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Avec l’annonce de la signature d’un contrat d’implantation d’un prototype industriel de stockage des déchets radioactifs à vie longue, la politique européenne en matière de gestion des déchets nucléaires apparaît dorénavant plus claire. Ce centre test, dit Esdred, regroupe différents organismes et pays européens et pourrait se situer sur le site déjà très contreversé de Bure, à cheval sur les départements de la Meuse et de la Haute-Marne.
Signé le 4 mars 2004 avec la Commission européenne, l’ESDRED est doté dun budget de 18 millions deuros sur 5 ans et vise à démontrer, selon le quotidien de l’énergie, Enerpresse, ‘…la faisabilité technique des différentes opérations de construction, exploitation et fermeture d’un stockage géologique profond de déchets de haute activité’. Avec le terme ‘fermeture’, le fameux concept de ‘réversibilité’ passe à la trappe et ne fait plus partie du programme. Le but de l’enfouissement est donc bien l’irréversibilité totale, ou abandon des déchets radioactifs, dénoncée dès l’origine par les associations qui s’opposent à l’enfouissement. De la même manière on passe d’un ‘laboratoire de recherches’ à ‘un prototype’, mettant ainsi fin à l’idée de recherche jusqu’alors mis en avant par le secteur du nucléaire. En terme de coût financier, pour les collectifs BURE-STOP, l’énergie nucléaire ne savère pas si économique qu’on voudrait nous le faire croire, et ce au vu des premiers coûts estimés, dotant qu’ils ne tiennent pas compte des budgets nécessaires pour le fonctionnement à très long terme.
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