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La grippe aviaire de type H5N1 1/3

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Un dossier complet pour faire le point sur la grippe aviaire et le virus H5N1,
tordre le cou aux fausses idées, et adopter un comportement sans risque
(alimentation, oiseaux migrateurs, déplacement…).

ATTENTION : lié à l’actualité, ce dossier est remis à jour en temps réel, notamment pour le nombre de cas humain de contamination au virus H5N1, depuis 2003 à nos jours, et la répartition des cas de grippe aviaire sur la planète depuis 1997.

Qu’est ce que la grippe aviaire

virus H5N1La grippe aviaire, plus connue sous le nom de grippe du poulet ou de peste aviaire, est due à une variante du virus Influenza A, qui infecte principalement les oiseaux d’élevage. Cette maladie peut toucher presque toutes les espèces d’oiseaux, sauvages ou domestiques, mais ce sont surtout les poulets, les dindes et les oiseaux aquatiques qui peuvent être porteurs du virus. Fortement contagieuse, surtout chez les poulets et les dindes, cette maladie peut entraîner une mortalité extrêmement élevée.
Si la propagation ultrarapide du virus inquiète, pour le moment il ne semble pas transmissible d’homme à homme.

Historique de la grippe aviaire

L’identification de l’influenza aviaire remonte à plus de 100 ans, durant une épidémie en Italie. Depuis lors, la maladie est réapparue à intervalles irréguliers dans toutes les régions du monde, mais de manière relativement bénigne. Par contre, diverses raisons, développées ci-dessous, ont fait que le virus H5N1 se propage rapidement et fait craindre une pandémie.
oiseau atteint du virus de la grippe aviaire H5N1Observé pour la première fois à Hongkong en 1997, le virus H5N1 y a sévi durant 2 ans; la décimation de populations entières de volaille semblait alors l’avoir définitivement éliminé, jusqu’au jour où, mi-décembre 2003, il refit son apparition en Corée puis, plus particulièrement, dans 3 pays : la Thaïlande, la Chine et le Vietnam. L’absence de réponse politique globale à cette infestation a fait, selon la FAO (organisation des Nations Unis pour la faim et l’alimentation), que le virus a pu passer, à cette période, des poulets aux oiseaux sauvages.
Depuis, la grippe aviaire s’est largement répandue dans l’Est de l’Asie, avant de se propager, au début de l’année 2005, vers l’Ouest. En octobre 2005, les premiers cas de grippe aviaire H5N1 ont été confirmés en Europe de l’Est, avant de toucher rapidement l’Union européenne puis l’Afrique, à la fin de cette même année.
confinement des volaillesAujourd’hui, on considère que le virus H5N1 est devenu endémique parmi les oiseaux domestiques de certaines régions d’Asie, y compris dans les régions où le confinement est la principale pratique avicole. A titre d’exemple, près de 2 % des canards et oies d’élevage seraient porteuses du virus dans le sud de la Chine.

Historiquement, on ne peut éviter un parallèle avec la grippe espagnole, qui fit entre 20 et 40 millions de morts au début du XXe siècle. En 2005, une étude américaine sur le virus de la grippe espagnole, reconstitué à partir d’un prélèvement sur le poumon d’une femme décédée lors de la pandémie de 1918 et enterrée dans le permafrost, tend à démontrer que l’origine de cette grippe était aviaire. Cette nouvelle étude apporte ainsi une caution supplémentaire aux diverses publications scientifiques qui tentent de remonter jusqu’à l’origine du virus de la grippe espagnole et mettent en avant qu’il proviendrait d’une souche non-humaine, suivie d’une interaction avec l’homme.
A l’époque, le mode d’organisation traditionnel des élevages mettait en contact direct et continuel les oiseaux de basse-cour, les porcs et les humains. Les premiers, souvent des canards, servant de réservoir naturel aux virus, exposaient les porcs à un assaut continuel des virus grippaux aviaires. Le porc, proche de l’homme d’un point de vue génétique, aurait ainsi pu transmettre la souche définitive de la grippe espagnole à l’homme.

