
Recevez chaque semaine l'ACTUALITE d'Univers Nature par email |
180 289 abonnés des Actualités depuis 1999 un STOP PUB numérique offert 5 journalistes |
> Voir tous les chiffres clés
- Des légumes si peu aimés mais tellement bons ...
- Prêts immobiliers à taux bas : quel achat ...
- Le drapeau du réchauffement climatique
- Partir en vacances : comment être plus ...
- L’électricité, le sujet d’actu en été ?
Follow @twitterapi

Alors que les représentants de plus de 100 nations se réuniront la semaine prochaine (du 20 au 25 mars) à Bonn (Allemagne) pour la 4ème session de négociations en vue d’un traité mondial sur les polluants organiques persistants (POP), Le WWF a appellé les gouvernements à éliminer les 12 substances chimiques les plus dangereuses de la planète et à fournir l’assistance technique et financière nécessaire pour permettre aux pays en développement de recourir à des alternatives fiables.
Parmi les autres questions essentielles qui seront abordées figurent la suppression des rejets de dioxine et les mécanismes de financement.
Pour Clifton Curtis, directeur de l’initiative mondiale du WWF contre la pollution chimique dans le monde. « Il est vital que les délégués présents à Bonn fassent de l’élimination de ces produits toxiques leur objectif central et qu’ils garantissent aux pays en voie de développement les moyens de s’en distancer. »
Les POP sont associés à des problèmes de santé chez les êtres humains et la faune sauvage. Ils peuvent parcourir des milliers de kilomètres dans les airs et se dégradent extrêmement lentement. Des études ont montré qu’ils étaient responsables de cancers, de troubles du développement et, particulièrement chez les oiseaux, de chutes de la natalité. Les POP sont décelables, à des degrés divers, chez tous les êtres humains et les animaux de la planète.
>> Réagissez sur cet article avec votre compte Facebook




