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Revenons en 2013, à peine 5 ans en arrière. Personne ou presque ne connaissait l’entreprise Uber. Aujourd’hui, le géant californien est sur toutes les lèvres, et son service de voitures de tourisme avec chauffeur (VTC) connu de tous. Les accusations de concurrence déloyale faire aux taxis et les soupçons de travail dissimulé ont, il faut bien le reconnaître, propulsé Uber à la Une des plus grands médias, faisant indirectement la pub de l’entreprise.
Aujourd’hui présente dans plus de 50 pays et valorisée à quelques 50 milliards de dollars, la société semble se porter comme un charme. Cela ne l’empêche cependant pas de se diversifier, puisqu’après UberEats (livraison de repas) et UberRush (un service de coursiers), Uber s’essaie au vélo en libre-service.
Depuis quelques semaines, les habitants de San Francisco peuvent en effet, via leur application smartphone classique, accéder à une flotte de 250 bicyclettes réparties dans les rues de la cité californienne. Contrairement aux systèmes que nous connaissons en France (Vélib’, Vélov, et autres), les deux-roues ne sont pas condamnés à être déplacés de station en station mais peuvent être empruntés ou abandonnés partout en ville. Chaque vélo est en fait équipé d’un tracker GPS qui permet à l’utilisateur de le localiser grâce à son smartphone. La première demie heure est facturée 2 dollars, et chaque minute supplémentaire coûtera quelques centimes à l’utilisateur. Quand le trajet est terminé, il suffit de laisser le vélo (attaché via l’antivol intégré) sur une borne publique classique, ou dans une des zones spécialement matérialisées sur les trottoirs californiens.
Le service n’est pour l’instant qu’en phase d’expérimentation et, à ce titre, le nombre de bicyclettes disponibles sera limité à 500. En attendant mieux ?
En tout cas, il n’est pas impossible que Paris observe attentivement ce genre de tests : en grandes difficultés avec son nouveau Vélib’ (remboursement des mois de janvier et février aux abonnés, retard accumulé dans la mise en service de centaines de stations, etc…), elle est sans doute à l’affût de solutions de rechange…
Photo : www.uber.com
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