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Après le péage aux portes de Londres, les Britanniques pourraient recevoir, chaque fin de mois, une facture correspondant aux types de déplacements qu’ils ont effectué. Ainsi, selon que le conducteur circule sur une route à faible ou fort trafic, à une heure de pointe ou au milieu de la nuit, la facture qu’il recevra en fin de mois sera plus ou moins importante.
Pour simplifier, l’heureuse personne qui circule sur une départementale jamais encombrée, en pleine nuit, pourrait devoir s’acquiter d’une taxe de 1,8 centimes d’euro par kilomètre parcouru, tandis que l’automobiliste qui doit affronter les bouchons pour se rendre à son travail, par l’autoroute, aux heures de pointe, pourrait se voir taxé de 1,2 euro par kilomètre.
Si l’idée est séduisante concernant l’application du principe pollueur/payeur, on peut en revanche s’interroger sur son aspect liberticide et coûteux pour des personnes qui n’ont pas forcément le choix de l’usage qu’ils font de leurs voitures :
- Liberticide, car le ministre anglais des transports, envisage d’équiper toutes les véhicules anglais d’une sorte de boîte noire, qui enregistrerait et transmettrait simultanément tous les paramètres d’utilisation (et donc de déplacement) de chaque auto.
- Coûteux et pas forcément équitable, car on ne choisit pas forcément de travailler dans un lieu que les transports en commun ignorent, et pour lequel, il faut traverser Londres aux heures de pointes afin d’y parvenir.
Ce dispositif, frappant l’ensemble des conducteurs, serait une première mondiale, puisque seuls des systèmes équivalents, mais moins étendus, existent en Australie, à Singapour et aux USA. Toutefois, le projet de recueillir maintenant l’assentiment du Parlement.
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