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Le Préfet du Loir-et-Cher vient de prendre, en date du 5 octobre 1999, un arrêté consistant, avant même que les expropriations soient engagées sur le tronçon Pruniers-Chemery, à obliger les propriétaires menacés par le projet autoroutier à accepter l’occupation de leurs terres par la société Cofiroute (exploitante de la future autoroute), ainsi que par les archéologues qui précèdent habituellement l’ouverture des chantiers.
Ainsi, sur des terrains dont les propriétaires sont encore en principe les maîtres, on fera procéder contre leur gré à des sondages à la pelle mécanique sous forme de tranchées de 20 m, avec tous les élargissements possibles.
Il faut savoir en effet qu’à l’ouest de Villefranche, nombreux sont les propriétaires qui ont décidé d’utiliser tous les moyens légaux pour résister à la menace autoroutière, notamment à la dépréciation que représenterait ce ruban de béton pour l’ensemble de leurs biens fonciers, de leurs habitations et de leur cadre de vie. Ils savent aussi, car des responsables de Cofiroute, notamment Monsieur Jouveaux, le disent en privé et en public, que la Tours-Vierzon est une autoroute indéfendable (tant au plan du trafic que de la rentabilité).
Pour le comité contre la frénésie autoroutière (CCFA), on prend prétexte des fouilles pour amener les propriétaires dont les terrains auront été laminés et détruits, à plus de docilité.
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