
Recevez chaque semaine l'ACTUALITE d'Univers Nature par email |
180 289 abonnés des Actualités depuis 1999 un STOP PUB numérique offert 5 journalistes |
> Voir tous les chiffres clés
- Comment trouver une mutuelle adaptée à la ...
- Apprendre l’anglais en ligne
- Couper l’eau pendant le savonnage !
- Chaudière à basse température ...
- L’hiver, faut-il hiberner ou préparer le ...
Follow @twitterapi

En très fort déclin depuis 1900 les populations de couguars (également dénommés pumas ou lions des montagnes) se trouvaient isolées de par la chasse et le manque de proies. Or récemment des évidences de recolonisation de leurs anciens territoires ont été trouvées.
Effectivement, trois noyaux de populations se trouvent au Centre-Ouest (autour des Black Hills dans le Dakota du Sud) et les couguars, principalement les mâles, saventurent de plus en plus loin. Lun des exemples les plus extraordinaires est un mâle de la région qui a parcouru 2900 km à travers le Minnesota, le Wisconsin et New York pour finir dans le Connecticut. Bien que cela reste un exemple peu commun, il est prouvé que les pumas parcourent de longues distances.
Dautres signes tels que la présence de carcasses, des traces d’ADN, des photos mais aussi des attaques sur troupeaux au travers de 14 états confirment la reconquête en cours. Aujourdhui les chercheurs ont réussi à prouver la présence stable de 178 couguars dans le Centre-Ouest entre 1990 et 2008. Cette recolonisation amène à réfléchir sur la cohabitation et les réactions du public face à ces grands carnivores absents depuis plus d’un siècle.
>> Réagissez sur cet article avec votre compte Facebook

le 28 juin 2012 à 12:00
3131 articles publiés sur Univers-Nature, depuis 1999
-
Les derniers articles de l'auteur :
- Isolant : quand le carton détrône le papier …
- Les chemins ruraux sauvés par les sénateurs
- Energie solaire : la révolution Rawlemon
A réfléchir à cette cohabitation, certes mais surtout à espérer que les Américains soient moins c… que les Français et permettent ainsi aux grands prédateurs de continuer à vivre sur un territoire où il y a de la place pour tous. Si, dans les quelques décennies qui viennent, la planète n’est pas devenue entièrement inhabitable grâce aux mammifères de l’espèce Homo (pas du tout) sapiens.




