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Après avoir été approuvée le 17 novembre, la première expérimentation en Ile-de-France de la collecte des déchets par aspiration devrait voir le jour dans la ville de Romainville (93) dès la fin 2010. Deuxième ville retenue pour accueillir le projet, la commune des Lilas devra, quant à elle, attendre 2013 pour une mise en place effective du système. Sappliquant aux quartiers situés de part et dautre de la frontière séparant les deux villes, lopération concerne, pour la seule ville de Romainville, 2 500 tonnes de déchets produites chaque année par les occupants des 2 797 logements recensés.
Vantée comme « un process innovant et respectueux de lenvironnement », la collecte automatisée par aspiration pneumatique des déchets permet de supprimer le recours aux sacs poubelles et aux bacs présents dans la rue. Dans le cas présent, elle implique également la suppression de quatre passages de camions bennes par semaine sur lensemble du périmètre. Or, si la région se félicite de cette initiative au regard de la suppression des « risques et de la pénibilité du travail liés à la collecte », elle reste, en revanche, étrangement silencieuse sur son implication en terme de suppression demplois. Et il serait mal venu dinvoquer une réduction des coûts assumés par les structures publiques, la région Ile-de-France ayant annoncé un budget global de 2,3 millions deuros pour la centrale daspiration, auquel elle participe à hauteur de 450 000 euros.
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une grande partie des déchets concernent des emballages qui entourent un aliment 2 voir 3 fois pour raison de rentabilité des entreprises / grands groupes. Pour réduire le volume des déchets il n’y a qu’une seule solution: en produire moins – cela doit nécessairement passer par la législation (européenne) – en achetant bio, on supprime pour une grande partie les emballages doubles et triples.
Le principe du pollueur-payeur n’est plus qu’un lointain souvenir… et celui du tri aussi, alors ?
Oublions un moment les mensonges officiels prétendant que le tonnage global des déchets se serait réduit, pendant que les volumes explosent… Contrairement à ce qui est largement propagé, la solution n’est pas aux mains des consommateurs, certains produits n’existant QUE sous blister, bacs polystyrène, etc. La grande distribution profite, comme elle en a le droit, de la paupérisation qui rend sa clientèles captive. Il n’est pas dans nos moeurs de nous rendre au supermarché avec un cutter pour transférer nos achats dans des contenants vertueux. Nous ne sommes pas des Suisses, mais il m’est arrivé de le faire. Vous pouvez essayer si vous êtes courageux.
Soyons sérieux, le motif du suremballage n’a jamais été la conservation d’aliments qui sont truffés de sulfites (dernière mode), pesticides,glutamates, modificateurs endocriniens et tout le tremblement. Si vous pensez que la santé des acheteurs préoccupe les grandes enseignes, vous êtes bien naïfs. ce n’est pas non plus une question d’ergonomie. Non, la vraie raison, c’est de gênerle vol, la récup’, la démarque inconnue. La réponse à n’importe quelle contradiction dans les domaines de l’industrie et du commerce est invariablement la même : combien ça rapporte (un pauvre) ?




