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Alors que lurgence climatique nous exhorte à diminuer nos émissions de gaz à effet de serre, le nombre de voitures en circulation ne faiblit pas. Pour résoudre cette contradiction, la seule option consiste à trouver une alternative susceptible de limiter notre recours à lindétrônable 4 roues.
Emblème de lengagement solidaire, le covoiturage est une des solutions viables qui mérite dêtre plébiscitée. Apparue il y a des années, cette pratique reste encore à lheure actuelle très marginalisée. Bien que les sites Internet proposant ce type de services se soient multipliés au cours de ces dernières années, les français nont pas encore intégré ce système dentraide dans leurs habitudes quotidiennes. Ce qui est regrettable face aux nombreux avantages que présente cette méthode. Dun intérêt écologique incontestable, elle permet également de réduire significativement les dépenses liées aux transports.

Un point relais du service d’autopartage qui vient d’être lancé à Nantes
Le principe en est simple. Un conducteur passe une annonce sur le site, indiquant la date, les horaires et le parcours relatifs au trajet en question. La plupart du temps, la prise en charge du ou des passager(s) ayant répondu par laffirmative se fait moyennant finance. La pratique la plus courante veut que le coût du trajet, incluant le carburant et les péages, soit divisé par le nombre dutilisateurs. Mais certains vont jusquà inclure lensemble des frais occasionnés par le véhicule, entretien général et assurance compris.
Autre alternative à la voiture particulière, lautopartage tend également à prendre de lampleur au sein des villes françaises (1). A limage du réseau Marguerite de lentreprise Nantes Auto Partage mis en service le 14 avril dernier, sociétés ou associations mettent à disposition des titulaires du permis B des véhicules à louer pour une courte durée. Après louverture dun dossier personnel, ladhérant règle chaque mois sa facture en fonction du temps et de la distance dutilisation. A titre illustratif, les tarifs les plus élevés appliqués par le réseau Marguerite sont de lordre de 4,90 lheure et 0,49 le km.
Si cest une aubaine pour les conducteurs ponctuels, le système montre pourtant certaines limites. Tout dabord, au-delà de 50 km, il est plus rentable pour lutilisateur de faire appel à une agence standard de location de véhicules. De plus, lobligation de restituer le véhicule roulant au bioéthanol avec un réservoir rempli au minimum du quart du plein sous peine de pénalités financières semble difficile à mettre en application.
Sadressant à une marge restreinte de la population, ce système ne trouvera sa véritable expression que dans un usage combiné avec les transports en commun. La réussite du projet dépendra de lévolution des murs et de la capacité des automobilistes à se défaire du sentiment dautonomie associé la voiture particulière.
1- 13 villes françaises proposent à lheure actuelle un service dautopartage : Paris, Nantes, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Grenoble, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Toulouse, Rennes, La Rochelle et Strasbourg.
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Pourquoi ne pas proposer que des véhicules électriques, car le bio éthanol est une véritable erreur de nos sociétés qui seront très rapidement confrontées au problème de la faim dans le monde.
Il y a urgence d’arrêter les fausses bonnes idées de certains investisseurs qui eux ne seront bien entendu pas concernés par la faim.
Tout comme il y a urgence de garder notre outil industriel pour éviter à terme que la Chine décide de ne plus nous fournir à cause de nos légitimes revendications sur les droits de l’homme, la France ne représente à peine plus de 1% de la population mondiale.
Nous serons aussi dans la tourmente si nos dirigeants ne réagissent pas à la dilapidation de notre savoir et de nos outils de productions
Vous m’expliquerez en quoi les voitures électriques sont à l’heure actuelle plus écologique?
Leur vraie qualité sont d’être silencieuses et de ne pas émettre de polluant dans les villes.
Par contre, les centrales nucléaires pour les alimenter (avec les pertes de rendement pour charger/décharger les batteries), les acides, les métaux lourds utilisés (plomb, cadium, lithium etc, tous plus toxiques les uns que les autres), bref, nous sommes très loin d’une solution miraculeuse.
Une solution intéressante serait le moteur à air comprimé, a condition de pouvoir comprimer l’air de la manière la plus écologique possible ( a quand les éoliennes axiales sur les tours ;o)* )
Le pb de l’énergie pour comprimer l’air ou fournir de l’électricité est le même. Bien sûr il faut revoir nos modes de déplacements mais l’origine de l’NRJ reste primordiale pour les véhicules qui pourront encore servir pour des déplacements spécifiques.
Voiture électrique, à air comprimé, au bio-carburant, à hydrogène etc …, il n’y a pas de miracle.
Comme me dit Jérôme, les voitures électriques c’est trés polluant et les voitures à air
comprimé, c’est pareil, il faut comprimer l’air et les rendements finaux ne sont pas glorieux.
Il est reconnu que la technologie n’apportra pas grand chose et de plus, plus les voitures consomment moins et plus nous consommons de carburant…car nous roulons de plus en plus.
Les seules vraies solutions c’est effectivement de fortement réduire l’usage de la voiture et de changer d’état d’esprit vis à vis des déplacements.




