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Fin 2010, Pékin va tester une sorte de ‘bus à jambes’ (cf. photo), sur une ligne de six kilomètres, pour tenter de trouver une solution aux embouteillages qui la paralysent de plus en plus (en 2008, la durée d’embouteillage quotidienne était de 3,5 heures contre 5 heures fin 2009).
D’une hauteur totale de 4,5 m, la partie centrale, où les voyageurs pourront prendre place, fait 2,3 m de haut, laissant la place aux autres usagers de la chaussée pour circuler en dessous, la largeur de l’ensemble correspondant en effet à 2 voies de circulation. Ce bus qualifié de ‘volant’ reposera au sol sur un système type tramway à rail.
Le concept de ce bus se fait à la vitesse chinoise, soit très rapidement. Alors que son inventeur vient à peine de le breveter, le premier prototype devrait sortir dans 3 mois, pour un test grandeur nature à la fin de l’année sur six kilomètres de ligne. Sa vitesse de pointe envisagée est de 60 km/h, pour 1200 passagers transportés dans quatre ‘wagons’.
Outre une réduction des embouteillages, le principal avantage de ce bus ‘volant’ tient à son coût très réduit, correspondant à 10 % d’un métro à distance couverte semblable, tandis que sa seule contrainte tient à la nécessité de disposer d’au moins 3 voies de circulation unidirectionnelles pour recevoir ses rails.
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Plus d’élargissement des Bandes d’Arrêt d’Urgence,
Les motards vont encore ronchonner mais c’est si dangereux de rouler entre deux files.
Cette idée chinoise me rappèle le problème qui demande de faire 4 triangles avec 6 allumettes, euh pardon, 6 baguettes.
En France on a plus de pétrole et ce sont les chinois qui ont les idées. Secouons -nous !




