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D’après une étude scientifique citée par le professeur Jean-François Narbonne de l’Université de Bordeaux (France), les sédiments puisés à l’embouchure de la rivière Richelieu, en bordure des champs de maïs transgéniques Bt, contiennent des concentrations de la toxine Bt (Bacillus thuringiensis – utilisée comme insecticide) 5 fois plus élevées que les eaux de drainage et les sédiments des terres agricoles environnantes, apprend-on dans l’édition du 18 décembre 2001 du Devoir. Le professeur émet l’hypothèse que les racines du maïs transgénique Bt transmettent ce gène à d’autres bactéries qui, à leur tour, produisent du Bt. Ce serait par l’écoulement des eaux que cette toxine se retrouverait dans le système fluvial.
« Ce qui est inquiètant dans cette histoire, est que ce soit un scientifique étranger qui nous révèle la contamination génétique de la rivière Richelieu au Québec alors que les scientifiques d’Environnement Canada et de l’Institut de recherche en biotechnologie de Montréal, qui ont effectué la prise des échantillons, sont demeurés silencieux jusqu’à présent. Cela nous en dit long sur la soi-disant neutralité et l’indépendance des scientifiques du gouvernement ! », note E. Darier de Greenpeace.
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