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Alors que les festivités de Noël approchent à grands pas, nombreux sont ceux à voir en les animaux de compagnie lidée de cadeau idéale. Souvent fruits dimpulsions, ces achats engagent pourtant une réelle responsabilité à long terme, volontiers minimisée. Un constat dautant plus vrai lorsquil sagit de « nouveaux animaux de compagnie », plus connus sous lacronyme NAC. Regroupant une grande diversité animale, ce terme englobe aussi bien certaines espèces doiseaux, rongeurs, poissons, reptiles, amphibiens, insectes, araignées que des cochons, des fennecs (ou renards des sables du Sahara) ou même des singes. Victimes dun effet de mode, ces animaux ne cessent dattiser la curiosité, celle-ci conduisant souvent à des achats irréfléchis.
En raison de besoins naturels spécifiques, les NAC exigent des conditions de détention contraignantes telles quune température ou une qualité de lumière particulières. Inadaptés au milieu dans lequel ils sont réimplantés, ils présentent ainsi des risques domestiques et sanitaires, tout particulièrement en cas dévasion. De plus, il nest pas rare quune fois lattrait de la nouveauté estompé, certains propriétaires se libèrent de leurs obligations en relâchant dans la nature les compagnons adoptés. Ces actes créent des situations complexes, comme en témoigne le cas de la tortue de Floride. Trop encombrante une fois parvenue à sa taille adulte, celle-ci a été massivement remise en liberté, devenant une espèce invasive nuisible.
Exhortant à plus de responsabilisation, Natureparif, Agence régionale pour la nature et la biodiversité en Ile-de-France, invite dès lors tout acheteur potentiel de NAC à faire preuve de pertinence afin de trouver un animal compatible avec le style de vie de chacun.
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Bonne iniative de la part de Natureparif, mais combien d’animaleries suivront ce conseil, l’appât du gain étant le plus fort.
De plus, d’après la nouvelle loi sortie en juin de cette année les participants au grenelle des animaux n’ont rien trouvé de mieux que de faire vendre les nacs en couple; ce qui serait bien si tout ce petit monde était stérilisé, sinon bonjour la prolifération,les abandons dans tous les coins et la médiocrité des soins qui leur seront prodigués !
Une seule solution: légiférer. Un « animal de compagnie » ne doit pouvoir appartenir qu’à une espèce domestique, en aucun cas à une espèce « sauvage ». Je ne vois pas quelle justification éthique peut autoriser un quidam à acheter et détenir pour son plaisir une espèce animale (et végétale?)sauvage. La détention d’espèces sauvages, doit être réservée à des structures spécialisées et habilitées à le faire, pour des raisons approuvées par la collectivité. Ce serait déjà un point important… La survie dans la nature de la plupart des espèces « domestiques » est impossible. Il reste à différencier clairement les espèces domestiques des autres, en en dressant la liste exhaustive, par exemple…
oui nos hommes politique pourrais se rendre utiles pour une fois et légiferé sur un sujets importat plutot que de passer des heures a chahuter comme des gamins sur des réformes qui sont condamné a passer.
Nos députés n’ont pas été fichus de tenir les leçons des contributions de certaines associations.
La stérilisation est systématiquement mise en avant par les refuges et associations de défenses des animaux. Un autre point mis en avant et la formation obligatoire des adoptants aux besoins des animaux. Sachant qu’il faudrait au moins une habilitation différente pour chaque groupe d’animaux. De plus un lapin n’est pas un rongeur et n’a pas les besoins. Un rat n’est pas une gerbille (qui n’a pas besoin d’eau mais par contre de sable par ex).
Par ailleurs, il faut savoir que les refuges sont presque toujours ouverts aux seuls animaux d’espèce traditionnellement de compagnie (chiens et chats).
Si on est apte à s’occuper d’un NAC, mieux vaut en adopter un via une association type http://aubazardesnac.free.fr/ que d’aller l’acheter (comme une marchandise) dans une animalerie qui serait ainsi inciter à en vendre d’autres.




