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Le cerf et la biche, les seigneurs des bois

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Le cerf et la biche élaphe

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Cervus elaphus

Fiche d’identité

tête cerfClassification : mammifère
Famille : cervidés
Alimentation : herbivore
Habitat : profondeur de la forêt le jour, clairières et prairies voisines de la forêt la nuit
Reproduction : septembre – octobre
Longévité : 10 ans ( 20 à 25 en captivité )
Portée : 1 petit (le faon), rarement 2
Gestation : 8 mois
Allaitement : 6 à 10 mois
Poids : 100 à 250 kg (mâle) et 80 à 120 kg (femelle)
Taille : 1,2 à 1,5 m de hauteur au garrot. Jusqu’à 2,50 m de long pour les mâles
Déplacement : ongulé

Pour m'écouter c'est ici

marque sur arbre cerf et bicheun peu d’histoire

C’est le plus caractéristique des cervidés, qui malheureusement a été traqué par l’homme depuis la nuit des temps, et encore aujourd’hui, bien que de nos jours, la chasse ne soit plus un moyen de survie. Toujours considéré comme nuisible par les forestiers, à cause des petites pousses, des jeunes arbres et des écorces dont il se régale, il est heureusement protégé par des réglementations de chasse et, grâce à certaines associations, quelques races en voie de disparition sont totalement protégées.
Malgré tout, certaines races arrivent à proliférer dans certaines régions.

L'écorçage est très fréquent au cour de l'hiver et au début du printemps. Ces traces sont faites avec les dents. C'est un moyen très pratique pour avoir une idée de la population du lieu.

leur vie

Les cerfs sont des animaux grégaires (se dit des animaux qui vivent en groupe).
Ils se répartissent en deux groupes la majeure partie de l’année (hors période de reproduction) :

– d’un côté les femelles et leurs petits, qui forment des hardes faites de plusieurs petits noyaux où la hiérarchie est très importante et se remarque surtout pendant les grands rassemblements.
La « chef  » se montre nerveuse, vigilante et toujours très attentive, alors que les autres paissent tranquillement; si un bruit, une odeur, est inquiétante elle prévient ses compagnes par de petits cris, le groupe s’ébranle alors, dans l’ordre et la discipline. La biche dominante ouvre la marche (ou la course), la « sous-chef » la ferme.
– Chez les mâles, tout se passe autrement, sont-ils lâches, ou tout simplement indépendants (cher lecteur ou lectrice je vous laisse juger).
Le dominant est tout simplement le plus fort, il peut tyranniser les plus faibles, comme les laisser aller devant, et les suivre à distance… Il n’a aucune tâche de protection, si un danger survient, les mâles se sauvent les uns derrière les autres, sans aucune autre distinction que la rapidité et le sens de la fuite.

Pour la reproduction, ce système de clan s’arrête vers le début de l’automne, c’est la période du rut (octobre). Les sujets les plus âgés seront les premiers à manifester leur désir. Les cerfs abandonnent donc leurs quartiers, pour rejoindre leurs compagnes, chaque mâle va se trouver un territoire (parcelle nuptiale) et essayer de retenir le plus grand nombre de biches. Il délimite son territoire en bramant.

Le brame est aussi un cri de défi.

A cause de sa vigilance pour éloigner ses rivaux, garder ses femelles et son état d’excitation, il ne va se nourrir que très peu.
Petit à petit, il va s’affaiblir et sera chassé par un cerf plus jeune… il partira rejoindre d’autres cerfs dans sa situation (proches mais indifférents) pour reprendre des forces et repartir à l’assaut d’un harem dirigé par un congénère à son tour affaibli.
cerf fontainebleauVers la fin des amours, chacun va peu à peu se séparer, et reprendre sa place jusqu’au prochain automne.

Néanmoins, malgré son apparente domination vis-à-vis des biches, si un danger survient le cerf détale comme un lapin, sans s’occuper le moins du monde de ses petites « protégées »; alors qu’elles ne se laissent pas aller à la panique, et se sauvent dans l’ordre de la hiérarchie établie.

