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Le site d’une société en liquidation, Antipoll, représente une menace pour l’environnement depuis plusieurs années, sans que l’administration ne semble sans préoccuper. Pourtant, dès 1998, la FRAPNA – Fédération Rhône Alpes de Protection de la Nature – avait averti l’administration, alors que la société était encore en activité.
Sur le site de la société, qui avait une activité plutôt louable de régénération de divers solvants, restent actuellement selon Monique Gondrand de la FRAPNA, environ 2500 fûts de solvants accessible à tous, à découvert à 100 m d’un cours d’eau, et proche des habitations.
Pourtant, lors d’une cessation d’activité pour ce type d’entreprise, la législation impose la remise en état du site d’exploitation comprenant également la dépollution du sol. Pour l’association, si la DRIRE (direction régionale de l’industrie, de la recherche et de l’environnement) en charge de ce genre de dossier, effectue un travail satisfaisant concernant la surveillance des grosses entreprises, il y a peu de suivi des sociétés de taille réduite, essentiellement par manque de personnel. Par ce laxisme, c’est encore trop souvent la collectivité qui assume la facture de la dépollution (lorsqu’elle a lieu) au lieu d’être supportée par l’entreprise en cause, alors que celle-ci a parfois déjà facturé le coût du traitement des produits.
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