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Avec plus de 85% de la population considérée comme « urbaine« , la France compte des dizaines de millions d’habitants dans ses villes. Si une partie d’entre eux a la chance d’avoir un peu de terrain pour s’adonner aux plaisirs du jardinage, une bonne part des citadins vivent dans des immeubles, où la notion de « terrain » se limite à un balcon de quelques mètres carré. Difficile alors de jardiner, ou de cultiver quoi que ce soit. Quelques géraniums par-ci, un pied de tomates cerise par-là à la limite. Pour cultiver son jardin en ville, il existe cependant une solution : les « smart pots ».
Si le concept n’a encore pas atteint la France, il est cependant déjà bien implanté au Québec où les « Urbainculteurs » se chargent de sa distribution. Eux-mêmes se définissent comme « un organisme à but non lucratif voué à la promotion du jardinage et de l’agriculture urbaine », et acceptent une seconde définition : « Toute personne qui s’adonne à cette activité formidable dans les nombreux espaces urbains inutilisées (balcons, terrasses, toitures, rambardes, cours). Un urbainculteur ne cultive pas seulement des légumes, fruits, fines herbes, fleurs ; il fait aussi pousser le verdissement urbain, l’embellissement de son cadre de vie, le lien social, le plaisir de jardiner… ». Ces jardiniers des villes ont choisi de distribuer les « smart pots » et de leur offrir un sacré coup de projecteur.
Toute l’originalité des smart pots réside dans la composition de leur sac : un tissu, à la fois très résistant (les Québécois annoncent même qu’il n’est pas nécessaire de le rentrer pour l’hiver, qu’il est résistant au gel. Et ils s’y connaissent, avec des hivers où les températures tombent souvent sous les -10 degrés) mais qui laisse la terre et les racines respirer. Une aération évite la spiralisation des racines, de même que leur échauffement en été, autant de facteur qui nuisent à la croissance de la plante. Le seul entretien que demandent les « smart pots », c’est de renouveler une partie de la terre qu’ils contiennent à chaque nouvelle saison, tout en n’oubliant pas d’y adjoindre une dose d’engrais biologique.
Ces pots pour urbainculteurs existent en différents formats, de 4L à 760L, pour des prix variant de 6 à 70 euros. Evidemment, plus le pot est gros, plus la variété et la quantité de plantes à faire pousser est important. Jardiniers des villes, à vos clics !
en savoir + : http://www.urbainculteurs.org/Smart_Pots.html
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le 24 juin 2013 à 01:35
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Retrouvez tous les smart pots sur notre boutique en ligne ainsi que nos conseils : http://www.dumondeaubalcon.com.
Florent.
Très bien mais c’est pas si nouveau que ça. C’est utilisé depuis des dizaines d’années aux US par les professionnels. Il y a pas mal de marques qui le font, et on en trouve sur ebay. Y a pas que des avantages, notamment nécessitent plus d’arrosage.
Est ce que vous connaissez en Ontario ?




