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Promenade dans la savane africaine

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Promenade dans la savane africaine

::. Photos

Maître renard…
Au pays de la Pomme d’Amour, la tomate
Promenade dans la savane africaine
Girafe, animal hors du commun
Eléphants (1)
La chouette hulotte
Couchers de soleil
Beauté florale
Les Seychelles (1)
Ballade en Afrique
Le parc naturel national de la Vanoise
Le repas des lions
Farniente chez les lions
La mise-bas d’une chèvre
Promenade d’une taupe à l’air libre
Des cochons heureux

Les savanes sont des formations végétales intertropicales peuplées
d’une grande variété d’animaux.

Les savanes couvrent des superficies beaucoup plus importantes que les forêts tropicales. Leur climat est très typique avec la majeure partie de l’année un ensoleillement omniprésent et un air sec, tandis que de juin à septembre une pluviométrie importante prend le relais et atteint de 100 à 300 millimètres d’eau par mois. Sur l’ensemble de l’année la température est sans grande variation avec un minima de 20°C et un maxima de 31°C.

De grande taille, les marabouts sont les oiseaux carnivores et charognards de la savane. Ils se reconnaissent à leur crâne souvent dénudé et à la poche de peau nue qui pend sous leur cou.

impala dans la savane
On distingue essentiellement
2 types de savanes :
herbeuses et composites

Les savanes herbeuses ont une végétation haute de 80 cm à plusieurs mètres. Les herbes dures sont dominées par des graminées à rhizome, formant souvent un couvert très dense, quasi impénétrable. Ces savanes sans arbre, sont très présentes en Afrique et en Amérique du Sud. Elles constituent un véritable paradis pour les herbivores, avec une production végétale énorme, se situant entre 20 et 35 tonnes par hectare et par an.

éléphantsTrois types sont bien identifiés, des savanes d’herbes basses aux savanes d’herbes à éléphant (l’herbe atteignant près de 5 m), en passant par les savanes marécageuses. Quelque soit le type, leur aspect est monotone et de couleur chaude avec la fameuse lumière africaine.

A la différence des savanes herbeuses, les savanes composites comportent également des arbres et arbustes. On les rencontre fréquemment en Afrique et au Vénézuéla. Comme pour les savanes herbeuses, ont en distingue plusieurs types, mais le vocabulaire manque pour les définir tant les combinaisons possibles sont variées. Néanmoins, globalement on en distingue deux principales : les savanes arbustives, avec moins de 25% de couvert arboré et les savanes boisées avec environ 50% de couverture.

Parmi les herbivores typiques de la savane africaine, on distingue l’éléphant, le rhinocéros, le zèbre, la girafe, etc. sans oublier …

Herbivores imposants, les buffles vivent en troupeau à proximité des vasières dans lesquelles ils aiment se baigner. Ils affectionnent particulièrement les grandes étendues dégagées de la savane herbeuse. On n’a pas réussi à le domestiquer, même en le croisant avec du bétail domestique.

L’Impala est probablement l’antilope la plus commune d’Afrique. On le reconnaît à la bande noire qui descend le long de sa cuisse. Le mâle dispose d’un harem et est le seul à porter des cornes.
Ils affectionnent les savanes composites, où ils se régalent des jeunes pousses des arbustes. Les antilopes sont des champions du saut, avec des bonds atteignant 3 m de haut et 10 m de long.

Cette antilope ressemble à un boeuf et se déplace en troupeau considérable. Les gnous sont une des proies favorites des lions et autres guépards. Lorsqu’ils émigrent pour trouvrer de bons pâturages, les troupeaux sont suivis par les prédateurs.  Les gnous mettent bas habituellement en février.

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Aujourd’hui, la poésie s’inscrit dans les étoiles.

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Il est dans la vie des signes, des gestes, des symboles qui possèdent, en puissance, bien plus d’intentions bienveillantes que l’objet et la forme même utilisés. Aussi, des fleurs, un écrit, des paroles, une présence, un soutien amical peuvent témoigner d’une affection, d’un amour, d’une poésie amoureuse plus saisissante qu’un cadeau couteux de quelque nature qu’il soit.

Offrir le privilège de baptiser une étoile unique et visuellement réelle du nom d’un être aimé concourt à rendre hommage, à élever l’amour jusqu’à l’immatériel, à prodiguer une attention, une marque d’affection d’une touchante et durable poésie.

Comment offrir une étoile et son coin de ciel à une personne chère ?

Sur le site Acheter une étoile, vous choisissez un astre parmi des milliers d’étoiles libres, vous lui associez un nom de votre choix qui lui sera affecté officiellement, ensuite vous recevez un écrin contenant les papiers d’identité de cette inscription dans le ciel : le certificat de baptême, sa localisation aérospatiale et tous les justificatifs officiels. L’association de l’étoile et de votre nom sera, dès lors, enregistrée définitivement sur le Registre de l’International Star Registry.

