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De nombreux animaux du grand Nord pourraient disparaître dans les 20 années à venir, si l’homme ne parvient pas à stopper le réchauffement planétaire et le changement climatique qui en découle. Parmi les victimes les plus médiatiques, des animaux comme les ours polaires et certains types de phoques présents uniquement en Arctique, pourraient faire partie des premières victimes.
Sans action sérieuse et d’envergure, la Terre devrait voir sa température augmenter de 2° Celsius par rapport à l’ère préindustrielle d’ici 2 026 à 2 060. La hausse des températures est une véritable bombe à retardement pour le climat, et selon le WWF, commanditaire du rapport, la température de la Terre pourrait franchir d’ici une vingtaine d’années un seuil critique au-delà duquel de dangereux bouleversements climatiques sont à craindre.
Ce nouveau rapport qui sera présenté lors de la conférence sur le changement climatique, entre le 1er et le 3 février, vient renforcer la récente étude réalisée par plus de 250 chercheurs, à la demande des 8 membres du Conseil arctique (Canada, Etats-Unis, Finlande, Islande, Japon, Norvège, Russie et Suède). Cette étude, la plus détaillée jamais produite sur cette question, présentait un scénario quasi catastrophique Sans une réduction rapide des rejets de gaz à effet de serre, la glace de l’Arctique devrait fondre complètement en été, vers la fin du siècle et contribuer à de multiples phénomènes comme l’élévation du niveau de la mer (plus d’un mètre à la fin du siècle) et/ou la disparition du Gulf Stream, le courant océanique permanent, qui permet à l’Europe occidentale d’éviter un climat quasi polaire.
D’après un nombre croissant de chercheurs, le réchauffement climatique pourrait devenir incontrôlable par le biais de réactions naturelles en chaîne, à l’inverse des rapports alarmants qui ne font que s’entasser en douceur sur les bureaux
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