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éoliennes installées en centre ville
Aujourd’hui en France, l’électricité que nous utilisons est majoritairement d’origine nucléaire (75%). Si l’usage de la technologie ne rejette aucune émission de CO2, les centrales nucléaires n’en restent pas moins discutées : production de déchets qu’on ne sait pas traiter, risques d’accidents gravissimes (Tchernobyl ou Fukushima en sont deux tristes exemples), durée de vie limitée des réacteurs (une quarantaine d’années)…
Les énergies renouvelables apparaissent alors comme la solution idéale, et prennent de plus en plus de poids dans le mix énergétique national. A tel point qu’en 2010, elles représentaient 14,6% de l’électricité consommée dans le pays, avec une part importante d’énergie hydroélectrique. Pour augmenter la capacité de production des énergies renouvelables, il faut soit améliorer l’efficacité des parcs de productions (solaire et éolien) déjà existants, soit les multiplier. Mais l‘implantation d’éoliennes est trop souvent source de discorde dans les campagnes, entre les personnes qui les accusent de défigurer un paysage et celles qui leur reprochent leur bruit incessant.
Alors pourquoi ne pas installer des éoliennes dans les villes, à des endroits où le bruit émis n’embêtera personne ? C’est ce que se sont dits les membres de l’Oklahoma Medical Research Foundation, à Oklahoma City, puisqu’ils ont décidé d’installer sur le toit de leur vaste complexe quelques 18 éoliennes à axe vertical d’une vingtaine de mètres de haut, qui disposent chacune d’une capacité de production de 4,5 kilowatts (KW), et qui se déclenchent dès que le vent souffle à 14,3 km/h, soit une vitesse inférieure à la moyenne du vent dans la ville.
Si l’expérience s’avère concluante, c’est-à-dire si l’immeuble arrive à produire sa propre électricité sans la moindre nuisance, nul doute que l’opération devrait faire tache d’huile et se répéter dans le monde entier.
Jusqu’en France ?
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