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Tous les jardiniers vous le diront : les pucerons sont une plaie. Ces minuscules insectes prennent un malin plaisir à coloniser les plantes et à sucer leur sève. Une plante infestée verra ainsi son développement limité et présentera une plus faible résistance aux maladies.
Pour mener la guerre à ces terreurs des jardins, les industriels ont développé toute une batterie d’insecticides. Seulement, ceux-ci ne sont pas toujours très écologiques. On leur reproche entre autre de polluer les sols, ou encore de ne pas s’attaquer seulement aux pucerons mais aussi aux autres insectes alentours, et donc de porter un coup à la biodiversité.
Une solution alternative aux insecticides existe cependant. Chaque être vivant possède son prédateur, et celui du puceron, c’est la coccinelle. L’insecte est en effet capable de dévorer 60 proies par jour, tout en laissant intactes les plantes sur lesquelles il chasse. Certaines initiatives locales tentent de démocratiser cette pratique baptisée la “lutte biologique”.
La ville de Caen par exemple, élève depuis des années ses propres coccinelles qu’elle distribue à ses habitants au printemps, et qu’elle utilise elle-même dans ses jardins publics. Il suffit aux Caennais de se présenter pour se voir remettre des oeufs de « bête à bon Dieu », à éparpiller une fois rentrés à la maison. Les laboratoires tremblent à l’idée qu’un si petit animal puisse les terrasser…
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