
Recevez chaque semaine l'ACTUALITE d'Univers Nature par email |
180 289 abonnés des Actualités depuis 1999 un STOP PUB numérique offert 5 journalistes |
> Voir tous les chiffres clés
- Comment trouver une mutuelle adaptée à la ...
- Apprendre l’anglais en ligne
- Couper l’eau pendant le savonnage !
- Chaudière à basse température ...
- L’hiver, faut-il hiberner ou préparer le ...
Follow @twitterapi

20 ans après celui de 1992, Rio de Janeiro (Brésil) a une nouvelle fois accueilli le Sommet de la Terre Rio+20. Entre-temps, le contexte environnemental a continué à se dégrader : accélération des changements climatiques, biodiversité déclinante, déforestation, érosion des sols, désertification, accaparements des terres, accidents nucléaires etc. Aujourdhui, les populations commencent à payer la surexploitation et la mauvaise gestion de ressources qui leur sont vitales. Environ 3 milliards de personnes nont pas accès à une eau potable de qualité, ce qui naugure rien de bon au regard de la croissance démographique galopante.
Crises énergétique, environnementale, de leau…, toutes sont liées et nécessitent une gouvernance globale. Cest la raison dêtre du Rio+20, qui doit permettre aux 193 Etats participants daccoucher dun document final établissant les lignes directrices pour aborder collectivement ces défis. Trop timoré dans sa version initiale, ce document a désormais peu despoir dévoluer favorablement à la table des négociations. Pour le WWF, les dirigeants y siégeant pratiquent la langue de bois, utilisant des formules alambiquées telles que « engagés à réaliser progressivement », qui sonnent comme déternelles promesses non tenues. Comme la déclaré le Secrétaire général Ban Ki-moon dans son allocution d’ouverture : « Le monde observe si les mots se traduiront en actions ». Et risque dêtre déçu dans létat actuel des choses.
>> Réagissez sur cet article avec votre compte Facebook
La conférence de Rio, sommet mondial où l’Humanité cherche un destin commun qu’elle pourrait DECIDER au lieu de subir, n’a pas évoqué le seul problème à débattre, pourtant clairement évoqué dans cet article: la « démographie galopante » et sa conséquence directe, la recherche effrénée de « croissance » des économies… Là est LA seule et unique source de tous les « problèmes » que déplorent les hommes.
La Nature, quant à elle, n’a aucun problème…
Les Hommes, leurs ordinateurs, leurs avions et leurs problèmes n’en sont qu’un constituant, quoiqu’il arrive…
« Tant que ça va pour moi, tout est OK ! »
C’est à peu près l’état d’esprit de la plupart des humains. Donc pas grand chose à espérer pour l’environnement.
Pour que ça bouge vraiment combien de catastrophes faudra-t-il encore ?




