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Des représentations en contradiction

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Prédateur en France : un statut à haut risque !

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Des représentations en contradiction

Des représentations en contradiction

A travers la problématique de l’installation durable des grands prédateurs en France, nous pouvons mettre à jour des contradictions diverses toutes dépendantes les unes des autres. Si les conflits sont aussi marqués sur ce sujet, c’est que les perceptions qui y sont liées sont souvent opposées de façon radicale. L’anthropologie a montré que le monde naturel, particulièrement animal, était régulièrement l’objet de projections de la part de la pensée humaine. La nature, ainsi chargée symboliquement, est ensuite utilisée pour critiquer ou renforcer l’ordre humain et social.

1. Une nature redoutée

1.1. Un anthropocentrisme dominant

A la lumière de la science écologique, la nature apparaît comme un système se suffisant à lui-même.

Pourtant, face au recul de l’obscurantisme, l’anthropocentrisme résiste encore. Héritée de la culture judéo-chrétienne, cette représentation de notre environnement postule que la faune et la flore n’existeraient que dans le but de pourvoir à nos besoins.

On trouve alors la justification d’une volonté de domination qui s’exprime notamment par le mépris envers les autres êtres vivants. Dans l’Ancien Testament, Dieu dit aux hommes “la crainte et l’effroi que vous inspirerez s’imposeront à tous les animaux de la terre et à tous les oiseaux des cieux. Tous ceux dont fourmille le sol et tous les poissons de la mer, il en sera livré à votre main. Tout ce qui remue et qui vit vous servira de nourriture.” (Genèse, IX, 2-3).
L’idée de responsabilité envers la biosphère n’est pourtant pas exclue mais elle s’exprime sur une base qui suppose déjà un rapport de force. Cela exclut donc la notion de respect véritable.

Troupeau en train de paître dans le Mercantour; dans quelques instants il va être recouvert par le nuage qui arrive par la gauche, rendant toute surveillance illusoire sans chiens de protection – Photo P. FARCY

Plus tard, Descartes ira jusqu’à considérer les animaux comme étant des machines dépourvues d’âme et de sensations. Dans de nombreux esprits, la modernité occidentale a longtemps été subordonnée à la domination de la nature. Pour Francis BACON, philosophe et homme d’Etat anglais du XVI-XVIIème siècle, le but de la science est de maîtriser la nature en la dominant, de façon à améliorer le bien-être de la société.

“Prenons les six journées de la genèse comme image pour représenter ce qui, en fait, s’est passé en quatre milliards et demi d’années. Une journée équivaut donc à 660 millions d’années. Notre planète est née le lundi à zéro heure. Lundi, mardi et mercredi jusqu’à midi, la Terre se forme. La vie commence mercredi à midi et se développe dans toute sa beauté organiques pendant les quatre jours suivants.
Dimanche à quatre heures de l’après-midi seulement, les grands reptiles apparaissent. Cinq heurs plus tard à neuf heures du soir, lorsque les séquoias sortent de terre, les grands reptiles disparaissent. L’homme n’apparaît qu’à minuit moins trois minutes dimanche soir. A un quart de seconde avant minuit, le Christ naît. A un quarantième de seconde avant minuit, commence la révolution industrielle.
Il est maintenant minuit, dimanche soir, et nous sommes entourés de gens qui croient que ce qu’ils font depuis un quarantième de seconde peut continuer indéfiniment.”
Métaphore de David BROWER, un des fondateurs du mouvement écologiste américain

Les hommes, dans la tradition humaniste et républicaine sont les seuls à posséder des droits, mais ils ont en même temps des devoirs envers la nature.

