
Recevez chaque semaine l'ACTUALITE d'Univers Nature par email |
180 289 abonnés des Actualités depuis 1999 un STOP PUB numérique offert 5 journalistes |
> Voir tous les chiffres clés
- Comment trouver une mutuelle adaptée à la ...
- Apprendre l’anglais en ligne
- Couper l’eau pendant le savonnage !
- Chaudière à basse température ...
- L’hiver, faut-il hiberner ou préparer le ...
Follow @twitterapi

A Kuala Lumpur, la 1ère réunion des 87 Etats qui ont ratifié le Protocole de Carthagène sur la biosécurité, a permis des avancées, même si le Mexique a étonnamment empêché toute avancée forte sur l’identification et la tracabilité des OGM, en refusant de donner son accord à l’obligation de diffusion d’informations précises sur les OGM contenus dans les cargaisons.
Néanmoins, dorénavant l’identification des OGM importés devra inclure les noms commun, scientifique et commerciaux de l’organisme modifié, son code de transformation ou son code unique d’identification. Par ailleurs, les contraintes à prendre en matière de stockage, manipulation et utilisation devront être également mentionnées.
‘Ces exigences, si elles ne sont pas suffisantes pour protéger l’environnement et la chaîne alimentaire d’une contamination génétique, représentent néanmoins un premier pas que les Etats devraient immédiatement mettre en application’ a déclaré A. Apoteker de Greenpeace.
Premier traité international qui traite spécifiquement des OGM, le protocole est entré en vigueur le 11 septembre 2003 et a pour objectif de contribuer à assurer la protection de lenvironnement et de la santé humaine, en réglementant le transfert, la manipulation et lutilisation des OGM. Parmi les Etats qui n’ont pas ratifier le protocole, on note les USA, le Canada, l’Argentine et la Chine. Toutefois, la Chine, plus gros importateur dOGM au monde, a annoncé quelle procéderait prochainement à la ratification.
>> Réagissez sur cet article avec votre compte Facebook