prélèvement pour analyse sur un oiseau sauvageUne propagation rapide
aux causes multiples

Si les oiseaux sauvages et notamment les migrateurs sont les cibles préférées des institutions, de nombreux éléments plaident en faveur d’autres causes et notamment de l’industrialisation du secteur de l’élevage avicole et des déplacements qu’il génère. Ainsi, une étude génétique, publiée en février 2006 dans la revue de l’académie américaine des sciences, très détaillée sur les différentes formes de virus H5N1 présentes en Chine et en différents points d’Asie du Sud-Est, montre que la forme du virus identifiée chez les oiseaux sauvages en Chine n’est pas présente dans la volaille domestique.

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A la Une de l’actualité

Cette étude, qui n’a pas fait la Une des journaux, contrecarre ainsi la thèse des oiseaux migrateurs principaux responsables de l’épidémie.
Toutefois, l’aptitude à évoluer, du virus de la grippe aviaire, ne permet aucune certitude à l’heure actuelle, et il semble probable que cela soit plutôt un cocktail général de plusieurs facteurs qui ait généré la contamination que nous connaissons aujourd’hui.

S’il est quasi certain que les couloirs de migration utilisés par les oiseaux jouent un rôle dans la dissémination de la maladie, il est tout aussi certain que la propagation rapide du virus H5N1 suppose une diffusion au sein même du secteur avicole (vente d’animaux infectés, déplacement de matériel contaminé…).

Les marchés d’oiseaux vivants présentent évidemment les risques les plus évidents, mais à l’inverse de ce que l’on aurait tendance à croire, les élevages industriels confinés sont également des lieux de prédilection pour le virus. Dès lors que ces zones d’élevages industriels à haute densité sont touchées, le virus se trouve dans des conditions idéales pour se reproduire, l’infection peut se propager très rapidement entre unités, rendant beaucoup plus difficile le confinement des énormes quantités de virus produites.
élevage avicole industrielEn effet, il est quasiment impossible de confiner totalement un tel élevage. Pour un véritable confinement, il faudrait, en plus de l’unité d’élevage, divers lieux clos et spécialisés, directement accolés à la zone d’élevage (stockage de la litière propre et de l’alimentation, traitement de la litière sale, traitement des eaux usées, zone d’abattage, espace de stockage de l’ensemble des matériels et matériaux nécessaires à la production, désinfection stricte des entrées et sorties du personnel, etc.). En outre, la fourniture de l’élevage en œufs et poussins provenant de l’extérieur, pose un réel problème de traçabilité qui reste à résoudre. Bref, autant de points qu’il est impossible à maîtriser et qui expliquent en partie la propagation étonnamment rapide du virus à l’échelle de la planète.
Ce type d’élevage industriel "confiné" est également à l’origine de la quasi-totalité des échanges commerciaux internationaux. L’arrivée du virus H5N1 en Afrique, semble étroitement liée à ces échanges. Dans le cas du Nigéria, le virus est apparu d’emblée dans de grands élevages, situés à distance des concentrations d’oiseaux migrateurs. Ces élevages étaient pour la plupart approvisionnés de manière non-contrôlée en œufs provenant de Turquie et en poussins provenant de Chine…

transport commercial de volaille en Inde...A ces échanges permanents s’ajoutent le commerce des plumes, des déjections et des litières d’élevage qui sont utilisées pour l’alimentation animale et la fumure des terres agricoles. Disponible en grande quantité, il est courant de les valoriser, en Asie mais aussi en Europe de l’Est, en utilisant les fientes de volailles pour nourrir les poissons dans des bassins d’élevages ou en les répandant comme fumier dans les prés et champs. Ces 2 pratiques exposent de multiples animaux à une éventuelle contamination non-détectée ou non-déclarée. Le fait que ces pratiques perdurent encore légalement aujourd’hui, en pleine période d’épizootie, est criminel.