Réécrire le ciel afin d’y placer ses amours !

Déjà, près de deux millions de personnalités autour du monde ont inscrit leur nom dans un coin du ciel. Vous-même, vous pouvez, comme le poète enfante son vers, tracer une ligne poétique à travers les astres. Ainsi, l’ International Star Registry (U.S.A.) glissera votre nom dans la liste des baptiseurs d’étoiles.

L’I.S.R. s’impose depuis quelques années comme le véritable et seul intermédiaire entre le public, l’univers et le catalogue des dénominations astronomiques. En effet, pléthore d’étoiles sont localisées et répertoriées par la communauté scientifique, mais restent néanmoins illisibles, car a minima codifiées. De leurs innombrables découvertes d’étoiles, les astronomes (sous l’autorité de l’ International Astronomical Union) ont renoncé à nommer, autrement qu’en code alphanumérique, les étoiles. De fait, l’International Star Registry supplée les instances scientifiques de ce gigantesque travail qui consiste à affecter un nom intelligible à chacune des étoiles nouvellement référencées.

L’I.S.R. déploie quinze bureaux autour du monde. Ils administrent et répondent aux nombreuses demandes de baptême des particuliers, des associations ou encore des personnes morales. Aussi, ce réseau planétaire garantit que les noms associés aux étoiles soient uniques, et ce, quel que soit le pays dans lequel la certification sera authentifiée.

Déjà, beaucoup de personnalités célébrissimes possèdent leur diamant étincelant gravé sur l’écrin céleste, pourquoi pas vous ? Écrire son nom sur la carte du ciel ou bien placer un(e) ami(e) dans la phalange d’étoiles éternelles, cette symbolique poétique n’a pas d’égal !

Des célébrités par centaine siègent dans ces cieux aux cailloux lumineux : Brad Pitt, Kate Winslet, Mick Jagger, André Agassi, Mariah Carey, Luciano Pavarotti ont désormais leur nom accroché à une étoile. L’on trouve également de grandes sociétés comme Nikon, Weight Watchers, Ford, Guy Degresnes, Chrysler France, Walt Disney ont acheté une étoile comme symbole de réussite.

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Le parc de la Vanoise dans les Alpes françaises

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Le parc national français de la Vanoise

Date de création : 1963
Superficie de la zone centrale : 52839 ha
Altitude : comprise entre 1280 et 3855 m
Superficie de la zone périphérique : 143.637 ha

L’edelweiss

Caractéristiques

Créée à l’origine pour tenter de sauvegarder le bouquetin, la Vanoise jumelée depuis 1972 avec son voisin italien, le parc national du Gran Paradiso, constitue avec 125000 hectares protégés, la plus grande réserve d’Europe occidentale. Avec 107 sommets à plus de 3000 mètres, le parc est soumis régulièrement à de fortes pressions afin d’y construire des équipements pour les sports d’hiver. Vigoureusement défendu par les associations de protection de la nature, c’est un espace et un château d’eau naturels indispensables au centre de la plus grande concentration mondiale, d’équipements de sports d’hiver.

Sa faune Bouquetin, chamois, marmotte, hermine, campagnol des neiges, aigle royal, gypaète barbu (superbe vautour), hibou grand duc, tétras-lyre (sorte de coq sauvage) grenouille rousse, etc …

Sa flore Peu de forêts, mais des alpages (2/3 de la surface). Environ 1200 espèces présentes comme l’edelweiss, le chardon bleu, le sabot de Vénus (plus grosse orchidée d’Europe) le mélèze (seul résineux à perdre à ses aiguilles caduques) etc …

Sur ce thème vous pouvez lire notre dossier consacré aux espaces naturels protégés

Le régime alimentaire de la marmotte est surtout composé d’herbe, de graminées et de racines.

La marmotte des Alpes

Bien qu’elle appartienne à la même famille que les écureuils, la marmotte est exclusivement terrestre. Elle passe même une grande partie de sa vie sous terre, dans un terrier où elle hiberne.
A l’époque glacière, la marmotte des Alpes était largement répandue dans les plaines d’Europe; adaptée au froid, elle se réfugia dans les régions d’altitude quand le climat se réchauffa. Aujourd’hui, c’est l’un des animaux les plus familliers de la haute montagne.La marmotte vit sur les versants ensoleillés des montagnes, à environ 3000 m d’altitude. Chaque terrier est occupé par un groupe familial et peut avoir plusieurs entrées. Les marmottes vivent en colonies formées d’un couple reproducteur dominant et de leur progéniture de plusieurs années.
La marmotte se reproduit le plutôt possible au début du printemps, les jeunes ayant ainsi le temps de se développer pour survivre aux rigueurs de l’hiver. Une portée se compose en moyenne de 3 petits marmottons.
Vers la fin de l’été, les marmottes aménagent des litières d’herbes sèches, où elles s’installent au mois d’octobre en obstruant les entrées du terrier avec de la terre, des excréments et des plantes. Durant l’hibernation, leur rythme cardiaque n’est plus que de 5 battements par minute.

