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Des galettes de fioul pouvant atteindre une soixantaine de centimètres de diamètre sont venues s’échouer sur le littoral depuis la fin de la semaine passée. L’île de Noirmoutier, en Vendée, a été la plus touchée, avec plus de huit tonnes de galettes de fioul et de sable souillé collectés sur ses seules plages. Aujourd’hui, de la Vendée à la Loire Atlantique, la situation paraît en cours de normalisation, les opérations de nettoyage ne perdurant plus que sur une plage de la commune de La Barre-de-Monts, selon les autorités.
Comme bien souvent, l’origine de ces échouages demeure inconnue, aucune trace de pollution en mer n’ayant été signalée. Deux thèses sont toutefois évoquées : le fait d’un dégazage sauvage non-identifié ou la remontée en surface de résidus de pollutions passées, suite à la forte houle actuelle brassant les eaux en profondeur.
En effet, historiquement, cette zone a été fortement touchée par plusieurs marées noires et si l’action de la mer et les campagnes de collecte/nettoyage permettent de présenter des côtes ‘propres’ assez rapidement, des ‘poches’ de pollution perdurent au fond de l’océan. A titre d’exemple, citons que près de dix ans après le naufrage de l’Erika, au début de l’année des opérations de dragage et dextension du port déchouage de Pornichet ont mis en évidence la contamination des vases locales par du fioul transporté par lErika …
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