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Lannée dernière, la Commission Baleinière Internationale (CBI) sétait soldée par un échec, le Japon et les autres pays favorables à la chasse à la baleine court-circuitant toute tentative de négociation. Si aucun pays na quitté la table des négociations cette année, la 64ème CBI, tenue fin juin et début juillet 2012, na pas permis de concrétiser le projet dun sanctuaire baleinier de lAtlantique sud. Proposé depuis 1999, ce projet était le principal point à débattre lors de cette réunion. Or, bien quil ait obtenu la majorité des Etats présents (38 voix pour, 21 voix contre et 2 abstentions), il na pas remporté la majorité des trois-quarts nécessaire à son adoption.
Alors que le moratoire sur la chasse à la baleine commerciale a été adopté il y a près de 30 ans, le Japon, la Norvège et lIslande continuent à pratiquer la chasse à la baleine sous couvert de recherche scientifique. Cette pratique nest toutefois pas la seule menace qui pèse sur les cétacés. Les captures accidentelles et lexploration pétrolière et gazière affectent également les populations de cétacés. Daprès le WWF, des opérations de forage dans la mer de Beaufort et dans la mer des Tchouktches, en Alaska, que Shell espère commencer dès ce mois-ci, pourraient ouvrir la voie à de vastes projets dexploration pétrolière dans les eaux de lArctique des Etats-Unis.
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Ils s’arrêteront quand les mers seront définitivement vides ! C’est pareil pour l’ivoire.
Sachant que le Japon possède des tonnes de viande de baleine invendues et donc, que la demande et la consommation sont en baisse notable, il n’a plus aucune raison commerciale de continuer à détruire les derniers grands cétacés de notre planète. Il est vrai qu’il invoquait, les autres pays aussi, « la recherche scientifique » (!!!), une excuse et non un argument. Si le massacre, car c’en est un, continue, les réactions et l’opposition doivent s’accentuer en utilisant tous les moyens possibles pour ce faire.