1.2. La nature ennemie

Ces rapports de force sont d’autant plus conflictuels que la nature résiste et s’oppose à l’homme. Il en résulte une peur qui reste profondément ancrée dans l’inconscient collectif. Les souvenirs d’une époque où l’Homme devait encore survivre dans un monde hostile sont inscrits dans la mémoire collective. Ils expliquent en partie non seulement cette volonté dominatrice, mais également une fierté face aux expressions directes de la supériorité de l’Homme.
Les grands prédateurs, emblèmes d’une nature sauvage et hostile à l’homme, n’ont pourtant pas été toujours redoutés. Les sociétés de chasseurs nomades les respectaient, les considérant comme des animaux totémiques desquels ils imitaient le comportement lors de la chasse.

La naissance de l’agriculture et de l’élevage ont sonné le glas définitif des relations relativement pacifiques voire respectueuses entre les hommes et les grands prédateurs. Le mouton est alors considéré par le monde rural comme la principale richesse, du fait notamment de la laine qu’il produit. Une légende bretonne dit que Dieu, voyant que les bergers ne gardaient plus les moutons et les laissaient dévorer le blé, frappa du pied une motte de terre et en fit sortir le loup, ennemi du troupeau et du berger. Les grands prédateurs, en s’attaquant au bétail, deviennent par conséquent des ennemis. En effet, les animaux domestiques ont un comportement qui excite les instincts de chasse des prédateurs. En ne se défendant pas, mais en faisant preuve au contraire de panique, ils réveillent des pulsions incontrôlées chez le loup par exemple qui se trouve excité par tant de démonstrations de détresse. Il s’ensuit que le loup tue alors plus qu’il ne consomme.
Cette réaction, nullement volontaire, mais relevant d’un simple instinct, a porté les paysans à voir dans le loup une bête sanguinaire et cruelle. Ajoutons à cela que les paysans n’avaient jusqu’à la Révolution Française aucun moyen de réduire la pression exercée par ces fauves. En effet, la chasse était réservée aux seigneurs, en particulier lorsqu’il s’agissait de gibiers nobles comme le lynx ou l’ours. Les grands prédateurs constituaient également une contrainte indirecte. En effet, la Louveterie* faisait peser des contraintes supplémentaires dans la mesure où les paysans étaient forcés d’héberger, de nourrir et de payer les louvetiers pour les services rendus. La frustration, augmentant le désir de destruction, était donc alimentée par une impossibilité de réagir face aux dégâts provoqués par les grands prédateurs. De plus, l’agriculture et l’élevage sont liés à la sédentarisation. Ennemi des bergers et des paysans, le loup est le symbole du nomadisme et de la marginalité.

1.3. Notre part animale

Les grands prédateurs ont longtemps été redoutés en raison de leur ressemblance avec les êtres humains. Ainsi, ils symbolisent la part de sauvage et d’animalité de chacun que la tradition judéo-chrétienne a diabolisée. Le Nouveau Testament oppose les brebis et agneaux bons chrétiens, aux loups, figures du Malin. Dans l’Evangile selon Saint-Mathieu, Jésus déclare à ses apôtres “ Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais en dedans ce sont des loups ravisseurs.” (Évangile selon St-Mathieu, VII, 15). L’homme, à l’image de Dieu, doit chercher à dépasser la bête qui est en lui. Dans cette mesure, les animaux sont propices aux comparaisons anthropomorphiques. Au XIXème siècle, le sociologue anglais John RUSKIN déclarait : “La beauté de la forme animale est en proportion parfaite avec la vertu morale ou intellectuelle qu’elle exprime.
ll n’y a pas de créature vivante qui, dans son histoire ou ses habitudes, n’illustre quelque excellence ou déficience morale ou quelque point des règles de la Providence divine.” (cité par Robert DELORT, Les animaux ont une histoire, éditions Seuil, 1984, p.66). Chasser et tuer le fauve, c’est remporter une victoire symbolique et inconsciente sur l’élément bestial que l’on porte en soi.
Le loup, souvent associé au symbolisme lunaire, représente l’ombre que chaque être humain porte en lui. Il est donc propice à condenser des angoisses qui trouvent leur résonance dans l’inconscient de chacun. Le mythe du loup-garou est le parfait exemple d’un combat permanent contre ce qu’il reste en nous d’animalité. Les contes populaires illustrent également parfaitement cette notion. Le motif du grand méchant loup y est répétitif.

