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Prenant en compte, l’accès à l’eau potable, la demande par habitant et la dépendance aux fleuves transfrontaliers, une étude britannique, publiée fin juin, s’est intéressée à l’impact du changement climatique conjugué à la hausse de la population mondiale. Sa conclusion est sans appel : la planète va connaître une pression supplémentaire très importante sur les ressources en eau douce, pourtant déjà limitées dans de nombreux pays.
Parallèlement à la hausse de la demande, notamment à des fins d’irrigation (70% des prélèvements actuels) et industrielles (22%), la pluviométrie va régresser dans plusieurs contrées, les moussons devenir plus irrégulières, les glaciers fondre, etc. De même, les futures constructions de retenues d’eau et de barrages hydroélectriques accentueront la pression en aval des rivières.
A ce titre, la pression sur les 165 nations où le stress hydrique se fait ressentir, ne devrait pas faiblir. Parmi celles-ci, la Somalie est dans la situation la plus inquiétante (seulement 30% de sa population a accès à l’eau potable), avant les Etats suivants : Mauritanie, Soudan, Niger, Iraq, Ouzbékistan, Pakistan, Egypte, Turkménistan, Syrie, etc. A l’opposé, l’Islande est la plus richement dotée devant des pays comme la Norvège, la Nouvelle-Zélande, le Canada.
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Il en va de l’eau comme des terres arables. Dans l’irrigation il n’est pas précisé que les végétaux qui demandent le plus d’eau sont ceux qui sont destinés à la nourriture des animaux destinés à l’abattoir : soja et maïs.
A chacun de se regarder dans sa glace afin de voir ce qui a besoin d’être changé dans sa façon de se nourrir.
Après l’émission de mardi soir sur Fr3, plus d’une et d’un doit se mettre à réfléchir. Sinon, tant pis. Leur vie et celle de leurs enfants dépendent de leurs résolutions
plus celle de tous ceux qui meurent et mourront de soif.
Pour compléter le propos de nicolekretchmann, j’ajouterai une autre culture très exigeante en eau : le coton, qui a un impact désastreux dans certains pays. Les solutions alternatives ne sont malheureusement pas forcément évidentes.
A cet article et à vos remarques, il est indispensable d’ajouter qu’une démographie responsable, et non le laisser-faire actuel dans de très nombreux pays même en France, soit intégrée à toute politique de « développement » de notre planète. Sinon le pb de l’eau, des terres, etc entraînera encore davantage de guerres inéluctables pour ceux qui en sont démunis. http://www.demographie-responsable.org/demographie/surpopulation/demographie-ecologie.html




