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Biodiversité et tomate, le fruit Pomme d’Amour

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Un petit tour dans le monde de l’énergie propre

Un monde d’ éolienne et pourquoi pas???

Une énergie propre, un air moins pollué, de l’électricité de même qualité… pour cela des éoliennes!!!

Esthétique
Les éoliennes sont-elles inesthétiques ?
Tout d’abord l’esthétique est une question de points de vue… d’autre part, désormais leur construction est très encadrée et soumise à des règles d’urbanisme qui limite leur impact visuel. De même que préférons-nous à côté de chez nous : une centrale électrique, un incinérateur, une raffinerie… avec leurs nuisances plutôt des éoliennes avec une simple ligne électrique et une quasi-absence de bruit.
Puis au milieu d’un champ nous remarquerons d’avantage une centrale qu’une éolienne qui pourrait dans quelques années être comparée aux moulins à vent d’Hollande. Pour les éoliennes en mer que gâchent-elles, elles apportent une petite touche. Et puis un paquebot ne se remarque pas plus. Mais même si nous ne les apprécions pas nous pouvons peut-être faire un effort au nom de notre avenir, celui de nos enfants et de la planète.

Bruit
Au pied d’une éolienne il n’y a pas plus de bruit qu’à l’intérieur d’une voiture en déplacement. Vivre à côté d’une autoroute ou nationale est aussi contraignant (voire plus car les klaxons et accidents ne sont pas des « parties de plaisirs »).

Oiseaux
Ce thème est délicat à étudier car il requiert une forte présence sur le terrain pour minimiser les risques d’erreur. Des coefficients de correction sont appliqués (taux de prédation et taux de découverte de cadavres). Selon la configuration, l’emplacement des parcs et les méthodes utilisées, la mortalité (exprimée en nombre d’individus par éolienne et par an) varie de 0 à 40 pour les oiseaux et les chauves-souris (LPO). Pour argumenter nous pouvons dire que la LPO qui est pourtant attachée aux oiseaux est favorable aux éoliennes un mouvement que devrait suivre tous les septiques.

Canadairs
Il est vrai que l’on pourrait croire que vu leur hauteur elles pourraient empêcher les largement d’eau mais leurs alentours sont obligatoirement défrichés ce qui permet même parfois d’arrêter les incendies. Pour ce qui est des accidents les Canadairs ne peuvent s’y heurter par inadvertance car les éoliennes sont OBLIGATOIREMENT répertoriées et si les lignes à haute tension n’empêchent pas l’action des Canadairs pourquoi les éoliennes le ferait surtout que pour l’instant elles sont bien moins nombreuses.

Immobilier
Les éoliennes n’entraînent pas de baisse de la valeur des maisons environnantes. Il est prouvé que si le parc d’éoliennes est bien conçu (la réglementation y veille), il n’y a pas de nuisance sonore (cf. bruit) ni esthétique (cf. esthétique). Au contraire, le professionnel qui exploite les éoliennes verse une taxe qui peut contribuer à améliorer les équipements communaux et donc valoriser les habitations locales.

Tourisme
Selon les sondages les touristes ne risquent pas de déserter un site lorsque des éoliennes y sont installées. Certains professionnels du tourisme y voient même un profit lucratif : les scolaires et vacanciers aiment se détendre dans un musée et l’idée est d’aménager un lieu ou les gens pourront enrichir leur culture sur les éoliennes ainsi on pourra faire d’une pierre deux coups.

Nucléaire
Grâce aux éoliennes (et certains autres moyens) nous avons enfin un moyen différent du nucléaire pour produire de l’électricité. Certes aujourd’hui une éolienne ne rapporte que très peu d’énergie de plus le vent n’est pas toujours là… Les éoliennes sont de plus en plus puissantes mais cela n’empêche qu’il faudrait un nombre d’éoliennes très important pour couvrir notre demande d’énergie (449 TMh année 2005). Une centrale nucléaire produit environ 1 000 fois plus d’énergie qu’une éolienne, dure 10 ans de plus. Mais elle n’est pas sans danger pour ceux qui y travaillent et le risque d’un accident majeur est possible y compris en France (un second Tchernobyle). Les éoliennes nous proposent une alternative propre sans danger qui certes n’est pas très puissante mais si nous nous y mettons nous pourrions combiner cette énergie à celle des barrages et les dernières (je l’espère pour notre planète) centrales nucléaires ce qui serait bien mieux que cette prolifération d’usines.

