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La chasse à la baleine peut-elle être autorisée sans que les quotas de prélèvements ne soient estimés sur la base de données scientifiques ? Voilà une question que, semble-t-il, ne se pose plus la Commission Baleinière Internationale (CBI). La CBI vient de se lancer dans une série de compromis qui pourrait permettre une reprise de la chasse commerciale à la baleine avec des quotas négociés définis pour une période de cinq ans. Ainsi lapproche durable à long-terme sappuyant sur une procédure scientifique précise, appelée Procédure de gestion révisée (RMP), adoptée par les 84 nations parties de la CBI, naurait plus cours.
Pour la CBI, ces compromis semblent devoir simposer. Certains Etats membres pratiquent effectivement une chasse à des fins commerciales en exploitant les failles actuelles de la Commission. Par exemple, le Japon chasse ouvertement les baleines sous couvert de recherches scientifiques en sauto-délivrant des permis. Durant ces cinq dernières années, la flotte japonaise aura harponné près de 5000 baleines en toute « légalité ».
Avec des quotas de chasse commerciale, la CBI espère mieux exercer son contrôle sur les captures et la délivrance des autorisations. Mais pour Patrick Ramage, dIFAW (1), ‘La CBI et ses pays membres se perdent en futilités pendant que les mesures scientifiques et juridiques destinées à assurer la conservation des baleines pour les générations futures senvolent en fumée.’
1- International Fund for Animal Welfare
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le 13 mars 2009 à 12:00
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Bonjour !
Encore un exemple que toutes ces structures de régulation, contrôle, d’étude, etc… ne servent à rien …
Que les baleines disparaissent … puisque l’homme ( et non l’humain ! ) est un parasite destructeur !!!!
Ainsi , il n’y aura plus de à se poser de questions.
Je suis conscient que mes propos sont durs… mais c’est la meilleure et seule solution, dans le cadre de ce sytème …
Ce système doit aller jusqu’au bout … Il doit tout avaler … et se dévorer lui-même … et se redévorer encore et encore !!!
bonne journée