Seules les grandes forêts offrent encore un refuge et une nourriture suffisante aux grands cervidés (ici la forêt de Fontainebleau).

Au printemps, vers le mois de mai, la biche va mettre bas. Elle va se séparer du groupe, et ne supportera aucune compagnie, sauf son petit de l’année précédente. Après la mise bas, elle restera près du nouveau-né jusqu’à ce qu’il soit capable de la suivre et de rejoindre le groupe.
En attendant ce moment-là, la mère veille sur son petit avec énormément d’attention, elle ne s’éloigne jamais beaucoup. Lorsque qu’elle revient près du nid, elle fait des tours et des détours, pour mettre en déroute les éventuels prédateurs du faon, qui sont très nombreux au début de sa vie (aigle, renard, lynx, chat sauvage). Si un problème se présente, elle le défendra, avec toute son ardeur, à coup de sabots.

Dès que le faon le pourra, il suivra sa mère et prendra peu à peu sa place dans le groupe, grâce au jeu (simulacre de combat, course-poursuite, etc).
La robe tachetée de blanc que le faon a depuis sa naissance, va peu à peu se transformer, pour devenir brune à l’automne, comme celle de ses parents. A cette période le faon est appelé « hère » principalement à cause de son aspect chétif et dégingandé.

Attention : si lors d’une promenade vous rencontrez « Bambi » qui s’aplatit dans son nid pour passer inaperçu, ne craquez pas, ne le touchez surtout pas, passez sans vous arrêter, pour ne pas alarmer sa mère qui à coup sûr n’est pas loin, et surtout ne pas renseigner les prédateurs.

Petite histoire de bois

Seul le mâle porte des bois.

Au mois de mars le cerf perd ses bois. Involontairement, il se cognera les bois contre une branche, un grand craquement sec lui fera peur, et il partira à toute vitesse, mais en laissant ses bois sur place, cependant ne comptez pas en retrouver, car ceux-ci seront rapidement dévorés par les rongeurs qui en récupèrent le calcium.

Au début du printemps, il refait ses bois, qui sont recouverts de velours, (peau nourricière). Ceux-ci seront finis au mois de juillet et dépouillés du velours, pour la période du brame, grâce au frottement contre les arbres (voir photo ci-contre).

Les étapes de croissance

Vers l’âge d’un an et demi, le jeune mâle est appelé daguet, il porte deux dagues (petites cornes) sur la tête qu’il perdra vers 2 ans et demi

A 5, 6 ans le cerf devient un dix cors, c’est-à-dire que le merrain possède 5 andouillers ou cors, plus l’empaumure qui se trouve au sommet des bois.

1 an et demi, les dagues
1ère tête
2 ans et demi, les merrains
2ème tête
3 ans et demi et plus
3ème tête

Les dagues seront remplacées par une tige plus forte (merrain), qui porte de petites branches nommées andouillers (appelées aussi cors). Apparaît, l’année suivante à la repousse, un surrandouiller, qui se placera au-dessus de l’ancien.

terminologie bois cerfLes bois véritables os, constitués de calcium et de phosphore, n’ont pas besoin que d’une nourriture riche pour une bonne repousse, il faut aussi un certain taux de testostérone dans le système circulatoire du cerf. Un cerf castré ne refera pas de bois.

Si pour les jeunes cerfs, les bois permettent de déterminer leur âge, à partir de 5 à 6 ans l’évolution des bois peut varier, pour devenir sans règle à partir d’une dizaine d’années, les aptitudes à la reproduction diminuant.

A quoi servent les bois, vu que certains cousins du cerf n’en possèdent pas ?
Il est délicat de ne parler que du rôle de défense car il est rare qu’il tue un ennemi avec. Le rut est surtout marqué par le brame, et le but n’est pas de blesser grièvement un congénère qui est en mesure de se reproduire (cela serait une grave perte pour la communauté) difficile aussi, de n’y voir que le caractère physique sexuel. N’y voyons pas non plus comme certains, une erreur de la nature, mais plutôt un ensemble de toutes ces explications.