L’analyse psychanalytique que Bruno BETTELHEIM fait du conte des Trois petits cochons montre le loup comme une représentation symbolique de “ toutes les puissances asociales, inconscientes et dévorantes, contre lesquelles on doit apprendre à se protéger(…)” (La psychanalyse des contes de fées, traduction de Théo CARLIER, édition Robert Laffon collection le Livre de Poche pluriel, 1976, p.80).

Illustration suivante :
Répartition actuelle de l’ours brun en Europe – Document KORA, juin 1999 – http://www.kora.unibe.ch

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Un son, non des sons, la nature est pleine de chants et cris

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chant oiseauxLes sons de la nature

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Dans la nature, le chant des oiseaux laissent place à de nombreux sons et cris d’ animaux lorsque la nuit arrive. Dans l’obscurité notre aptitude à capter des sons est étonnante, celui qui a passé une nuit en forêt le sait bien.

Si l’observation d’animaux sauvages est un privilège rare, notre oreille capte leur présence.

Dans cette page, Univers-nature et les éditions Chiff-Chaff vous propose de fermer les yeux et au calme, d'écouter... le son des insectes, des mammifères, des oiseaux, des batraciens... classé par milieu naturel.

cris mammifèredans le ciel

sons insectesdans la forêt

sons et cris naturedans la campagne

la tempête
l’alouette
l’hirondelle de fenêtre
la chouette hulotte
le pic vert
le roitelet huppé
la tourterelle des bois
le verdier d’Europe

une branche qui grince
le blaireau
le brame du cerf
le chevreuil
le grillon des bois
le lynx
le renard
le sanglier
le termite

le criquet des clairières
la grande sauterelle verte
la grande cigale commune
le grillon provençal

brame cerfà la montagne

renard et sanglierà la mer

dans les zones humides

le bouquetin
le chamois
le loup
la marmotte

la mer calme
la baleine grise
la baleine boréale
le cachalot
groupe de cachalots
le dauphin
le globicephale noir
le macareux moine
le marsouin
le narval
l’orque
le phoque gris
le pingouin
le rorqual

le crapaud calamite
la grenouille verte
le flamand rose
la loutre
le ragondin
la rainette verte

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Dossier sur la salamandre, un amphibien urodèle

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La salamandre tachetée

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Salamandra salamandra

Fiche d’identité

salamandre– classification : amphibien
– famille : urodèle
– alimentation : vers, mollusques, insectes, etc…
– habitat : proximité des ruisseaux, sources, lacs…
– moeurs : crépusculaire et nocturne
– reproduction : ovovivipare (l’incubation des oeufs se fait dans les voies génitales de la femelle)
– longueur : 20 cm en moyenne, plus rarement 25
– longévité : 25 ans maximum
– maturité sexuelle : environ 4 ans
– prédateurs : hérisson, couleuvre à collier…
– distribution : Europe centrale et méridionale

Comment la reconnaître

Ce petit animal facilement reconnaissable pourrait par sa forme, être confondu avec un lézard, mais la salamandre est dodue, brillante, et de couleur noir tachetée de jaune. Les dessins qu’elle porte sur son dos sont en quelque sorte sa carte d’identité, en effet chaque salamandre possède un dessin différent, celui-ci ne variant pas dans le temps.

Sa morphologie

Sa peau fine, est constituée de plusieurs couches. La couche superficielle tombe environ tous les mois ( c’est une mue), elle commence à se détacher près de la bouche, et glisse ensuite le long du corps.
Sa peau très vascularisée contient de nombreuses glandes, dont certaines lui permettent de maintenir l’humidité corporelle qui lui est nécessaire. Une autre glande produit un venin laiteux irritant, qu’elle rejette lorsque un danger se présente (glande parotoïde, qui se trouve entre ses yeux).

