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Les 30 et 31 juillet prochains, les promoteurs des corridas de la « Feria du toro » accueilleront à Beaucaire (Gard) leurs partenaires, à savoir le groupe Danone (marque Badoit), le groupe Veolia et les ciments Calcia. Attestant de leur engagement, leurs logos figurent en bas des dépliants et publicités promouvant lévénement.
Sappuyant sur les résultats du sondage Ipsos/Alliance Anticorrida de juillet 2010, selon lequel 67 % des Gardois affirment être défavorables aux corridas, Claire Starozinski, fondatrice de lAlliance Anticorrida, lancent un appel à ses 28 000 adhérents et ses partenaires. Tous sont, en effet, invités à faire connaître aux dirigeants de Danone France, des ciments Calcia et du groupe Veolia leur volonté de ne plus soutenir ce sponsoring et de ne consacrer leur pouvoir dachat quà des actes de consommation éthiquement responsables.
Pourtant, Franck Riboud, PDG du groupe Danone, prône un engagement en faveur de projets environnementaux, et notamment la création dun fonds pour l’écosystème. De même, suite à une vague de protestation des adhérents de lAlliance Anticorrida, Jean-Pierre Petit, président de McDonald’s France, a démenti toute implication de la chaîne dans un partenariat lié à la corrida. Mais, daprès lAlliance Anticorrida, il nen a pas moins apporté son soutien au Printemps des jeunes aficionados de 2001, à Saint-Gilles (Gard). Face à de telles contradictions, Claire Starozinski a demandé aux présidents des entreprises en question de mener une enquête interne afin de déterminer lorigine de ces « regrettables initiatives ».
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Il vaut mieux que ce soit Danone/Badoit qui intervienne que Ricard .
les actions musclées et incessantes de ces derniers mois trouveraient-elles une écoute ? un encouragement pour ces associations qui depuis le 28 mai ont pris une autre envergure bien que les médias n’aient pas relayé leur action. L’unité paie.
Plus efficace qu’un manif qui ne rassemblera que des Gardois ou personnes proche de Nïmes, le BOYCOTT des sponsors. Il est vrai -ceci a été constaté lors de la fermeture de LU- que les produits Danone, sous différentes marques et sans que son nom apparaisse, envahissent l’agro-alimentaire; tout aussi vrai que nous pouvons être client de Véolia sans l’avoir choisi compte tenu de son champ d’intervention et que nous n’achetons guère de ciment pour nos travaux quotidiens. Aussi, faut-il rallier à la cause anti-corrida les entreprises et sensibiliser les pouvoirs publics.
Je ne vois pas pourquoi il vaut mieux que Danone soit partenaire de la corrida plutôt que Ricard ! Je suis convaincue que Danone fait bien plus de victimes et de morts que Ricard. Ricard commercialise des poisons mais ces derniers restent moins toxiques qui ceux que commercialise Danone.
Il ne s’agit pas de faire la promotion de l’alcool, mais l’alcool en soi n’est presque pas cancérigène (les pesticides et autres saloperies qu’il contient le sont, en revanche), par exemple, contrairement aux produits laitiers, qui sont massivement impliqués dans les cancers hormono-dépendants. Et que dire de leur rôle dans toutes les pathologies « à la mode » : ostéoporose, arthrose, obésité, etc.
Les produits laitiers sont globalement bien plus dangereux, bien plus toxiques, bien plus meurtriers aujourd’hui que l’alcool, d’autant qu’ils se répandent insidieusement sur tous les continents, auprès de populations (asiatiques, noires, notamment) parfaitement incapables de les digérer. C’est une catastrophe sanitaire incommensurable, auprès de laquelle les méfaits de l’alcool sont presque quantité négligeable.
Et, boycotter les produits Danone, c’est une évidence et c’est très simple, de toute façon (en dehors de l’eau Volvic) rien n’est consommable chez eux.
Au retour d’une fête Rose préfère-t-elle se trouver en face d’un conducteur qui a usé de produits Ricard ou de produits Danone ?
Pardonnez-moi, je ne vais pas entrer dans une polémique stérile, qui n’a pas lieu d’être selon moi, car il n’y a pas à discuter le fait que les produits laitiers sont d’authentiques poisons. Libre à vous d’en consommer, le problème concerne ceux (médecins, médias, autorités sanitaires, politiques, industriels
) qui en font l’apologie, l’éloge, etc.
Votre « raisonnement » est exactement celui qui consiste à dire « Vous préférez quoi : qu’on sacrifie un rat ou votre enfant » pour défendre la vivisection, ceux qui disent « Vous préférez la chandelle ou le nucléaire » pour défendre ce dernier, etc. Ce ne sont pas des arguments, ce sont des raccourcis destinés à clore toute discussion, c’est une méthode totalitaire, très en vogue à l’heure actuelle, en conséquence, mais je ne goûte pas spécialement ces facilités (bien que j’en use aussi), qui mettent un terme à toute réflexion, parce que c’est finalement ce qu’on demande au citoyen : qu’il consomme ce qu’on lui impose et se taise, qu’il régurgite ce qu’on lui a inculqué, en croyant que c’est le fruit de sa réflexion quand ça fait longtemps qu’on l’a dépourvu de toute réflexion.
Alors je vais vous répondre : primo je n’ai pas de bagnole (une boîte), et je ne suis pas non plus du genre à aller « en boîte » ; non, à l’instar de P. Rabhi, je n’aime pas ces boîtes. J’ajouterai : que les bagnolistes se tuent entre eux ne me dérange ni ne m’émeut, ils ne peuvent ignorer les risques qu’ils prennent. Si, d’aventure, je suis à mon tour victime d’une de ces boîtes, me direz-vous, eh bien, ça ne fera qu’une énième victime de plus. La faute en incombera-t-elle à l’alcool ou à la bagnole, omniprésente, hégémonique ?
Je sais bien que c’est la faute des arbres quand les automobilistes s’encastrent dedans, mais ce n’est pas grave, on a trouvé la solution on les coupe.
D’autre part, puisque vous allez par là, permettez-moi d’y aller aussi : dans la plupart des accidents de la route, des drogues sont impliquées ; bien souvent ce n’est pas l’alcool, pas même la cocaïne, non des drogues légales, remboursées par la Sécu, des médicaments on appelle ça, nonobstant, on ne fait rien pour empêcher les fabricants, les prescripteurs, les revendeurs de médicaments de nuire, est-ce bien normal, on ne met même pas en garde la population. Non, en effet, le marché du médoc est tellement juteux que rien ne doit l’entraver ; au contraire, incitons les Français, ces consommateurs immodérés, à en consommer toujours plus, jusqu’à en crever mais pas trop vite, autrement ils ne consommeraient plus. Une mort lente, comme avec les produits laitiers.