A la cause aviaire, depuis fin février, il convient d’ajouter les petits carnivores domestiques et notamment les chats. Néanmoins, des recherches hollandaises ont démontré que si le virus était effectivement présent dans les voies respiratoires et digestives des animaux contaminés, il n’est pas démontré que les félins puissent le transmettre à une autre espèce et notamment l’homme.

Enfin, dernière cause de propagation, l’aspect politique, avec des pays développés qui ont tardé à prendre la dimension réelle de l’épidémie. Cela a débouché sur une absence de moyen pour les organismes internationaux qui tiraient pourtant la sonnette d’alarme. En outre, pour le directeur de la FAO, "Les pays développés se sont tellement cristallisés sur les risques de pandémie qu’ils ont dépensé des milliards pour l’achat de médicaments ou de masques, au lieu de mettre le paquet pour enrayer l’épizootie dont le développement peut entraîner la pandémie (au lieu d’apporter un soutien aux pays en voie de développement où les conditions d’élevage et de distribution sont parfois très alléatoires, N.D.L.R). Mettre l’accent sur les animaux plutôt que les humains aurait permis, de surcroît, d’éviter les tentations de psychose collective que l’on voit dans les pays développés."

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La cuisine, pièce de vies

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Le secteur de la cuisine est en plein essor. La raison ? Les cuisinistes ont fortement investi le domaine du renouvellement, la raison ? Le marché français est ouvert, seuls 60% des domiciles sont équipés de cuisines intégrées alors qu’ils sont près de 80% en Allemagne.

Cela explique probablement la prolifération dans les magazines d’ilots centraux bétonnés ou en inox dans de magnifiques pièces alliant meubles de cuisine élégants, carrelages rares et réfrigérateurs de classe A++ .

Cependant, ce superbe ilot si avant-garde qu’il soit n’est qu’un élément parmi d’autres de cette pièce dont la vocation principale est la détente et… le travail.

La cuisine, pièce de travail

En regardant les magazines, on a tendance à vite oublier que l’on y fait beaucoup de sport. Se baisser pour attraper les bouteilles, faire des pointes pour prendre les verres, escalader pour attraper l’appareil à raclette, battre le record du 100 mètres pour éteindre le feu sous le lait. Se contorsionner pour attraper les ciseaux alors que le poulet tout juste sorti du four se la joue Steve McQueen et tente la grande évasion sur sa propre graisse…

La cuisine est définitivement l’un des espaces ou l’aménagement est primordial. Avoir ses outils à portée de main là où on les utilisera, posséder un éclairage homogène pour voir ce qui se passe dans le four, dans l’assiette dressée, ou simplement s’assurer que la vaisselle est bien faite.

Si la modularité des caissons a fait ses preuves depuis de nombreuses années, les aménagements de placard cuisine et autres rangements malins restent nos chouchous. Du tiroir d’angle qui permet de profiter d’un maximum d’espace, en passant par les portes qui s’ouvre d’une poussée de coude (utile quand on porte un pack de bouteilles de lait, une salade, douze yaourts et… son téléphone à l’oreille), sans parler des étagères en hauteur qui s’ouvrent comme des escaliers pour nous rapprocher de leur contenu sans avoir à grimper sur un escabeau…

Pour ceux qui ont des cuisines en bois brut, avec des crédences de carreaux illustrés de paysans travaillant dans les champs, et dont l’optimisation des rangements s’arrête au bac à couverts, on pense souvent au remplacement intégral.

Alors on la change ?

Oui, c’est vrai que la crédence paysanne a vieilli, que les meubles en bois brillant assombrissent l’espace riquiqui. Mais faut-il vraiment tout jeter ?

