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Le 21 janvier 2000, le ministre de l’Environnement du Canada, David Anderson, et l’administratrice de la l’agence de protection environnementale des USA, Carol Browner, ont convenu d’entamer le 16 février prochain, à Ottawa (Ontario) des négociations bilatérales visant à réduire le smog transfrontalier. Ils ont également convenu de compléter durant l’année, l’annexe sur l’ozone prévue par l’accord entre le Canada et les USA sur la qualité de l’air.
Ces négociations se pencheront sur les transports transfrontaliers d’ozone au niveau du sol. L’ozone constitue un élément important du smog. Environ 50 % de l’ozone en Ontario et jusqu’à 90 % de l’ozone au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse proviennent des États-Unis. L’annexe engagera les deux pays à réduire les émissions de substances comme les oxydes d’azote (NOx) et les composés organiques volatils (COV), des polluants communs actifs dans la production de l’ozone.
De récentes études menées dans les deux pays, sur la santé et l’environnement, ont confirmé que l’exposition à des concentrations d’ozone, beaucoup moins élevés qu’on ne le pensait, a des effets négatifs sur la santé. Chaque année, la pollution atmosphérique tue plus de 5 000 personnes.
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