Comment les observer

Il faut être discret, la lisière de forêt peut être un bon endroit; arriver à l’aube ou à l’aurore, faire attention au sens du vent; le mieux étant de repérer l’endroit quelque temps auparavant. Rechercher des traces de présence, les plus caractéristiques sont l’écorçage, les laissées7 (appelées également fumées) et bien sûr, les traces de pas.

la biche
le mâle

Leur famille

Les cousins du cerf sont le daim, le chevreuil, l’élan, le renne. La famille est grande et se trouve aux 4 coins du monde : toute l’Europe bien sûr, mais aussi l’Asie, l’Amérique, l’Afrique du Nord.

Sur ce thème Univers-nature vous recommande

Le CD-Rom « Les Mammifères Sauvages d’Europe »

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Un son, non des sons, la nature est pleine de chants et cris

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chant oiseauxLes sons de la nature

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Dans la nature, le chant des oiseaux laissent place à de nombreux sons et cris d’ animaux lorsque la nuit arrive. Dans l’obscurité notre aptitude à capter des sons est étonnante, celui qui a passé une nuit en forêt le sait bien.

Si l’observation d’animaux sauvages est un privilège rare, notre oreille capte leur présence.

Dans cette page, Univers-nature et les éditions Chiff-Chaff vous propose de fermer les yeux et au calme, d'écouter... le son des insectes, des mammifères, des oiseaux, des batraciens... classé par milieu naturel.

cris mammifèredans le ciel

sons insectesdans la forêt

sons et cris naturedans la campagne

la tempête
l’alouette
l’hirondelle de fenêtre
la chouette hulotte
le pic vert
le roitelet huppé
la tourterelle des bois
le verdier d’Europe

une branche qui grince
le blaireau
le brame du cerf
le chevreuil
le grillon des bois
le lynx
le renard
le sanglier
le termite

le criquet des clairières
la grande sauterelle verte
la grande cigale commune
le grillon provençal

brame cerfà la montagne

renard et sanglierà la mer

dans les zones humides

le bouquetin
le chamois
le loup
la marmotte

la mer calme
la baleine grise
la baleine boréale
le cachalot
groupe de cachalots
le dauphin
le globicephale noir
le macareux moine
le marsouin
le narval
l’orque
le phoque gris
le pingouin
le rorqual

le crapaud calamite
la grenouille verte
le flamand rose
la loutre
le ragondin
la rainette verte

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Dossier sur la salamandre, un amphibien urodèle

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La salamandre tachetée

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Salamandra salamandra

Fiche d’identité

salamandre– classification : amphibien
– famille : urodèle
– alimentation : vers, mollusques, insectes, etc…
– habitat : proximité des ruisseaux, sources, lacs…
– moeurs : crépusculaire et nocturne
– reproduction : ovovivipare (l’incubation des oeufs se fait dans les voies génitales de la femelle)
– longueur : 20 cm en moyenne, plus rarement 25
– longévité : 25 ans maximum
– maturité sexuelle : environ 4 ans
– prédateurs : hérisson, couleuvre à collier…
– distribution : Europe centrale et méridionale

Comment la reconnaître

Ce petit animal facilement reconnaissable pourrait par sa forme, être confondu avec un lézard, mais la salamandre est dodue, brillante, et de couleur noir tachetée de jaune. Les dessins qu’elle porte sur son dos sont en quelque sorte sa carte d’identité, en effet chaque salamandre possède un dessin différent, celui-ci ne variant pas dans le temps.

Sa morphologie

Sa peau fine, est constituée de plusieurs couches. La couche superficielle tombe environ tous les mois ( c’est une mue), elle commence à se détacher près de la bouche, et glisse ensuite le long du corps.
Sa peau très vascularisée contient de nombreuses glandes, dont certaines lui permettent de maintenir l’humidité corporelle qui lui est nécessaire. Une autre glande produit un venin laiteux irritant, qu’elle rejette lorsque un danger se présente (glande parotoïde, qui se trouve entre ses yeux).