Le chamois

Le chamois est aussi appelé  » Isard  » dans les Pyrénées.

Robuste et agile, le chamois est particulièrement bien adapté à la vie en montagne, où la conformation particulière de ses sabots lui permet de se déplacer avec aisance dans les zones les plus escarpées.
Le chamois ne fréquente la haute montagne qu’en été, en automne et au printemps il vit à la lisière supérieure des forêts alpines, et peut descendre en hiver jusqu’à 500 m d’altitude pour y trouver de quoi se nourrir.
Entre avril et juin, les femelles pleines mettent bas un unique petit, parfois deux. Le chamois a un régime alimentaire assez varié, son estomac lui permettant d’assimiler à peu près n’importe quel type de matière végétale. Ainsi, il se nourrit d’herbes et de lichens, mais aussi de feuilles, de bourgeons et dans les forêts, d’écorce et d’aiguilles de conifères.

Le bouquetin des Alpes

Comme son nom l’indique, le bouquetin des Alpes vit dans certaines régions élevées d’Europe. Après avoir été menacées d’extinction, l’espèce est aujourd’hui protégée.
Le bouquetin des Alpes est un grimpeur agile, qui se déplace avec aisance sur les saillies rocheuses et les parois escarpées. Les deux sexes portent des cornes, celles du mâle étant toutefois plus longues et plus épaisses.
Mâles et femelles vivent en groupes séparés durant la majeure partie de l’année. Les deux sexes se rejoignent à l’occasion de la courte période de reproduction.

Lorsqu’il n’a pas le choix, il n’hésite pas à se battre contre un prédateur, en se servant de ses cornes avec une grande efficacité. Ses principauxennemis sont les ours, les loups, les inx et les renards (pour les jeunes).
Les accouplements s’effectuent en automne et en début d’hiver. La gestation dure environ 170 jours et la femelle donne naissance à 1 ou 2 chevreaux.

Le bouquetin se nourrit essentiellement en broutant tout au long de la journée : herbes, fleurs, jeunes pousses, plantes arbustives et broussailleuses.

 

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Biodiversité et tomate, le fruit Pomme d’Amour

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Au pays de la "Pomme d’Amour", la tomate

::. Photos

Maître renard…
Au pays de la Pomme d’Amour, la tomate
Promenade dans la savane africaine
Girafe, animal hors du commun
Eléphants (1)
La chouette hulotte
Couchers de soleil
Beauté florale
Les Seychelles (1)
Ballade en Afrique
Le parc naturel national de la Vanoise
Le repas des lions
Farniente chez les lions
La mise-bas d’une chèvre
Promenade d’une taupe à l’air libre
Des cochons heureux

Même si, avec la pomme de terre et la carotte, la tomate fait partie des 3 légumes les plus consommées en France, sa diversité est impressionnante et est souvent ignorée du plus grand nombre. Bien que son utilisation lui donne souvent le rôle d’un légume, n’oublions pas qu’il s’agit d’un… fruit.

Cet article n’a pas d’autre but que de rendre hommage à Dame Nature et à sa diversité, si bien illustrée par la tomate, aussi appelée "pomme d’amour" ou "pomme d’or".

La diversité de formes, de couleurs et de poids est impressionnante. Ronde, ovale, allongée, aplatie, en coeur de boeuf… toutes les formes sont présentes, sauf le cube que des chercheurs s’évertuent à mettre au point pour de sacro-saintes raisons économiques.

Pour leur défense, il faut dire que la tomate leur en fait voir de toutes les couleurs : rouge, jaune, violette, orange, rose, verte, blanche et même striée, à l’image de son poids qui peut varier de quelques grammes à plus d’un kilo.

Historiquement, les variétés sauvages seraient originaires des Andes. Les premiers à la cultiver pourraient être les incas, tandis qu’au Mexique, elle était appréciée pour ses qualités ornementales.
Ramenée par les espagnols et les portugais en Europe, dès le début du XVIème siècle, elle est apparue en France vers 1570. Toutefois, il fallu attendre près de 2 siècles pour la voir envahir notre cuisine.

Devenue indispensable dans de nombreuses préparations culinaires, qu’elle soit cru, cuîte ou en sauce, elle apparaît même dès l’apéritif, depuis plusieurs années, par le biais des petites tomates cerises.
Nos papilles ne sont pas en reste, les saveurs sont aussi variées que les formes et couleurs. Enfin, leur consommation régulière limiterait les risques de cancers des poumons et de la prostate.

Pour en savoir plus, nous vous recommandons tout particulièrement l’ouvrage "Les Semences de Kokopelli", de Dominique Guillet, qui leur a réservé plus de 70 pages.
Cet ouvrage est édité par l’association Kokopelli.

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