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Au Sommet de la terre de Rio en 1992, le Canada a été le premier pays à s’engager à protéger les espèces en péril et leurs habitats mais concrètement sur le terrain, peu de chose ont changé malgré une opinion publique à 97 % en faveur d’une législation “musclée” pour protéger les espèces en voie de disparition (sondage Pollara, mai 1999).
Le projet de loi sur les espèces en voie de disparition, actuellement à l’étude au Parlement, a été sévèrement critiqué par les environnementalistes et les scientifiques. « On ne peut protéger les espèces sans protéger leur habitat. », explique Tamara Stark de Greenpeace.
Plus de 1 300 scientifiques en Amérique du Nord appellent à un renforcement immédiat de la loi sur les espèces en voie de disparition, en conformité avec la convention de la biodiversité biologique (CBD). Pour Greenpeace, les changements essentiels à faire sont :
- de protéger légalement tous les habitats des espèces en péril;
- qu’on laisse aux scientifiques, plutôt qu’aux politiciens, la responsabilité d’établir la liste des espèces en péril;
- que la législation s’applique sur l’ensemble du territoire fédéral et des territoires provinciaux étant donné que la présente législation ne s’appliquerait qu’à 5 % du territoire canadien.
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