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Daprès un sondage réalisé par lIFOP en juillet 2008, les Pyrénéens se disent toujours favorables à la présence de lours sur leurs terres, les opposants à lanimal ne représentant finalement quune minorité de lopinion. En effet, malgré une cohabitation souvent conflictuelle, notamment avec les éleveurs, 69 % des habitants des départements pyrénéens souhaitent le maintien dune population dours dans les Pyrénées (76 % au niveau national).
Concernant les moyens daction pour préserver la population existante, 55 % de la population française globale et 54 % des Pyrénéens se déclarent en faveur de nouveaux « lâchers dours », dans le cas où les effectifs actuels savéreraient insuffisants pour assurer la survie de lespèce.
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le 22 décembre 2008 à 12:00
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Voila un sondage qui honore les habitants des pyrénées: dans le discours ambiant sur les animaux sauvages qui gênent l’économie rurale de marché, c’est rassurant.
Il faut dire que depuis que l’on sait que l’ours peut se nourrir de chasseurs au petit déjeuner(Beurk!), il est mieux vu des promeneurs et des ramasseurs de champignons, qui ne cherchent pas,eux, à le débusquer dans les bois(enfin, moi si je vais me promener par là haut,je prendrai quand même un pot de miel à ouverture rapide, on ne sait jamais…)
Reste les éleveurs: évidemment c’est embêtant de se faire manger ses moutons par des ours errants qui aboient curieusement pour la plupart, mais tant que leur indemnisation fonctionnera,il n’y a pas de raison qu’ils ne s’adaptent pas eux aussi au biotope environnant.
Concernant les lâchers d’ours,il convient d’être prudents: cela pourrait provoquer une migration de trappeurs canadiens vers nos contrées… on n’est plus chez nous nulle part, décidemment.
Belle synthèse Bisounours, je partage pleinement le fond et l’humour de votre billet. Notamment pour les ours qui « aboient ». Je ne désespère pas qu’un jour (pas trop lointain) nos frères humains comprennent que la planète ne leur appartient pas et que seule notre ignorance nous fait croire que nous pouvons saccager et exploiter en toute impunité.
Il est temps pour nous les humains d’apprendre à être respecteux de toute forme de vie, de réguler notre catastrophique expansion démographique et de laisser de la place à ttes les espèces animales et végétales (vite, car chaque jour qui passe voit des espèces disparaître). Soyons fous, gardons l’espoir!
@ taiga : [quote]Il est temps pour nous les humains d’apprendre à être respectueux de toute forme de vie, de réguler notre catastrophique expansion démographique et de laisser de la place à ttes les espèces animales et végétales (vite, car chaque jour qui passe voit des espèces disparaître). [/quote]
Il serait surtout temps que les humains apprennent que s’ils continuent à ne pas respecter les autres formes de vie, quand ils auront tout détruit, c’est eux qui disparaîtront, c’est à dire l’espèce humaine. Et que c’est pour dans pas longtemps, au train où ça va. Il y a toujours des gens qui se croient « puissants » et que la catastrophe ne les atteindra pas. Mais ils se mettent le doigt dans l’oeil…
[quote]Soyons fous, gardons l’espoir![/quote]
Oui, bien sûr. Et même construisons l’espoir.
Mais si ça continue comme ça, il va falloir leur faire un dessin…
Enfin, contente pour les ours des Pyrénées. Et pour les habitants qui ont tout compris!
Bonjour, depuis le dpt des hautes pyrénées, mon avis : L’homme occupe la montagne aujourd’hui, l’été avec 700000 moutons. Il y dispute sa place à l’ours. Le patou est une solution pour certains, par pour tous, c’est du cas par cas et selon le contexte. Tant que l’homme y imposera sa présence, la cohabitation sera difficile. Idem avec le loup et le lynx. Les solutions : Concéder du terrain au sauvage, fermer des pistes forestières. Venez expliquer ça aux élus et aux moutonniers pour qui richesse = moutons et exploitation sylvicole. Facile, de juger de l’extérieur, mais si c’était sur votre commune et que ça touche son développement ou votre porte monnaie? Il y a plein de solutions : Réserve en RBI où on puisse seulement se promener, aires protégées strictes, etc. Mais le défi est grand et plus complexe que de simples vues philosophiques, l’homme est partout. Et aucun fonds ni gouvernemental ni privé ne va dans le sens de ces protections strictes. Alors? Bien à vous.