Ses pattes au nombre de quatre sont pourvues de doigts (4 sur les mains et 5 sur les pieds).
A l’âge adulte, elle a des poumons, et son odorat est très développé, lui permet de dénicher une proie hors de son champ de vision, située à quelques mètres d’elle (surtout les lombrics dont elle raffole) qu’elle peut ainsi « croquer » à belles dents (dentition sur les 2 mâchoires).

Sa reproduction

Vers la fin de l’été ou au début du printemps, le mâle va venir à la rencontre de la femelle et se placer sous elle (elle se retrouve sur son dos) il n’y a pas de pénétration, juste un frottement. Le mâle, va émettre des spermatozoïdes regroupés en spermatophore que la femelle va absorber avec son cloaque. L’accouplement dure entre 15 et 30 minutes et la fécondation est interne.

La gestation, mal définie, est assez longue (plusieurs mois).
La naissance a lieu parfois en octobre, mais plus fréquemment après l’hibernation en mars. La femelle libère dans l’eau, par son cloaque, des larves bien développées (entre 10 et 35, parfois beaucoup plus) de 3 cm de long. Exceptionnellement, il arrive que la femelle expulse les larves encore dans leur oeuf, l’éclosion ayant alors lieu dans les secondes qui suivent.
salamandre amphibienLes larves naissent dans un milieu aquatique où l’eau est peu profonde. Elles ressemblent à des petits tritons avec 4 membres, et possèdent au départ de leur vie une respiration branchiale, ainsi qu’une nageoire caudale. Elles sont facilement reconnaissables grâce à leur couleur jaune au niveau des pattes.

La salamandre qui possède des poumons après sa transformation, ne peut aller dans l'eau qu'à une seule condition : il faut qu'elle ait pied, pour ne pas se noyer !

Petit à petit la métamorphose va se faire, les pattes et les poumons vont se développer, et les larves vont se préparer pour sortir de l’eau et avoir une vie terrestre. La métamorphose dure de 2 à 6 mois, selon les régions et parfois plus en montagne. Une fois sortie de l’eau, notre salamandre n’y retournera que pour donner naissance à ses petits.

Moeurs

Elle aime surtout sortir la nuit, et après les pluies orageuses. Elle passe la majeure partie de sa journée cachée dans des endroits frais et humides, (sous une vielle souche d’arbre, pierre, caverne, etc…), elle y passe aussi l’hiver d’octobre à mars, où elle hiberne.
On peut la rencontrer quelquefois le jour, lorsque pour mettre au monde ses petits, elle cherche un point d’eau.

Son prèsent

salamandre seauBien que protégée, elle est comme beaucoup d’animaux, en voie de disparition, le déboisement, la pollution des eaux, sont en partie responsables, mais les voitures ont aussi leur part de responsabilité.
Dans certaines régions des initiatives sont prises. Las de retrouver les salamandres, grenouilles et autres amphibiens écrasés sur les routes, l’O.N.F et diverses associations ont aménagé les bas-côtés en barrages munies de seaux. Lorsque les amphibiens veulent traverser, ils longent la paroi, tombent dans un des seaux, et se trouvent piégés. Le matin il suffit de récupérer le seau avec tous ses occupants, et de traverser la route pour les y déposer de l’autre coté.

Grâce au système des barrages sur le bas-coté, plusieurs milliers d'amphibiens échappent à la mort chaque année.

Croyance

Auparavant, on pensait que les salamandres étaient incombustibles et vivaient dans le feu.

 

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De qui, la chauve-souris ou la poule, faut-il s’occuper ?

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Environnement

L’une est menacée de disparition, l’autre se retrouve entassée avec 100 000 autres congénères dans un hangar. Face à la multitude des urgences, faut-il placer des priorités dans nos réflexions, à savoir : est-il plus important de préserver les espèces au nom de la biodiversité, ou de mettre fin aux souffrances animales causées par l’Homme ?