Poncer les meubles, chercher des aménagements intérieurs malins, repeindre meubles et carreaux, tout cela donnera une deuxième vie à moindre coût à cette pièce dans laquelle on passe beaucoup de temps.

Quelques idées de rénovations rapides à mettre en œuvre et assez économiques :

  • Remplacer les poignées : découvrez votre nouveau coup de cœur, les styles, les formes, et les matériaux sont extrêmement variés. Faites attention à vous assurer que leur dimension est appropriée.
  • Repeindre le carrelage de la crédence : privilégiez une peinture spécial carrelage, hydrofuge et ignifuge pour résister à la vie quotidienne et durer dans le temps.
  • Accessoiriser la crédence : nombreux sont les éléments de personnalisations, de l’aimant pour tenir les couteaux aux porte pots de fleur, il existe toutes les options possibles pour gagner de l’espace de rangement
  • Repeindre les meubles : changez de couleur, voir offrez des zones d’expressions à la craie pour les petits et les grands grâce aux peintures de type « revêtement ardoise »
  • Relooker les meubles : il existe de nombreux films adhésifs qui attendent de recouvrir vos éléments. La pose est simple, il suffit de les appliquer délicatement, puis de servir d’une palette à maroufler souple pour repousser et faire disparaitre les éventuelles bulles d’air (en cas d’extrême désespoir, un coup d’épingle et de palette fera disparaitre la vilaine bosse.
  • Planter ce que vous mangerez : le soleil berce la cuisine pourquoi pas vos plantations d’herbes aromatiques ? À l’intérieur, ou à l’extérieur, elles donneront un coup d’aération à votre pièce et enrichiront les saveurs de vos plats.
  • Illuminer la pièce : ajoutez des lumières d’appoint basse tension pour agrandir visuellement votre cuisine
  • Remplacer la robinetterie : conservez la pression et réduisez votre consommation d’eau !

 

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DURABLE & CO

L’écologie concerne aussi les PME

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Il n’est plus rare de voir les grandes entreprises lancer des opérations de communication autour de la prise de conscience écologique. Ces entreprises mettent en avant leurs efforts pour moins polluer et communiquent en interne pour pousser les employés à voir un comportement plus responsable écologiquement. On en entend beaucoup parler car ces entreprises ont un fort impact dans les médias, mais qu’en est-il des plus petites entreprises ? Ces PME qui existent un peu partout dans le pays ? Être une PME n’en empêche pas d’avoir un comportement écoresponsable ! On vous donne quelques conseils à mettre en place au sein de petites structures pour rendre votre entreprise plus éco-friendly !

Organiser un système de covoiturage entre employés

Si vos employés viennent en voiture, il est alors possible d’agir sur ce point. Il est en effet inutile de voir chaque matin, chaque personne venir avec sa propre voiture. Si certains habitent dans la même zone géographique, il est alors possible de mettre en place un système de covoiturage. L’imposer est certainement un peu brusque, il est préférable qu’il soit suggéré. Il est aussi important que les employés veuillent participer à ce programme et non qu’ils le voient comme une contrainte. C’est une situation gagnant-gagnant, un geste pour l’écologie mais aussi une économie pour l’employé. C’est une mesure facile à mettre en place qui peut bénéficier à tout le monde.

Choisir des fournisseurs éco-friendly

On le sait, le marché de l’entreprise est une multitude de connexions entre différentes compagnies : fournisseurs, clients… Sur ce marché, le choix des fournisseurs est très important, il permet de faire des marges, mais il peut aussi vous aider à orienter votre politique. En choisissant un fournisseur éco-friendly vous pouvez alors garantir une chaine de production « verte ». Prenons l’exemple de l’entreprise print24 spécialiste dans l’impression de flyers. Elle propose des flyers en papier recyclé ce qui permet aux entreprises qui veulent utiliser ce type de support publicitaire, de le faire de façon écologique.