Ses pattes au nombre de quatre sont pourvues de doigts (4 sur les mains et 5 sur les pieds).
A l’âge adulte, elle a des poumons, et son odorat est très développé, lui permet de dénicher une proie hors de son champ de vision, située à quelques mètres d’elle (surtout les lombrics dont elle raffole) qu’elle peut ainsi « croquer » à belles dents (dentition sur les 2 mâchoires).

Sa reproduction

Vers la fin de l’été ou au début du printemps, le mâle va venir à la rencontre de la femelle et se placer sous elle (elle se retrouve sur son dos) il n’y a pas de pénétration, juste un frottement. Le mâle, va émettre des spermatozoïdes regroupés en spermatophore que la femelle va absorber avec son cloaque. L’accouplement dure entre 15 et 30 minutes et la fécondation est interne.

La gestation, mal définie, est assez longue (plusieurs mois).
La naissance a lieu parfois en octobre, mais plus fréquemment après l’hibernation en mars. La femelle libère dans l’eau, par son cloaque, des larves bien développées (entre 10 et 35, parfois beaucoup plus) de 3 cm de long. Exceptionnellement, il arrive que la femelle expulse les larves encore dans leur oeuf, l’éclosion ayant alors lieu dans les secondes qui suivent.
salamandre amphibienLes larves naissent dans un milieu aquatique où l’eau est peu profonde. Elles ressemblent à des petits tritons avec 4 membres, et possèdent au départ de leur vie une respiration branchiale, ainsi qu’une nageoire caudale. Elles sont facilement reconnaissables grâce à leur couleur jaune au niveau des pattes.

La salamandre qui possède des poumons après sa transformation, ne peut aller dans l'eau qu'à une seule condition : il faut qu'elle ait pied, pour ne pas se noyer !

Petit à petit la métamorphose va se faire, les pattes et les poumons vont se développer, et les larves vont se préparer pour sortir de l’eau et avoir une vie terrestre. La métamorphose dure de 2 à 6 mois, selon les régions et parfois plus en montagne. Une fois sortie de l’eau, notre salamandre n’y retournera que pour donner naissance à ses petits.

Moeurs

Elle aime surtout sortir la nuit, et après les pluies orageuses. Elle passe la majeure partie de sa journée cachée dans des endroits frais et humides, (sous une vielle souche d’arbre, pierre, caverne, etc…), elle y passe aussi l’hiver d’octobre à mars, où elle hiberne.
On peut la rencontrer quelquefois le jour, lorsque pour mettre au monde ses petits, elle cherche un point d’eau.

Son prèsent

salamandre seauBien que protégée, elle est comme beaucoup d’animaux, en voie de disparition, le déboisement, la pollution des eaux, sont en partie responsables, mais les voitures ont aussi leur part de responsabilité.
Dans certaines régions des initiatives sont prises. Las de retrouver les salamandres, grenouilles et autres amphibiens écrasés sur les routes, l’O.N.F et diverses associations ont aménagé les bas-côtés en barrages munies de seaux. Lorsque les amphibiens veulent traverser, ils longent la paroi, tombent dans un des seaux, et se trouvent piégés. Le matin il suffit de récupérer le seau avec tous ses occupants, et de traverser la route pour les y déposer de l’autre coté.

Grâce au système des barrages sur le bas-coté, plusieurs milliers d'amphibiens échappent à la mort chaque année.

Croyance

Auparavant, on pensait que les salamandres étaient incombustibles et vivaient dans le feu.

 

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De qui, la chauve-souris ou la poule, faut-il s’occuper ?

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Environnement

L’une est menacée de disparition, l’autre se retrouve entassée avec 100 000 autres congénères dans un hangar. Face à la multitude des urgences, faut-il placer des priorités dans nos réflexions, à savoir : est-il plus important de préserver les espèces au nom de la biodiversité, ou de mettre fin aux souffrances animales causées par l’Homme ?

