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Le 19 avril le WWF à publié une nouvelle étude révèlant l’emplacement de plusieurs bassins de rétention d’effluents toxiques, provenant de mines métallifères dans différents pays de l’Union européenne. Le document montre que, sur ces sites, des fuites sont à l’origine de graves atteintes à l’environnement et que l’information du public est quasiment nul concernant l’emplacement et les risques de ces sites. Le WWF appelle l’Union européenne (UE) à prendre d’urgence les mesures appropriées pour réglementer les activités minières et le stockage des résidus polluants qui en résultent.
L’étude paraît exactement un an après le désastre provoqué par la rupture du mur du bassin de rétention de la mine de Los Frailes, dans le sud de l’Espagne, qui était rempli de déchets contenant des métaux lourds. Des millions de mètres cubes d’eau et de boues toxiques s’étaient déversés dans la fameuse zone humide de Doñana (cette mine a d’ailleurs repris sont activité dernièrement, NDLR).
« Les métaux lourds sont très dangereux pour les êtres humains, la faune et les biotopes. L’eau est indispensable aux activités minières, de sorte que les rivières et les lacs sont particulièrement exposés à une contamination », explique Jane Madgwick, responsable européenne du WWF pour les écosystèmes d’eau douce. « Ce qui est inquiétant, c’est que l’étude du WWF n’a fait que déceler la partie visible de l’iceberg. De nombreuses pollutions accidentelles et bien d’autres bassins de rétention d’effluents toxiques restent inconnus des autorités et de la population », ajoute-t-elle.
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