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Suite aux arrêtés pris par la nouvelle ministre de l’écologie N. Olin, l’Isère a de nouveau basculé dans une logique d’élimination du loup qui s’en était pris à du bétail au mois de mai.
Sur place, depuis les premières battues plusieurs associations pro-loups se sont mobilisées pour tenter d’éviter l’abattage du loup qui, rappelons-le, est une espèce protégée par la convention de Berne et la directive européenne Habitat. Mais la confrontation, entre les 2 parties, a dégénéré une nouvelle fois dans la nuit du 23 juin dernier, trois pro-loups ayant été pris à partie et menacés par des éleveurs constitués en ‘milice privée’ à Saint Sulpice des Rivoires. C’est sur un chemin départemental que les 3 défenseurs des loups ont été obligés de rejoindre leur véhicule sous des insultes, des menaces de mort et des coups de feu, selon un communiqué de l’association Causa Animalia.
Cette agression est la seconde en moins de un mois, puisque le 4 juin une sexagénaire avait été molestée, insultée et couverte de purin pendant que l’on endommageait son véhicule.
Aussi, selon l’association, suite aux arrêtés ministériels, ‘
le préfet de l’Isère a basculé dans une logique dramatique. En effet, en autorisant une mise à mort programmée du loup par des ‘ gardes particuliers assermentés ‘, le préfet a légitimé toutes les battues illégales, les milices privées, et plus grave encore, a poussé les éleveurs/chasseurs à se faire justice eux-mêmes à tout moment.’
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