L’un n’empêche pas l’autre, me direz-vous, alors pourquoi sentons-nous une certaine division entre les naturalistes d’un côté, et les protecteurs des animaux de l’autre ?

Révolte et passion pour le monde animal

De très nombreuses associations de protection animale sont spécialisées pour une cause très précise et correspondant à une vision très imagée de la souffrance animale : pour l’une, ce sera le combat pour l’abolition du foie gras ou de la corrida (sadisme, agonie…), pour l’autre, celui pour promouvoir des cirques sans animaux (enfermement, esclavage…) ou encore pour l’interdiction de l’expérimentation animale (stress, torture…).
D’autres associations de terrain s’attachent plus particulièrement à soigner les animaux blessés ou à accueillir dans les refuges des animaux abandonnés ou maltraités.

Il en va, pour toutes ces associations, de la protection de l’animal en tant qu’individu, avec une motivation généralement basée sur la révolte face à une souffrance considérée comme injuste.

Parallèlement à ces combats, d’autres auront une conception plus naturaliste et se mobiliseront pour pérenniser des espèces protégées dans un souci de biodiversité. Là encore, c’est l’imaginaire qui va souvent orienter l’engouement pour tel ou tel animal : ainsi les baleines, les dauphins, ou encore de nombreux oiseaux, vont-ils bénéficier d’une bonne image et provoquer l’empathie. Parallèlement, le thon rouge, aussi protégé soit-il en tant qu’espèce, est avant tout considéré en tant que « stock » de nourriture, et la souffrance du poisson que l’on pêche ne mobilise guère les foules.

Ces amoureux de la nature sont, pour la plupart, animés par une passion et une fascination pour ces espèces, et c’est tout naturellement qu’ils souhaitent protéger ces êtres qu’ils admirent.

Une même solidarité ?

Protecteurs des animaux et défenseurs de « la faune » ne doivent pas se sentir opposés. Il n’y a pas les bons protecteurs d’un côté et les mauvais de l’autre, il n’y a pas les « radicaux » d’un côté et les « modérés » de l’autre. Il y a des personnes qui, en fonction de leur sensibilité, de leur expérience, s’orienteront vers tel ou tel aspect de la cause animale, vers telle spécialisation ou vers telle généralité. Tous sont les composantes d’une même solidarité pour le monde animal, les premiers s’attachant à défendre l’animal exploité par l’homme, les seconds tentant de préserver les animaux libres de l’expansion humaine.

Une Terre
pour
tous

Enfin, faut-il toujours garder à l’esprit qu’un troisième aspect du monde animal nécessite d’être défendu avec autant d’énergie, c’est la notion de « lieux de vie », ou habitats, afin que ces animaux que nous défendons puissent trouver refuge dans un espace qui corresponde à leurs besoins.

Chaque année l’urbanisation, l’industrialisation et l’infrastructure des transports suppriment et fragmentent des millions d’hectares de terres cultivables et d’espaces naturels aux dépens des lieux de vie des espèces animales.

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Face à cette injustice, la Protection Animale doit rester unie et complémentaire, pour défendre le Vivant dans son ensemble, réconciliant l’être sensible humain avec l’être sensible non humain, tous se partageant un même lieu de vie qu’est la Terre.

Extrait d’un article paru dans le magazine Regard Animal n°3, édition janvier-février 2011, De l’individu aux lieux de vie, par Julie Lescieux et Jean-Claude Hubert.

Regard Animal s’attache à à défendre ces trois aspects du monde animal : l’animal en tant qu’individu, en tant qu’espèce, et en tant que co-habitant d’une Terre à respecter.


Depuis mai 2011, Regard Animal est devenu un cahier internet de VegMag. Retrouvez dans le magazine des réflexions positives sur la condition animale, la présentation d’initiatives solidaires, et l’actualité du monde associatif.

Découvrez sur le site vegmag.fr, l’agenda 2011 de tous les évènements écologiques et éthiques autour des animaux, de la Journée sans fourrure au Noël des animaux !

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