
Recevez chaque semaine l'ACTUALITE d'Univers Nature par email |
180 289 abonnés des Actualités depuis 1999 un STOP PUB numérique offert 5 journalistes |
> Voir tous les chiffres clés
- Comment trouver une mutuelle adaptée à la ...
- Apprendre l’anglais en ligne
- Couper l’eau pendant le savonnage !
- Chaudière à basse température ...
- L’hiver, faut-il hiberner ou préparer le ...
Follow @twitterapi

Pour la première fois, une cartographie précise de l’état des océans vient d’être réalisée en prenant en compte 17 types dimpacts différents dus à l’activité humaine, comme le changement climatique, la pêche, la pollution, etc. Alors que les études habituelles ne prennent en compte généralement qu’une seule problématique, les 19 chercheurs américains, dirigés par Benjamin Halpern, du Centre national pour l’analyse et la synthèse écologiques (1), ont compilé diverses données pour produire une cartographie unique de limpact global des activités humaines sur les océans. Il en résulte une mappemonde très simple à interpréter, avec un seul indice reflétant l’impact humain par kilomètre carré docéan.

Lors de la conférence de presse de présentation des travaux (2) la carte diffusée montre quaucune région de locéan nest indemne de lactivité humaine, et que plus de 40% de leur surface totale apparaît fortement affectée. Ces zones se trouvent pour l’essentiel dans l’hémisphère Nord, à proximité des terres les plus industrialisées. Ainsi, les environnements les plus atteints sont ceux de la Manche, la mer du Nord, la mer de Chine (jusqu’au Sud de la Thaïlande), le Nord-Est et Nord-Ouest de l’Amérique du Nord, ainsi qu’une zone autour du Sri Lanka. A l’opposé, 4 % des océans apparaissent comme relativement intacts, ces espaces se concentrant autour des deux pôles.
Pascal Farcy
1- National Center for Ecological Analysis and Synthesis (NCEAS).
2- Leurs travaux ont été publiés dans le magazine Science, du 15 février.
>> Réagissez sur cet article avec votre compte Facebook
2- Leurs travaux ont été publiés dans le magazine Science, du 15 février.
Un sage africain très célèbre disait : « Que l’on évite de détruire ce qu’il n’a pss créé : le monde ». Malheureusement l’homme, habité par son instint insatiable et égoîste, veut découvrir le miel céleste. Pour la satisfaction de ses besoins scientifiques et nucléaires, alimentaires, énergétiques etc, il multiplie ses recherches à travers tous les espaces. Les résidus de ces recherches appelés communément déchets nucléaires ou toxiques, c’est selon,sont déversés dans les océans. L’on se rend compte et de toute évidence, que les océans les plus touchés sont ceux des nouveaux pays industiralisés comme la Chine, la Thaîlande etc. Ce sont des pays incapables de traiter ces genres de déchets. D’autres pays et ils sont nombreux, font des essais nucléaires dans les océans sans aucune précaution. Les océans se trouvent donc dangeureusement désiquilibrés avec des conséquences non négligeables pour les êtres qui y vivent(les poissons par exmple), ou qui s’y aventurent(les hommes).




