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Comme en atteste lensemble des publications scientifiques des dernières années, les océans sont soumis à un phénomène dacidification, conséquence des importantes quantités de CO2 quils absorbent. On estime que plus de 25 millions de tonnes de gaz carbonique se combinent quotidiennement avec l’eau de mer. Destiné à saggraver si les émissions de CO2 mondiales ne sont pas maîtrisées, ce processus a de lourdes répercussions sur les écosystèmes marins, et notamment les organismes calcificateurs (moules, coraux etc.).
Parue début mars dans la revue américaine Science, une étude, réunissant 21 chercheurs américains, néerlandais, anglais, allemands et espagnols, a compilé et analysé les archives géologiques. Selon ses auteurs, lacidification des océans a atteint un taux record, sans précédent depuis 300 millions dannées. Dès lors, si le rythme actuel des émissions de CO2 industrielles se maintient, certains organismes marins, tels que les récifs coralliens, les huîtres et les saumons, pourraient définitivement disparaître, prévient Bärbel Hönish, paléocéanographe et co-auteur de létude.
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le 06 mars 2012 à 12:00
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Ben oui, l’activité intense des industries humaines a des effets! Le fait que chaque être humain consomme des quantité phénoménales de ressources diverses, et notamment claque quotidiennement des milliers ou des millions de fois plus d’énergie que ses arrières-arrières grands-parents Néanderthal, et le fait que nous soyons 7 milliards et non plus quelques centaines de milliers comme au temps de Néanderthal, tout cela a des effets… Cessons de faire les effarouchés… Mais avouez que ça vaut le coup. Notre bonheur est à la mesure de cette exploitation exclusive de la planète à notre profit. Nous finirons peut-être bien seuls, mais si riches…
Et puis soyons confiants dans la vie! Par le passé, des augmentations du taux de CO2, des chutes de météorites, des acidifications de la mer, des variations du niveau des mers, des changements climatiques, des fontes de calottes glaciaires, il en a eu, et de sacrés…
Des extinctions massives, il y en a eu, et de sacrées… A chaque fois la vie a rebondi, avec plus de diversité et plus de foisonnement inventif qu’avant la catastrophe. C’est juste une histoire de 10 à 20 millions d’années à patienter… Soyons patients!
En attendant, vivons notre bonheur pleinement, au lieu de pleurnicher que nous n’avons pas en même temps le beurre et l’argent du beurre…
Comment? Que dites-vous? Vous n’êtes pas si heureux que ça? Ah? Tiens, c’est bizarre, j’aurais cru…