Tarif
e 10 ans de plus. Mais elle n’est pas sans danger pour ceux qui y travaillent et le risque d’un accident majeur est possible y compris en France (un second Tchernobyle). Les éoliennes nous proposent une alternative propre sans danger qui certes n’est pas très puissante mais si nous nous y mettons nous pourrions comb iner c ges et les dernières (je l’espère pour notre planète) centr ales nuclé aires ce qui serait bien mieux que cette prolifération d’usierhsqj qmq ejfoiehf ihrf roeuhfer ugdsqb: kkdfhiqkeirhken lvqefefhinefvqinh oev qhino e hinoerh io s.

Emploi
Pour construire une éolienne et une usine il faut à peu près le même nombre de personnes. Mais en exploitation, à puissance produite identique, les éoliennes ont besoin de 120 à 200 personnes par an alors que le nucléaire n’en demande que 70 (fin 2005). De plus elles génèrent beaucoup d’emplois qualifiés dans le domaine de la recherche ainsi que dans le développement des projets d’exploitations. En tout la filière éolienne emploi plus de 100 000 personnes en Europe et seulement 2 000 (fin 2005) en France où la filière est peu développée par rapport à l’Allemagne (53 000 personnes dans l’éolien fin 2005) et le Danemark.


Patrimoine
Le patrimoine N’est pas détruit par les éoliennes car il y a maintenant des paysagistes qualifiés qui participent à la construction des parcs. Ici aussi il y a des règles afin de respecter le patrimoine. De plus il est possible que plus tard les parcs éoliens soient au même niveau que ceux des moulins à vents.

Accidents
Il n’y a jamais eu d’accident autour des 50 000 grandes éoliennes en marche depuis 20 ans dans le monde. Effectivement le peu d’accident qu’il y a déjà eu aux abords des autres n’est pas dû aux pales qui se dérochent et il n’y a aucun risque de se côté, et les parcs sont à une bonne distance de tous riverains afin d’éviter un malheureux accident.

TV & Radio
Certes dans certains cas il s’est avéré qu’elles pouvaient perturber les ondes mais la réception était déjà mauvaise et puis avec l’arrivée de la TNT il n’y aura plus ce problème. De plus ce problème était repéré qu’en bout de lignes. La loi a créé un texte qui engage la responsabilité du développeur, elle l’oblige à trouver une solution en cas de problème.

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DURABLE & CO

Aujourd’hui, la poésie s’inscrit dans les étoiles.

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Sans titre

Il est dans la vie des signes, des gestes, des symboles qui possèdent, en puissance, bien plus d’intentions bienveillantes que l’objet et la forme même utilisés. Aussi, des fleurs, un écrit, des paroles, une présence, un soutien amical peuvent témoigner d’une affection, d’un amour, d’une poésie amoureuse plus saisissante qu’un cadeau couteux de quelque nature qu’il soit.

Offrir le privilège de baptiser une étoile unique et visuellement réelle du nom d’un être aimé concourt à rendre hommage, à élever l’amour jusqu’à l’immatériel, à prodiguer une attention, une marque d’affection d’une touchante et durable poésie.

Comment offrir une étoile et son coin de ciel à une personne chère ?

Sur le site Acheter une étoile, vous choisissez un astre parmi des milliers d’étoiles libres, vous lui associez un nom de votre choix qui lui sera affecté officiellement, ensuite vous recevez un écrin contenant les papiers d’identité de cette inscription dans le ciel : le certificat de baptême, sa localisation aérospatiale et tous les justificatifs officiels. L’association de l’étoile et de votre nom sera, dès lors, enregistrée définitivement sur le Registre de l’International Star Registry.

Réécrire le ciel afin d’y placer ses amours !

Déjà, près de deux millions de personnalités autour du monde ont inscrit leur nom dans un coin du ciel. Vous-même, vous pouvez, comme le poète enfante son vers, tracer une ligne poétique à travers les astres. Ainsi, l’ International Star Registry (U.S.A.) glissera votre nom dans la liste des baptiseurs d’étoiles.

