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Certains organismes calcificateurs, comme les moules, les coquillages ou les coraux, sont capables de fabriquer une coquille ou un squelette calcaire afin de se protéger, entre autres, de l’action corrosive de l’eau de mer. De fait, ces organismes doivent désormais composer avec lacidification croissante de leau de mer, résultant notamment des rejets de gaz carbonique (CO2) dans latmosphère. Mais, selon une récente étude internationale (1), cette capacité de résistance est affaiblie lorsque ces organismes sont exposés à une longue période de température anormalement élevée, supérieure à 28,5°C.
Or, certains invertébrés marins vivent déjà à une température proche de leur limite de tolérance, doù des épisodes de mortalité massive. Dès lors, la combinaison du réchauffement de la mer Méditerranée et de lacidification de ses eaux laisse craindre une augmentation de la fréquence des épisodes de mortalité des organismes affectés.
1- Parue dans la revue Nature Climate Change, cette étude est, en partie, dirigée par Jean-Pierre Gattuso du Laboratoire d’océanographie de Villefranche (CNRS/UPMC).
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le 31 août 2011 à 12:00
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