents acteurs de référence du marché comme Groupama, par exemple. 

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