L’un n’empêche pas l’autre, me direz-vous, alors pourquoi sentons-nous une certaine division entre les naturalistes d’un côté, et les protecteurs des animaux de l’autre ?

Révolte et passion pour le monde animal

De très nombreuses associations de protection animale sont spécialisées pour une cause très précise et correspondant à une vision très imagée de la souffrance animale : pour l’une, ce sera le combat pour l’abolition du foie gras ou de la corrida (sadisme, agonie…), pour l’autre, celui pour promouvoir des cirques sans animaux (enfermement, esclavage…) ou encore pour l’interdiction de l’expérimentation animale (stress, torture…).
D’autres associations de terrain s’attachent plus particulièrement à soigner les animaux blessés ou à accueillir dans les refuges des animaux abandonnés ou maltraités.

Il en va, pour toutes ces associations, de la protection de l’animal en tant qu’individu, avec une motivation généralement basée sur la révolte face à une souffrance considérée comme injuste.

Parallèlement à ces combats, d’autres auront une conception plus naturaliste et se mobiliseront pour pérenniser des espèces protégées dans un souci de biodiversité. Là encore, c’est l’imaginaire qui va souvent orienter l’engouement pour tel ou tel animal : ainsi les baleines, les dauphins, ou encore de nombreux oiseaux, vont-ils bénéficier d’une bonne image et provoquer l’empathie. Parallèlement, le thon rouge, aussi protégé soit-il en tant qu’espèce, est avant tout considéré en tant que « stock » de nourriture, et la souffrance du poisson que l’on pêche ne mobilise guère les foules.

Ces amoureux de la nature sont, pour la plupart, animés par une passion et une fascination pour ces espèces, et c’est tout naturellement qu’ils souhaitent protéger ces êtres qu’ils admirent.

Une même solidarité ?

Protecteurs des animaux et défenseurs de « la faune » ne doivent pas se sentir opposés. Il n’y a pas les bons protecteurs d’un côté et les mauvais de l’autre, il n’y a pas les « radicaux » d’un côté et les « modérés » de l’autre. Il y a des personnes qui, en fonction de leur sensibilité, de leur expérience, s’orienteront vers tel ou tel aspect de la cause animale, vers telle spécialisation ou vers telle généralité. Tous sont les composantes d’une même solidarité pour le monde animal, les premiers s’attachant à défendre l’animal exploité par l’homme, les seconds tentant de préserver les animaux libres de l’expansion humaine.

Une Terre
pour
tous

Enfin, faut-il toujours garder à l’esprit qu’un troisième aspect du monde animal nécessite d’être défendu avec autant d’énergie, c’est la notion de « lieux de vie », ou habitats, afin que ces animaux que nous défendons puissent trouver refuge dans un espace qui corresponde à leurs besoins.

Chaque année l’urbanisation, l’industrialisation et l’infrastructure des transports suppriment et fragmentent des millions d’hectares de terres cultivables et d’espaces naturels aux dépens des lieux de vie des espèces animales.

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Face à cette injustice, la Protection Animale doit rester unie et complémentaire, pour défendre le Vivant dans son ensemble, réconciliant l’être sensible humain avec l’être sensible non humain, tous se partageant un même lieu de vie qu’est la Terre.

Extrait d’un article paru dans le magazine Regard Animal n°3, édition janvier-février 2011, De l’individu aux lieux de vie, par Julie Lescieux et Jean-Claude Hubert.

Regard Animal s’attache à à défendre ces trois aspects du monde animal : l’animal en tant qu’individu, en tant qu’espèce, et en tant que co-habitant d’une Terre à respecter.


Depuis mai 2011, Regard Animal est devenu un cahier internet de VegMag. Retrouvez dans le magazine des réflexions positives sur la condition animale, la présentation d’initiatives solidaires, et l’actualité du monde associatif.

Découvrez sur le site vegmag.fr, l’agenda 2011 de tous les évènements écologiques et éthiques autour des animaux, de la Journée sans fourrure au Noël des animaux !

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