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Depuis plusieurs années, le platane doit faire face à un insecte ravageur, dit « le tigre du platane » (Corythucha ciliata) malgré sa ressemblance avec une punaise. Un seul produit chimique est actuellement homologué pour lutter contre et nécessite beaucoup de précautions. Dans le cadre du projet de recherche PETAAL (1), 2 entreprises et 4 centres scientifiques ont élaboré un mode de protection biologique. Labellisé par le pôle Végépolys, il compte 3 étapes : lapplication de vers microscopiques (2) sur les troncs en mars-avril avant la migration des tigres sur les feuilles, dufs de chrysopes (3) sur les femelles tigres en mai-juin et de vers sur le feuillage en juillet.
1- Protection Environnement et Technologie des Arbres d’Alignements.
2- Les vers microscopiques en question sont des nématodes entomopathogènes.
3- Les larves de chrysope se nourrissent entre autres de pucerons et de larves du tigre du Platane.
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À propos de platanes, si les hordes de professionnels des services dentretien despaces verts municipaux pouvaient arrêter un peu d’élaguer ces arbres n’importe comment ça ne serait pas un mal. Rien de plus laid que ces troncs qui présentent leurs sinistres moignons plus de 6 mois par an. De plus taillés à outrance comme on le voit partout, permet aux maladies et champignons via ces plaies de coupe, de pourrir le bois à l’intérieur des arbres et la plupart des platanes ne sont en fait que des tubes fragiles et dangereux en cas de coup de vent violent. Un vrai beau platane se définit précisément par la longueur de ses branches et le port volumineux de son houppier. Il serait sans doute préférable en ville de planter des arbres mieux adaptés, de petite taille, qui ne risqueraient pas de gêner par leur ombre et que lon aurait pas besoin de ravager chaque année.