L’I.S.R. s’impose depuis quelques années comme le véritable et seul intermédiaire entre le public, l’univers et le catalogue des dénominations astronomiques. En effet, pléthore d’étoiles sont localisées et répertoriées par la communauté scientifique, mais restent néanmoins illisibles, car a minima codifiées. De leurs innombrables découvertes d’étoiles, les astronomes (sous l’autorité de l’ International Astronomical Union) ont renoncé à nommer, autrement qu’en code alphanumérique, les étoiles. De fait, l’International Star Registry supplée les instances scientifiques de ce gigantesque travail qui consiste à affecter un nom intelligible à chacune des étoiles nouvellement référencées.

L’I.S.R. déploie quinze bureaux autour du monde. Ils administrent et répondent aux nombreuses demandes de baptême des particuliers, des associations ou encore des personnes morales. Aussi, ce réseau planétaire garantit que les noms associés aux étoiles soient uniques, et ce, quel que soit le pays dans lequel la certification sera authentifiée.

Déjà, beaucoup de personnalités célébrissimes possèdent leur diamant étincelant gravé sur l’écrin céleste, pourquoi pas vous ? Écrire son nom sur la carte du ciel ou bien placer un(e) ami(e) dans la phalange d’étoiles éternelles, cette symbolique poétique n’a pas d’égal !

Des célébrités par centaine siègent dans ces cieux aux cailloux lumineux : Brad Pitt, Kate Winslet, Mick Jagger, André Agassi, Mariah Carey, Luciano Pavarotti ont désormais leur nom accroché à une étoile. L’on trouve également de grandes sociétés comme Nikon, Weight Watchers, Ford, Guy Degresnes, Chrysler France, Walt Disney ont acheté une étoile comme symbole de réussite.

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Le parc de la Vanoise dans les Alpes françaises

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Le parc national français de la Vanoise

Date de création : 1963
Superficie de la zone centrale : 52839 ha
Altitude : comprise entre 1280 et 3855 m
Superficie de la zone périphérique : 143.637 ha

L’edelweiss

Caractéristiques

Créée à l’origine pour tenter de sauvegarder le bouquetin, la Vanoise jumelée depuis 1972 avec son voisin italien, le parc national du Gran Paradiso, constitue avec 125000 hectares protégés, la plus grande réserve d’Europe occidentale. Avec 107 sommets à plus de 3000 mètres, le parc est soumis régulièrement à de fortes pressions afin d’y construire des équipements pour les sports d’hiver. Vigoureusement défendu par les associations de protection de la nature, c’est un espace et un château d’eau naturels indispensables au centre de la plus grande concentration mondiale, d’équipements de sports d’hiver.

Sa faune Bouquetin, chamois, marmotte, hermine, campagnol des neiges, aigle royal, gypaète barbu (superbe vautour), hibou grand duc, tétras-lyre (sorte de coq sauvage) grenouille rousse, etc …

Sa flore Peu de forêts, mais des alpages (2/3 de la surface). Environ 1200 espèces présentes comme l’edelweiss, le chardon bleu, le sabot de Vénus (plus grosse orchidée d’Europe) le mélèze (seul résineux à perdre à ses aiguilles caduques) etc …

Sur ce thème vous pouvez lire notre dossier consacré aux espaces naturels protégés

Le régime alimentaire de la marmotte est surtout composé d’herbe, de graminées et de racines.

La marmotte des Alpes

Bien qu’elle appartienne à la même famille que les écureuils, la marmotte est exclusivement terrestre. Elle passe même une grande partie de sa vie sous terre, dans un terrier où elle hiberne.
A l’époque glacière, la marmotte des Alpes était largement répandue dans les plaines d’Europe; adaptée au froid, elle se réfugia dans les régions d’altitude quand le climat se réchauffa. Aujourd’hui, c’est l’un des animaux les plus familliers de la haute montagne.La marmotte vit sur les versants ensoleillés des montagnes, à environ 3000 m d’altitude. Chaque terrier est occupé par un groupe familial et peut avoir plusieurs entrées. Les marmottes vivent en colonies formées d’un couple reproducteur dominant et de leur progéniture de plusieurs années.
La marmotte se reproduit le plutôt possible au début du printemps, les jeunes ayant ainsi le temps de se développer pour survivre aux rigueurs de l’hiver. Une portée se compose en moyenne de 3 petits marmottons.
Vers la fin de l’été, les marmottes aménagent des litières d’herbes sèches, où elles s’installent au mois d’octobre en obstruant les entrées du terrier avec de la terre, des excréments et des plantes. Durant l’hibernation, leur rythme cardiaque n’est plus que de 5 battements par minute.

