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Un groupe particulièrement surveillé par les associations, avec des postes dans les différentes instances, et donc des subventions de fonctionnement à la clé. Alors que chacun s’accorde à reconnaître la nécessité de davantage de transparence et de souplesse de fonctionnement, ce groupe fait de nombreuses propositions visant à démultiplier les commissions, délégations et autres structures sur le thème du développement durable pour toujours plus d’expertises et quasiment pas d’engagements concrets.
A) Institutions – Etablir les bases dune démocratie écologique
1. Reconnaissance des partenaires environnementaux, notamment en définissant les institutions accueillant les ONG environnementales selon leurs statuts.
2. Réformer le Conseil économique et social, pour quil joue son rôle de représentation et de contribution de la société civile.
3. Faire valider par le Parlement une stratégie nationale pour assurer la gouvernance et la cohérence de toutes les politiques vis à vis du développement durable
4. Mettre en place des Commissions parlementaires de lenvironnement et du développement durable.
5. Développer la démarche de débat public.
6. Systématiser les études dimpact de durabilité, notamment en les associant en préalable à chaque projet de loi.
B) Les décisions publiques gouvernance, expertise et participation citoyenne à la décision publique
1. Etablir la production et la garantie de laccès à linformation environnementale comme une politique publique en soi avec l’établissement dune instance nationale dorientation de linformation environnementale et en rendant, entre autres, systématique la mise en ligne de linformation publique sur lenvironnement.
2. Assurer laccès aux expertises, en assurant leur transparence, le partage du savoir et leur pluralisme, et en développant la recherche appropriée, en définissant une charte nationale de lexpertise pour le développement durable.
3. Instituer une haute autorité indépendante de médiation des conflits sur lexpertise et lalerte.
4. Assurer lessor des institutions et instaurer des mécanismes territoriaux de participation ayant vocation à intégrer le développement durable aux différentes échelles de territoires. Pour cela il est notamment proposé une loi sur la gouvernance territoriale clarifiant les compétences en matière de développement durable et le développement des agendas 21 au niveau des collectivités.
5. Un Etat eco-responsable, avec la réalisation par les organismes publics de leur bilan écologique et en formalisant des stratégies de développement durable, tout en renforçant la commande publique déco-produits.
C) Intégration du Développement durable et éco-responsabilité des acteurs privés
1. Renforcer le développement durable dans la stratégie et le « gouvernement » des entreprises, avec comme principales mesures d’inclure dans la typologie des risques présentés au Conseil dadministration ceux relatifs aux facteurs ESG (environnement, social et de gouvernance) et en introduisant la responsabilité des dommages environnementaux et sociaux commis à létranger.
2. Intégrer le développement durable dans les instances de dialogue et de négociation de l’entreprise en associant notamment les instances de représentation du personnel à lélaboration des rapports de développement durable et en encourageant la création de commissions correspondantes.
3. Assurer que linformation sur les acteurs et sur les produits favorise les comportements éco et socialement responsables et valoriser les bonnes pratiques, en développant létiquetage environnemental et social des produits (élaboré sur la base de référentiels rigoureux et transparents) et en instaurant des « labels dentreprises responsables » ouvrant la voie à des avantages.
Pascal Farcy
1- Télécharger le rapport du groupe de travail numéro 5
2- Présentation et calendrier du Grenelle de l’Environnement
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2- Présentation et calendrier du Grenelle de l’Environnement
Bonjour,
Comment se fait il que alors que 82 à 88% des Français sont favorables au principe du référendum d’initiative citoyenne et encore 68 à la demande de 500.000 personnes le RIC n’est pas dans les propositions des associations représentant les citoyens?
- 68% des Français sont pour « Le référendum dinitiative populaire, qui pourrait être
demandé par 500 000 signatures de citoyens » ( BVA du 11 07.2007 pour le Figaro/LCI )
http://www.bva.fr/data/sondage/sondage_sondage/589/sondage_fichier/fichier/rapportraformeinstitutionstd915_623e3.pdf
Il y a une baisse car la modalité est précisée et que le chiffre de 500.000 a pu écarter des oui qui le considère trop élevé et dautre faible. Cette modalité est mauvaise.
Les deux finalistes de la présidentielle le disent:
- N.SARKOZY, le jour de son investiture a déclaré que le Français est: « un citoyen qui ne veut pas renoncer,( ), ne veut plus que lon décide à sa place, que lon pense à sa place. Mais pour cela il doit disposer du RIC
- S.ROYAL, après des milliers de rencontres avec les citoyens, dressait le bilan sur son site « Désirs davenir » et présentait plus de cent propositions.
On pouvait lire :
« Une nouvelle présidence »
Remontée des débats
Les citoyens veulent prendre la parole plus souvent et plus directement pour décider eux-mêmes.(
) »
Cest la définition même du référendum dinitiative citoyenne
YVAN BACHAUD




