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En mars dernier, le quotidien Le Monde se procurait une circulaire ministérielle accordant une dérogation à linterdiction dépandage aérien à sept pesticides, dont six sont considérés comme « nocifs » et « dangereux pour lenvironnement ». Confirmant ces dires, la préfecture de Guadeloupe est sur le point de prendre un arrêté délivrant une dérogation aux planteurs de bananes pour poursuivre lépandage aérien dun pesticide présentant des risques sanitaires.
Aussi, lassociation Générations Futures a demandé labrogation de cette dérogation ainsi que la tenue d’une concertation sur la politique bananière durable en Guadeloupe. Une pétition a également été lancée en ce sens, accessible sur le site Internet de lorganisation Avaaz (1). Le scandale sanitaire lié à linsecticide chlordécone, qui nest que la face immergée de liceberg eu égard à la pollution massive de la Martinique par les pesticides, na semble-t-il pas servi de leçon.
1- http://www.avaaz.org/fr/petition
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A moins que derrière des idées racistes, ce soit pour diminuer la population locale, et en plus réduire le nombre de français (après importation) qui consomme ces fruits
Ou alors, les pourris qui ont pris ces arrêtés sont généreusement arrosés, en dessous de table, bien sûr !!!
PUTAIN de france !
HELAS pour nos amis Guadeloupéens, il y a belle lurette que je n’achète plus de bananes provenant de chez eux…
ABERRANT Connaissez-vous une espèce animale qui empoisonne sciemment et consciencieusement son milieu vital, en en connaissant parfaitement les effets nocifs?
LE SUICIDE COLLECTIF SE POURSUIT !
C’est une véritable aberration, que dire de plus, il n’y a peut-être plus une famille guadeloupéenne (et martiniquaise) épargnée par le cancer, qui décime le département. Cela ne suffit manifestement pas à l’État français, qui accorde des « dérogations » pour les pires poisons.
Avec des sols et des eaux déjà pollués pour des siècles par le chlordécone, l’État doit considérer que ces départements et populations peuvent encore subir cela.
Qui achète encore des bananes françaises? Et même des produits agricoles français continentaux quand ils ne sont pas bio? Car, par exemple, les salades et les tomates « françaises » en hiver sous serre sont un concentré d’engrais et de pesticides et ne valent guère mieux quand elles sont « de plein champ » compte tenu des traitements subis.
Il faut favoriser les achats de saison et de proximité chez des agriculteurs, des éleveurs pour les mangeurs de viande et de produits laitiers. Et si on ne peut aller soi-même à la ferme, acheter dans les épiceries et marchés paysans ou s’inscrire dans une AMAP vendant du bio.
Quand tous les produits agricoles faisant la fortune de Monsanto resteront invendus, les paysans réagiront et l’Etat français en retard de plusieurs décennies se comptant en millions d’hectares devra enfin penser à la santé de sa population. Ce qui est très, très loin d’être le cas aujourd’hui.
le temps que le gouvernement Hollande signe les décrets d’application de tous les arrêtés pourris du gouvernement précédent,comme l’impose la loi du marché, que les verts s’installent à la cantine bio de l’assemblée nationale, que quelques passe droits gênants soient entérinés dans le consensus mou du réalisme de transition, et nous verrons ce que nous allons voir ! une révolution des mentalités au somment de l’état en matière d’environnement, de production agricole,de courage politique face à des lobbies tentaculaires…bref, nous allons voir que quand on vote, ça fait évoluer les choses si lentement qu’on ne s’aperçoit de rien…




