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Mercredi 23 juillet débutait la diffusion dun spot anti-corrida dans les 7 salles du complexe cinématographique de Bayonne. Une diffusion de courte durée puisque le cinéma a finalement décidé de censurer la projection du spot alors que celle-ci ne devait se clore que le 12 août prochain. Il intégrait lévénement publicitaire CHOC, lancé et financé par la FLAC (Fédération des Luttes pour lAbolition des Corridas), avec la collaboration de la SPA et de la Fondation Brigitte Bardot.
A lorigine de cette polémique, pendant 25 secondes, la caméra montre un taureau allongé aux pieds du torero, blessé à mort. En arrière-plan, on devine la silhouette dun enfant, questionnant sa mère sur la raison de sa mort. Images fortes mais qui, au regard de la discipline auxquelles elles renvoient, ne manifestent pas de violence à proprement parler. Ce compromis, de même que la participation de lhumoriste Raphaël Mezrahi, nauront pourtant pas suffi à convaincre la direction du cinéma, confrontée à lattachement de la ville de Bayonne pour la tradition tauromachique.
Les trois organismes soutenant lopération ont fait part de leur indignation, estimant quil sagissait dune négation de la liberté dexpression. Coutumiers du fait, ils avaient déjà dû faire face lan passé à la censure dun autre clip anti-corrida sur ordre du Bureau de Vérification de la Publicité.
Pour lheure, le dossier est loin dêtre clos puisquune autre ville a déjà été approchée pour projeter le spot incriminé du 30 juillet au 12 août inclus. Pour des raisons évidentes, la FLAC na pas souhaité communiquer le nom de la ville en question.
Cécile Cassier
1- Pour en savoir plus sur la corrida et les pratiques qui y sont associées, voir l’interview de la président de l’alliance anticorrida.
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1- Pour en savoir plus sur la corrida et les pratiques qui y sont associées, voir l’interview de la président de l’alliance anticorrida.
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Merci de nous faire découvrir ce clip….. tres sobre et au slogan si juste!!!!!
j’écris depuis 1987 sur l’alimentation bio et végétarienne. Cela m’a permis de rencontrer des personnes « contre » la chasse, « contre » la corrida.
Or, il s’avère qu’un grand nombre de ces personnes sont carnivores.
On récolte ce que l’on sème. Dire est facile, se mettre en connexion avec sa pensée est bien plus difficile.
Pour moi, c’est la raison principale du manque d’attention à la souffrance animale, que ce soit par balle, par arme blanche ou dans les abattoirs.
pour abolir la corrida que l’on peut soutenir en ligne :
http://www.petition-anticorrida.com/signer.php
texte de la proposition : http://www.assemblee-nationale.fr/12/propositions/pion1652.asp
et pour interdire les arènes au moins de 15ans :
http://www.petition-anticorrida.com/proposition191.php
nicolekretchmann, ne mélangez pas tout! L’Homme a toujours été omnivore, donc partiellement carnivore. Tuer un animal pour s’en nourrir n’a rien à voir avec torturer et tuer un animal pour se distraire.
Après-tout, les végétariens eux aussi tuent des êtres vivants: il faut bien tuer un végétal pour s’en nourrir!
Vous avez parfaitement le droit d’être végétarienne par conviction, et cela vous honore, mais on peut très bien être « anti-corrida » et manger des animaux; ce n’est pas du tout incompatible.
Donc « A BAS LA CORRIDA »
Thylacine, vous vous trompez, l’homme a toujours été frugivore, et Nicole Kretchmann, végétalienne rayonnante, l’a bien compris, qui a accepté de se remettre en cause même tardivement.
On nous inculque des mythes et on s’en nourrit, parce qu’on gobe ce qu’on veut bien gober! parce qu’on préfère le mensonge à la bonne foi, la complicité de crimes à la remise en cause personnelle.
Si végétariens et végétaliens (c’est-à-dire humains authentiques) étaient un tantinet plus nombreux dans ce pays sarcophage, la corrida n’existerait plus depuis longtemps, mais nos pratiques alimentaires sanglantes sont le moteur et le viatique des aficionados car leur leitmotiv est le suivant :
« Les animaux que vous mangez souffrent aussi, nous respectons davantage l’animal que vous. »
Cela n’est pas faux et c’est ainsi que la corrida perdure et qu’elle perdurera car un animal élevé et abattu pour sa chair souffre plus longtemps, il faut l’admettre, qu’un animal dans l’arène.
Confinement, castration et mutilations à vif, saignement à vif pour de plus en plus de bêtes, blessures lors du transport, violence infinie lors de l’embarquement et du débarquement vers la mort, stress, angoisse, attente, coups, choc, égorgement, etc. etc.
Non, Rose, je ne me trompe pas, puisque je CONSTATE un fait! Je parle de l’Homme tel qu’il existe, vous parler de l’Homme tel que vous le rêvez. Votre point de vue est dogmatique…
Les naturalistes ont constaté un fait aussi : l’humain est un frugivore-type (intestin et côlon longs, sucs peu acides, ni griffes ni dents acérées, etc.) et nos plus proches cousins primates sont frugivores. Et nos bébés ne dévorent pas des proies encore chaudes capturées par leur mère.
Je ne rêve pas, nous avons été physiologiquement conçus pour nous nourrir de végétaux, et les végétaliens infiniment en meilleure santé que leurs homologues « omnivores » en témoignent à travers le monde, ce n’est pas une utopie, c’est une réalité et un idéal que chacun peut mettre en pratique pour son bien propre, celui de la planète et celui du monde animal.
Si l’on accepte d’élever des animaux dans des conditions indicibles de cruauté pendant des mois ou des années à seule fin de les manger ensuite, pour le seul plaisir des papilles gustatives perverties, alors toutes les dérives et tous les abus sont autorisés, les animaux sont considérés comme des objets, des propriétés privées -comme dans notre législation-, et la corrida n’est alors qu’une pratique parmi d’autres, une forme de réification parmi d’autres. Légalement on peut tuer, violer, torturer, mutiler, chasser, pêcher, dépecer, éviscérer, etc. un animal, où est le mal dans ce cas à lui planter de surcroît une banderille dans l’échine?