Former ses employés au tri des déchets

Une entreprise, même si elle de petite taille, peut produire énormément de déchets. Les déchets peuvent être de toutes sortes et il est important de les trier, c’est d’ailleurs obligatoire depuis le 1er janvier, même si pour l’instant c’est encore peu mis en place. Si les locaux dans lesquels votre entreprise n’en sont pas équipées, faites installer des poubelles de différentes couleurs permettant un tri efficace des déchets : carton, plastique, verre, déchets ménagers… En formant vos employés, vous garantissez à votre entreprise une gestion écologique sur la question. C’est un point important sur lequel de nombreuses compagnies sont aujourd’hui en retard. À vous de ne pas en faire partie !

Il est donc simple et peu coûteux de mettre en place des petites mesures qui rendront votre entreprise plus verte. N’hésitez pas à communiquer sur ce point, faites savoir que vous respectez l’environnement, cela pourra vous faire gagner en clientèle.

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Comment imprimer de façon écologique ?

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Même si notre société a tendance à évoluer vers le « tout numérique » pour conserver ses dossiers sur son smartphone ou son ordinateur, il nous arrive encore d’imprimer des documents à de nombreuses occasions. Mais à force d’imprimer ses mails, ses photos de vacances ou encore ses billets de train, c’est l’environnement qui en prend un coup. C’est pour cette raison que certaines imprimeries comme celle-ci se tournent de plus en plus vers une production écologique. Mais comment se mettre à l’impression verte à la maison ? Voici quelques gestes qui peuvent faire toute la différence.

Faire des économies de papier

Si vous souhaitez imprimer des documents de manière écologique, la première chose à modifier est le papier que vous utilisez. Il existe plusieurs solutions afin d’éviter le gaspillage et ainsi respecter l’environnement. Réduisez les pertes en diminuant la marge et en utilisant une police d’écriture qui consommera moins d’encre lors de l’impression. Vous pouvez également imprimer sur une feuille recto-verso. Vous utiliserez ainsi moins de papier et votre stock durera plus longtemps. L’autre alternative passe également par le papier écologique. Optez pour des feuilles au label FSC (Forest Stewardship Council) pour votre imprimante. Grâce à cette certification, vous êtes sûr d’utiliser un papier qui provient d’une forêt gérée de manière durable et responsable.

Prendre soin des cartouches d’encre

Concernant les cartouches d’encre, il existe également quelques astuces pour limiter leurs impacts sur l’environnement. Tout d’abord, pensez à prendre des cartouches d’encre de marques se préoccupant de l’environnement. C’est par exemple le cas des cartouches Lexmark dont la marque recherche à réduire son impact sur l’environnement. Veillez également à utiliser vos consommables jusqu’au bout pour épuiser toute l’encre disponible. Une fois vides, vous pouvez recharger ou recycler vos cartouches. Comme l’encre utilisée dans les cartouches est très toxique et donc dangereuse pour l’environnement, rien ne vous empêche d’opter pour une encre végétale. Cette dernière a l’avantage de réduire la consommation de papier tout en gardant une impression de bonne qualité.

Se servir d’imprimantes plus écolos

Pour une impression plus verte, vous pouvez utiliser le mode « brouillon » de votre imprimante qui va permettre de réduire la consommation d’encre. Pensez également à économiser vos cartouches d’encre couleur en imprimant le plus possible en noir et blanc. De nos jours, il est possible de trouver des modèles d’imprimantes de plus en plus soucieuses de l’environnement. L’imprimante la plus connue dans ce domaine est la Prixma MP640 de Canon qui a reçu le label Energy Star. Elle imprime en recto verso automatiquement et consomme peu d’énergie. Un autre style d’imprimante verte : les modèles sans encre qui ont également tendance à se développer. Toutes les idées sont bonnes pour imprimer de manière écologique.

Envie de découvrir davantage d’innovations écologiques ? Alors venez jeter un œil à notre rubrique objet-écolo.

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