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Le ministre de l’Environnement, M. David Anderson, et le président du Fonds mondial pour la nature Canada, M. Monte Hummel, ont inauguré le 16 décembre 1999, à l’aéroport international Pearson de Toronto, une nouvelle exposition interactive afin de mettre en relief le problème du commerce illicite des espèces sauvages au niveau mondial.
De nombreuses espèces animales et végétales risquent de disparaître du fait de leur exploitation à un rythme insoutenable. On ne peut importer légalement au Canada des produits dérivés d’espèces en danger de disparition. Des permis gouvernementaux sont requis pour les produits dérivés d’espèces menacées. L’an dernier, à l’aéroport, les agents d’Environnement Canada ont confisqué à des voyageurs près de 4 000 articles-souvenirs renfermant des éléments d’espèces sauvages menacées ou en danger d’extinction et qui ne présentaient pas les permis exigés.
Cette exposition, montée dans la zone des départs de l’aéroport le plus fréquenté du Canada, informera des millions de voyageurs du commerce illicite de la faune et des mesures que l’on peut prendre pour réduire le marché de ces biens de contrebande. Ces kiosques apprendront aux touristes canadiens, avant leur voyage, quels souvenirs il leur faut éviter.
Parmi les articles illicites le plus souvent trouvés dans les bagages des touristes, des peaux de reptiles (comme les serpents, les crocodiles et les lézards), des coraux, des coquilles de conques, de l’ivoire d’éléphant, des oiseaux vivants, des cactus et des orchidées sauvages, des crocodiles et des tortues.
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