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L’action menée par Greenpeace à la sortie du port de Zeebrugge s’est terminée le 7 octobre en fin de soirée, après que l’organisation environnementale ait été avertie de la décision de Magda Alvoet de retirer la licence du dragueur qui était sur le point de déverser au large de Zeebrugge des boues polluées. Il restera à quai jusqu’à publication de l’analyse des prélèvements effectués pendant l’occupation du navire par une trentaine de militants de l’association. Une fois les résultats en la possession de la ministre fédérale de la Santé et de l’Environnement, une décision sera prise quant au sort de la cargaison du navire.
La pollution qui menace le littoral belge est due à la présence dans le port de Zeebrugge de Tributylétain (Tbt). Il s’agit d’un pesticide couramment utilisé depuis les années 70 et qui – à présent à des doses très faibles – occasionne d’importants dégâts à la faune marine. Le Tbt est aujourd’hui détecté dans toutes les mers du monde. L’action de ce disrupteur hormonal a été observée notamment auprès des escargots de mer qui souffrent de dysfonctionnements du système reproductif. Le Tributylétain est intégré à la composition de certaines peintures, utilisées pour prévenir la fixation d’organismes vivants sur les coques des navires.
En outre, les ministres de l’environnement Stevaert (régional) et Alvoet (fédéral) se sont engagés à lutter en faveur de l’interdiction internationale du Tbt.
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