
Recevez chaque semaine l'ACTUALITE d'Univers Nature par email |
180 289 abonnés des Actualités depuis 1999 un STOP PUB numérique offert 5 journalistes |
> Voir tous les chiffres clés
- Comment trouver une mutuelle adaptée à la ...
- Apprendre l’anglais en ligne
- Couper l’eau pendant le savonnage !
- Chaudière à basse température ...
- L’hiver, faut-il hiberner ou préparer le ...
Follow @twitterapi

La décision finale de la CITES, concernant l’éléphant, laisse beaucoup d’amertume à de nombreuses organisations de protection et à des pays comme l’Inde et le Kenya qui souhaitaient le reclassement de l’ensemble des espèces d’éléphants en annexe 1. En effet, alors que depuis 1989 toutes les ventes d’ivoire étaient interdites, en 1997, le Botswana, la Namibie et le Zimbabwe ont été autorisé à vendre leurs stocks d’ivoire au Japon. Ce renouveau du commerce de l’ivoire a été à l’origine d’une recrudescence du braconnage des éléphants, y compris en Inde. Pourtant, aujourd’hui, les demandes du Botswana, de la Namibie et de l’Afrique du Sud, pour vendre leur stock respectif (20, 10 et 30 tonnes d’ivoire), ont été acceptées.
L’ivoire commercialisé doit normalement provenir du stock légal existant (éléphants morts naturellement ou suite à un tir légal pour réglé un problème homme / animal). Selon l’accord, la vente des stocks d’ivoire ne pourra s’effectuer qu’en une seule fois et pas avant mai 2004. Ce délai doit permettre à la CITES de vérifier et enregistrer les stocks existants afin de prévenir des transactions d’ivoire illégal. D’autre part, l’accord prévoit la possibilité d’arrêter les transactions, si un impact officiel négatif était mis en valeur sur les populations d’éléphant des autres régions. Par contre des demandes similaires du Zimbabwe et de la Zambie n’ont pas été acceptées.
La prochaine conférence se tiendra en Thaïlande, fin 2004-début 2005.
>> Réagissez sur cet article avec votre compte Facebook




