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- Le Canada a connu cet hiver, pour la troisième année consécutive, des températures supérieures à la normale. Le Bulletin des tendances et des variations climatiques pour le Canada qui vient d’être publié donne un aperçu des températures et des précipitations de cet hiver.
D’après les données préliminaires, l’hiver a été, avec 2,6 °C au-dessus de la normale, le 4e hiver le plus chaud depuis qu’on a commencé à prendre des relevés nationaux en 1947-48 (l’hiver le plus chaud ayant été celui de 1986-1987 avec 3,0 °C au-dessus de la normale).
La hausse moyenne des températures se confirme par le fait que les trois derniers hivers du siècle auront été parmi les 5 plus chaud des 53 dernières années. De même, depuis l’été 1997, sur l’ensemble de l’année, le Canada à toujours été au-dessus des normales saisonnières.
Le District du Mackenzie, et la plupart des Territoires du Nord-Ouest, ont connu leur deuxième hiver le plus doux (4,8°C au-dessus de la normale).
La nouvelle recherche sur les cycles à long terme d’océan indique le chauffage global rapide dans le futur proche
- Les scientifiques de l’institut d’océanographie de Scripps à l’université de San Diego en Californie, viennent de mettre en évidence des changements prononcés du climat de la terre dépisté dans les cycles des océans. Les marées révèlent que la terre est actuellement dans une période de hausse normale des températures au niveau mondial, combinée au réchauffement dû à l’activité humaine.
Selon l’étude, la période actuelle suggère une tendance au réchauffement naturel commencé il y a une centaine d’années et devant continuer au cours des cinq siècles à venir.
Si ce procédé de mesure des climats s’avère effectivement correct, alors les températures monteront en raison de marées plus faibles et de l’augmentation de l’effet de serre.
L’influence des marées océaniques s’expliquent selon le fait que les fortes marées augmentent le brassage vertical des eaux et font remonter à la surface de l’eau froide qui abaisse la température de l’air, alors que les marées faibles limitent le mouvement des eaux et donc les échanges de températures avec l’air.
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le 21 mars 2000 à 12:00
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