Le chamois

Le chamois est aussi appelé  » Isard  » dans les Pyrénées.

Robuste et agile, le chamois est particulièrement bien adapté à la vie en montagne, où la conformation particulière de ses sabots lui permet de se déplacer avec aisance dans les zones les plus escarpées.
Le chamois ne fréquente la haute montagne qu’en été, en automne et au printemps il vit à la lisière supérieure des forêts alpines, et peut descendre en hiver jusqu’à 500 m d’altitude pour y trouver de quoi se nourrir.
Entre avril et juin, les femelles pleines mettent bas un unique petit, parfois deux. Le chamois a un régime alimentaire assez varié, son estomac lui permettant d’assimiler à peu près n’importe quel type de matière végétale. Ainsi, il se nourrit d’herbes et de lichens, mais aussi de feuilles, de bourgeons et dans les forêts, d’écorce et d’aiguilles de conifères.

Le bouquetin des Alpes

Comme son nom l’indique, le bouquetin des Alpes vit dans certaines régions élevées d’Europe. Après avoir été menacées d’extinction, l’espèce est aujourd’hui protégée.
Le bouquetin des Alpes est un grimpeur agile, qui se déplace avec aisance sur les saillies rocheuses et les parois escarpées. Les deux sexes portent des cornes, celles du mâle étant toutefois plus longues et plus épaisses.
Mâles et femelles vivent en groupes séparés durant la majeure partie de l’année. Les deux sexes se rejoignent à l’occasion de la courte période de reproduction.

Lorsqu’il n’a pas le choix, il n’hésite pas à se battre contre un prédateur, en se servant de ses cornes avec une grande efficacité. Ses principauxennemis sont les ours, les loups, les inx et les renards (pour les jeunes).
Les accouplements s’effectuent en automne et en début d’hiver. La gestation dure environ 170 jours et la femelle donne naissance à 1 ou 2 chevreaux.

Le bouquetin se nourrit essentiellement en broutant tout au long de la journée : herbes, fleurs, jeunes pousses, plantes arbustives et broussailleuses.

 

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Biodiversité et tomate, le fruit Pomme d’Amour

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Au pays de la "Pomme d’Amour", la tomate

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Maître renard…
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Même si, avec la pomme de terre et la carotte, la tomate fait partie des 3 légumes les plus consommées en France, sa diversité est impressionnante et est souvent ignorée du plus grand nombre. Bien que son utilisation lui donne souvent le rôle d’un légume, n’oublions pas qu’il s’agit d’un… fruit.

Cet article n’a pas d’autre but que de rendre hommage à Dame Nature et à sa diversité, si bien illustrée par la tomate, aussi appelée "pomme d’amour" ou "pomme d’or".

La diversité de formes, de couleurs et de poids est impressionnante. Ronde, ovale, allongée, aplatie, en coeur de boeuf… toutes les formes sont présentes, sauf le cube que des chercheurs s’évertuent à mettre au point pour de sacro-saintes raisons économiques.

Pour leur défense, il faut dire que la tomate leur en fait voir de toutes les couleurs : rouge, jaune, violette, orange, rose, verte, blanche et même striée, à l’image de son poids qui peut varier de quelques grammes à plus d’un kilo.

Historiquement, les variétés sauvages seraient originaires des Andes. Les premiers à la cultiver pourraient être les incas, tandis qu’au Mexique, elle était appréciée pour ses qualités ornementales.
Ramenée par les espagnols et les portugais en Europe, dès le début du XVIème siècle, elle est apparue en France vers 1570. Toutefois, il fallu attendre près de 2 siècles pour la voir envahir notre cuisine.

Devenue indispensable dans de nombreuses préparations culinaires, qu’elle soit cru, cuîte ou en sauce, elle apparaît même dès l’apéritif, depuis plusieurs années, par le biais des petites tomates cerises.
Nos papilles ne sont pas en reste, les saveurs sont aussi variées que les formes et couleurs. Enfin, leur consommation régulière limiterait les risques de cancers des poumons et de la prostate.

Pour en savoir plus, nous vous recommandons tout particulièrement l’ouvrage "Les Semences de Kokopelli", de Dominique Guillet, qui leur a réservé plus de 70 pages.
Cet ouvrage est édité par l’association Kokopelli.

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