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Le parc aquatique SeaWorld, dont les orques sont le « produit » phare, exerce des pressions sur les différents gouvernements afin de continuer à exploiter ses mammifères marins en toute impunité.
Après plusieurs mois forts en émotion, un report du vote influencé par la réception de 75 000 lettres et emails quant au traitement des orques en captivité, la Commission de la Cote Californienne a finalement approuvé, début octobre, le projet de 100 000 $ pour l’expansion du SeaWorld San Diego. Cependant, décision de dernière minute, à cette approbation vient s’accoler l’interdiction d’élevage des orques en captivité. Une telle interdiction conduisant à terme à la disparition de toutes les orques en captivités, SeaWorld fait appel au célèbre cabinet d’avocats Manatt, Phelps & Phillips, LLP pour contrer cette décision.
Ce schéma et la réaction politique de SeaWorld montre à quel point le parc aquatique est puissant. Sa force de frappe a aussi pu être observée en Floride. Le 25 septembre dernier, l’agence de l’éducation de l’Etat de Floride (DOE) enlève SeaWorld de la liste des références pour les journées scolaires éducatives et pour les réductions faites aux professeurs. Ce retrait répond aux demandes d’organismes militant pour le droit animal. Pourtant, le 6 octobre, après un communiqué de presse PETA, l’un des organismes qui avait œuvré pour ce retrait, félicitant ce geste, SeaWorld réapparaissait dans la fructueuse liste.
En effet, suite au communiqué, la presse n’était pas la seule à s’emparer de la bonne nouvelle, Rick Scott, un ancien collaborateur du gouvernement de Floride, désormais lobbyiste pour SeaWorld, s’en emparait aussi. Utilisant ses connexions, Scott envoie des emails à l’agence pour enquêter sur les changements. Suite à cela, Meghan Collins, directrice de la communication de la DOE, clame qu’elle n’était pas au courant du changement et que SeaWorld est un partenaire éducatif important, le rétablissant dans la liste. Or Collins, dont le mari est le chef de cabinet adjoint pour Scott, a reçu des emails de lobbying le jour même. De plus SeaWorld a financé les deux partis politiques actifs en Floride, et auparavant donné $30 000 au comité politique de Scott.
De plus, le même jour que le DOE faisait volte face quant au projet pédagogique de SeaWorld, il licenciait aussi Jennifer Hartshorne, la sous-directrice de la communication responsable de l’interdiction de reproduction des orques, qui travaillait pour l’agence depuis 2013. Néanmoins, Collins réfute le fait que SeaWorld est exercé quelques pressions que ce soit pour le départ de Hartshorne.
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le 30 octobre 2015 à 08:07
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Que pèse la vie des orques quand ces lobbies et leurs complices ne pensent qu’au fric.
SeaWorld est un partenaire éducatif important, le rétablissant dans la liste.
la connasse comme partout nous ferais croire que c’est un spectacle traditionnel alors que ce n’est que la réminescence bestialo-sexuel d’une saloperie de dominant sur d’autre êtres vivant digne des camps de concentrations boches !!!
L’humanité disparaitra, bon débarras !!!
Pour les américains comme pour tous ceux qui massacrent les animaux ou les exploitent outre mesure,il n’y a que le fric qui compte-Ces hommes ne sont pas des êtres humains, ce sont des parasites a faire disparaître des entreprises de toutes sortes, surtout celles qui s’occupent d’animaux, ils ressemblent étrangement a ceux qui étaient pour l’esclavage des êtres humains.
Si je puis me permettre, votre titre porte à confusion. Ce n’est pas un lobbying contre les orques (genre contre les loups ou les ours) mais pour le maintien d’orques en captivité.




