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pollution de l’air
430.000 : C’est le nombre de morts liés à la pollution atmosphérique en Europe. Ses chiffres proviennent de The Health Effects Institute, un institut de recherche indépendant aux Etats-Unis qui a publié les résultats de son étude élaborée par 450 experts. Résultat : en 2010, l’analyse comptabilise 430.000 morts prématurées liées à l’exposition aux particules fines pour l’ensemble de l’Europe soit 166.000 décès prématurés en Europe de l’ouest, 95.000 en Europe centrale et 169. 000 en Europe de l’est dont la Russie.
Ainsi, parmi tous les risques sanitaires, la pollution atmosphérique est classée 11ème pour les pays d’Europe de l’ouest, 14ème pour les pays d’Europe centrale, 15ème pour les pays d’Europe de l’est. Parmi les premières causes de mortalité demeurent le tabac, l’alcool et le manque d’activités physiques…
Au niveau mondial, l’OMS estime que chaque année, ce sont plus de 2 millions de personnes qui meurent du fait de l’inhalation de particules fines présentes dans l’air intérieur et extérieur d’après une étude qui regroupe des données en provenance de 1100 villes dans 91 pays, dont des capitales et des villes de plus de 100 000 habitants. Les particules PM10, d’une taille égale ou inférieure à 10 micromètres, peuvent pénétrer dans les poumons, entrer dans la circulation sanguine et provoquer des cardiopathies, des cancers du poumon, des cas d’asthme et des infections des voies respiratoires inférieures.
L’origine de ces particules fines ? Le plus souvent des sources de combustion telles que les centrales électriques et les véhicules à moteur. Toujours selon l’OMS, une réduction de la concentration annuelle moyenne de particules PM10 de 70 µg/m3 à 20 µg/m3 devrait entraîner une baisse de 15% de la mortalité. Dans certaines villes, cette concentration atteint jusqu’à 300 µg/m3.
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